- Dim Fév 09, 2014 4:44 pm
#145977
[quote]Rien n’est plus banal que le sentiment d’être exceptionnel. Einstein
L’obsession amoureuse n’est qu’une question de maitrise de soi.
Connaitre les activités qu’on aime et aller les pratiquer.
Actions piliers, Actions masculines… tout cela devrait rouler.
C’est ce que je pensais naïvement quand tout allait bien dans ma vie.
Mais Karma is a b*tch.
J’aimerais vivement connaître vos ressentis, vos remarques à chaud, vos conseils et vos coups de fouet à ce qui va suivre.
Je n’ai pas assez de recul.
Ma rencontre avec (on va l’appeler : ) Aurély fut pendant cet été dans le cadre d’un projet ambitieux de danse où réunit une illustre chorégraphe, cinq danseurs professionnels et une soixantaine d’amateur dont cinquante femmes et une dizaine d’homme.
De par mon habitude, léger et énergique, je papillonne de groupe en groupe.
J’initiais le contact et plus tard les premières propositions hors contexte répétitions. Je fus payé en beuverie et en soirée.
Plusieurs nationalités étaient présentes, j’ai même eu une relation légère et assumée avec une jeune actrice italienne durant l’été. Le groupe italien est reparti au pays à la rentrée. Que je revois bientôt à Rimini.
Bref, tout cela pour vous dire que j’ai constitué des liens amicaux avec plusieurs groupes et j’en ai même fusionné certains.
Pour en revenir avec Aurély, c’est une toute nouvelle parisienne et elle avait manqué quelques répétitions à cause de la logistique de son déménagement. J’ai pu faire plus ample connaissance avec elle à partir de mi-octobre et j’ai constaté qu’elle avait une partie de son Bordeaux Gang sur Paris.
Pas si seule que cela contrairement à ce qu’elle me dit.
(Je précise qu’elle frôle la trentaine, j’ai vingt-huit ans et j’ai toujours connu des femmes plus jeunes).
Taquin et badin avec les femmes qui me plaisent physiquement et même parfois celles qui ne m’intéressent pas juste par entraînement, j’envoie des signaux plutôt brouillions masqués d’humour léger et d’impertinence autour Aurély en touchant délibérément nos amies en commun.
Oui, nous nous sommes constitués un groupe d’amis grâce à plusieurs projets.
Et j’aime beaucoup nos rapports.
Or au premier de l’an, n’ayant plus assez de congé pour repartir à Bordeaux d’après ce qu’elle me dit, elle accepte rapidement une invitation tardive de ma part alors qu’elle avait d’autres propositions plus alléchantes via Facebook.
Soirée simple et aux couleurs de l’Asie, mon riz cantonnais maison a fait un malheur auprès de mes invités.
Même mes amis les plus AFC ont senti qu’il y avait une odeur particulière entre Aurély et moi.
Au point de tous raccompagner une amie nous laissant seuls pendant un bon moment.
C’est alors qu’elle entreprit d’ouvrir les portes restées entre-ouvertes et escalader nos rapports ambigus avec des signes d’intérêts gros comme une maison.
Echantillons :
[quote]Elle : Je me sens tendue c’est temps-ci *en se mettant près de moi, montant son épaule nue et en le massant*.
*survolant le sujet sur les ex*
[quote]Elle: Je suis sorti avec un asiatique
Moi: depuis tu as horreur ^^
Elle: Oh noon, bien au contraire
ou
[quote]Elle :…le passé est terminé…
Moi :…le futur est à construire …
Elle :…seul le présent compte désormais
[quote]Elle : Il fait chaud chez toi *enlève une couche*
Malheureusement pour nous, je n'ai pas fait le travail attendu.
Elle a dégainé son téléphone et elle est rentrée avec un couple d’amis qui m’ont dit plus tard
[quote]Elle n’avait pas l’air contente. Faut dire aussi qu’elle était très fatiguée. (elle s'est endormie sur mon canapé un moment)
Mais b*rdel qu’est-ce qui se passe chez moi ?!
Pourquoi je feins autant l'ignorance tel un débutant sans c*uilles ?!
Avec le recul, le fait d’imaginer son secret agenda m’a fait peur.
Je pense qu’elle est une véritable femme équilibrée de 30 ans qui n’hésite pas à dérouler son jeu face à un potentiel monospace.
Je vous avouerai que j’ai toujours un côté étudiant roulant en mustang.
Après cette soirée, nous nous sommes échangés sms et messages Facebook amicaux et tentative de reconnexions de ma part.
Conscient de mes erreurs, je tente d’être le plus adulte en restant cohérent et en montrant les qualités qui a pu l’a séduire.
Ses allers retours Paris-Bordeaux empêchent de nous revoir.
Elle continue à me taquiner sur mon âge et elle me considère comme un garçon charmant mais garçon quand même désormais.
Elle a étoffé son humour avec le mot bébé à mon égard.
Début février,
Nous nous somme vu à la crémaillère d’une amie de la danse. Comme à mon habitude, je papillonne, je ventile. Je continue à flirter avec elle, elle joue avec moi.
Echantillon:
[quote]Moi : Tu caches toujours tes clefs ?
(Anecdote : elle m’a dit qu’elle cachait souvent ses clefs dans son soutien-gorge afin de prévenir un vol de sac à main)
Elle : *sourire*
Moi : *ma main sur sa poitrine* Je sens rien du tout
Elle : *se laisse faire* J’ai rien dit tout ça *sourire*
Plus tard.
Aurély avec un ami à elle que je connais maintenant très bien et une amie en commun.
[quote]Elle : ...En fait, je suis…
*je rentre le cercle*
Elle : Euh..je…je suis prise…
*blanc…deux seconde dans les yeux*
Moi : ….
Elle : C’est Thomas...Mais il habite à Poitiers maintenant et blabla
L’amie en commun dévit la conversation vers le tatouage d’Aurély.
Moi : *joke*
Je repars profiter de la soirée « plus libéré »
(Thomas est un ex-bordelais de mon âge dans son cercle d'amis d'amis qui lui tourne autour depuis deux ans. Je l'ai déjà rencontré une fois sur Paris (humm); Timoré, ne parle pas, introverti, s'habille exclusivement de noir, certainement très gentil ..(bon passons)
Aurély rentre plus tôt.
Je rentre beaucoup plus tard en compagnie d’une autre femme avec qui il n’y a rien eu au final.
Deux jours plus tard, message Facebook d’Aurély sur un souci internet réel (je pense) avec un paragraphe si la soirée passée fut agréable pour moi, je lui réponds de manière formelle et « j’oublie » le passage de la soirée.
Le lendemain, message Facebook disant que tout va bien. L’histoire : "son voisin lui avait offert de partager sa connexion, il lui avait dit qu’il arrêtait car ne vivant plus dans son appartement; coupure de 48h, me contacte pour trouver une solution mais finalement il rebranche et lui en fait cadeau."
*pas envie de comprendre*
J’ai beaucoup de remerciements pour la tentative d’aide.
Et je repère en trois messages:
tout va bien chez toi ?
tutti va bene pour toi ?
Je continue répondre de manière professionnelle à propos d'Internet et de façon détaché à ces questions en mettant une pointe d’humour.
J’ai peut-être fauté en disant que j’étais à la croisée des chemins et que je dois choisir avec plus de sagesse les domaines qui vaillent la peine que je m'y risque. (Dites-le moi)
Le surlendemain, elle m’annonce qu’elle est disponible si jamais j’ai l'envie et le besoin de me confier (Dammit !)
Je l’ai remercié mais je lui ai rétorqué que je gérais la situation toujours avec un ton léger et détaché.
Je précise qu’elle prend un point d’honneur à m’écrire sans faute d’orthographe et elle a déjà repris un message en s’excusant d’en avoir fait.
Visiblement, nous avons une tendresse l'un envers l’autre.
Mon opinion.
J’ai manqué de masculinité dans un moment clef.
J’ai fait ma fiotte, je paye le prix.
Elle veut me garder mais je ne serai jamais avec elle tant que je serai un petit garçon.
La situation peut être sauvée à court terme ?
Je trouve dommage de zapper une personne à une valeur ajoutée telle.
(rationalisation ?)
D’autant plus qu’elle fait parti d’un groupe d’ami avec qui j’aimerai continuer à voir.
C’est juste une question d’égo meurtri ?
Une pause s’impose ? Il est temps de grandir ?
Je vous remercie d'avoir lu mon pavé.
Pillonnez-moi.
Feu.
L’obsession amoureuse n’est qu’une question de maitrise de soi.
Connaitre les activités qu’on aime et aller les pratiquer.
Actions piliers, Actions masculines… tout cela devrait rouler.
C’est ce que je pensais naïvement quand tout allait bien dans ma vie.
Mais Karma is a b*tch.
J’aimerais vivement connaître vos ressentis, vos remarques à chaud, vos conseils et vos coups de fouet à ce qui va suivre.
Je n’ai pas assez de recul.
Ma rencontre avec (on va l’appeler : ) Aurély fut pendant cet été dans le cadre d’un projet ambitieux de danse où réunit une illustre chorégraphe, cinq danseurs professionnels et une soixantaine d’amateur dont cinquante femmes et une dizaine d’homme.
De par mon habitude, léger et énergique, je papillonne de groupe en groupe.
J’initiais le contact et plus tard les premières propositions hors contexte répétitions. Je fus payé en beuverie et en soirée.
Plusieurs nationalités étaient présentes, j’ai même eu une relation légère et assumée avec une jeune actrice italienne durant l’été. Le groupe italien est reparti au pays à la rentrée. Que je revois bientôt à Rimini.
Bref, tout cela pour vous dire que j’ai constitué des liens amicaux avec plusieurs groupes et j’en ai même fusionné certains.
Pour en revenir avec Aurély, c’est une toute nouvelle parisienne et elle avait manqué quelques répétitions à cause de la logistique de son déménagement. J’ai pu faire plus ample connaissance avec elle à partir de mi-octobre et j’ai constaté qu’elle avait une partie de son Bordeaux Gang sur Paris.
Pas si seule que cela contrairement à ce qu’elle me dit.
(Je précise qu’elle frôle la trentaine, j’ai vingt-huit ans et j’ai toujours connu des femmes plus jeunes).
Taquin et badin avec les femmes qui me plaisent physiquement et même parfois celles qui ne m’intéressent pas juste par entraînement, j’envoie des signaux plutôt brouillions masqués d’humour léger et d’impertinence autour Aurély en touchant délibérément nos amies en commun.
Oui, nous nous sommes constitués un groupe d’amis grâce à plusieurs projets.
Et j’aime beaucoup nos rapports.
Or au premier de l’an, n’ayant plus assez de congé pour repartir à Bordeaux d’après ce qu’elle me dit, elle accepte rapidement une invitation tardive de ma part alors qu’elle avait d’autres propositions plus alléchantes via Facebook.
Soirée simple et aux couleurs de l’Asie, mon riz cantonnais maison a fait un malheur auprès de mes invités.
Même mes amis les plus AFC ont senti qu’il y avait une odeur particulière entre Aurély et moi.
Au point de tous raccompagner une amie nous laissant seuls pendant un bon moment.
C’est alors qu’elle entreprit d’ouvrir les portes restées entre-ouvertes et escalader nos rapports ambigus avec des signes d’intérêts gros comme une maison.
Echantillons :
[quote]Elle : Je me sens tendue c’est temps-ci *en se mettant près de moi, montant son épaule nue et en le massant*.
*survolant le sujet sur les ex*
[quote]Elle: Je suis sorti avec un asiatique
Moi: depuis tu as horreur ^^
Elle: Oh noon, bien au contraire
ou
[quote]Elle :…le passé est terminé…
Moi :…le futur est à construire …
Elle :…seul le présent compte désormais
[quote]Elle : Il fait chaud chez toi *enlève une couche*
Malheureusement pour nous, je n'ai pas fait le travail attendu.
Elle a dégainé son téléphone et elle est rentrée avec un couple d’amis qui m’ont dit plus tard
[quote]Elle n’avait pas l’air contente. Faut dire aussi qu’elle était très fatiguée. (elle s'est endormie sur mon canapé un moment)
Mais b*rdel qu’est-ce qui se passe chez moi ?!
Pourquoi je feins autant l'ignorance tel un débutant sans c*uilles ?!
Avec le recul, le fait d’imaginer son secret agenda m’a fait peur.
Je pense qu’elle est une véritable femme équilibrée de 30 ans qui n’hésite pas à dérouler son jeu face à un potentiel monospace.
Je vous avouerai que j’ai toujours un côté étudiant roulant en mustang.
Après cette soirée, nous nous sommes échangés sms et messages Facebook amicaux et tentative de reconnexions de ma part.
Conscient de mes erreurs, je tente d’être le plus adulte en restant cohérent et en montrant les qualités qui a pu l’a séduire.
Ses allers retours Paris-Bordeaux empêchent de nous revoir.
Elle continue à me taquiner sur mon âge et elle me considère comme un garçon charmant mais garçon quand même désormais.
Elle a étoffé son humour avec le mot bébé à mon égard.
Début février,
Nous nous somme vu à la crémaillère d’une amie de la danse. Comme à mon habitude, je papillonne, je ventile. Je continue à flirter avec elle, elle joue avec moi.
Echantillon:
[quote]Moi : Tu caches toujours tes clefs ?
(Anecdote : elle m’a dit qu’elle cachait souvent ses clefs dans son soutien-gorge afin de prévenir un vol de sac à main)
Elle : *sourire*
Moi : *ma main sur sa poitrine* Je sens rien du tout
Elle : *se laisse faire* J’ai rien dit tout ça *sourire*
Plus tard.
Aurély avec un ami à elle que je connais maintenant très bien et une amie en commun.
[quote]Elle : ...En fait, je suis…
*je rentre le cercle*
Elle : Euh..je…je suis prise…
*blanc…deux seconde dans les yeux*
Moi : ….
Elle : C’est Thomas...Mais il habite à Poitiers maintenant et blabla
L’amie en commun dévit la conversation vers le tatouage d’Aurély.
Moi : *joke*
Je repars profiter de la soirée « plus libéré »
(Thomas est un ex-bordelais de mon âge dans son cercle d'amis d'amis qui lui tourne autour depuis deux ans. Je l'ai déjà rencontré une fois sur Paris (humm); Timoré, ne parle pas, introverti, s'habille exclusivement de noir, certainement très gentil ..(bon passons)
Aurély rentre plus tôt.
Je rentre beaucoup plus tard en compagnie d’une autre femme avec qui il n’y a rien eu au final.
Deux jours plus tard, message Facebook d’Aurély sur un souci internet réel (je pense) avec un paragraphe si la soirée passée fut agréable pour moi, je lui réponds de manière formelle et « j’oublie » le passage de la soirée.
Le lendemain, message Facebook disant que tout va bien. L’histoire : "son voisin lui avait offert de partager sa connexion, il lui avait dit qu’il arrêtait car ne vivant plus dans son appartement; coupure de 48h, me contacte pour trouver une solution mais finalement il rebranche et lui en fait cadeau."
*pas envie de comprendre*
J’ai beaucoup de remerciements pour la tentative d’aide.
Et je repère en trois messages:
tout va bien chez toi ?
tutti va bene pour toi ?
Je continue répondre de manière professionnelle à propos d'Internet et de façon détaché à ces questions en mettant une pointe d’humour.
J’ai peut-être fauté en disant que j’étais à la croisée des chemins et que je dois choisir avec plus de sagesse les domaines qui vaillent la peine que je m'y risque. (Dites-le moi)
Le surlendemain, elle m’annonce qu’elle est disponible si jamais j’ai l'envie et le besoin de me confier (Dammit !)
Je l’ai remercié mais je lui ai rétorqué que je gérais la situation toujours avec un ton léger et détaché.
Je précise qu’elle prend un point d’honneur à m’écrire sans faute d’orthographe et elle a déjà repris un message en s’excusant d’en avoir fait.
Visiblement, nous avons une tendresse l'un envers l’autre.
Mon opinion.
J’ai manqué de masculinité dans un moment clef.
J’ai fait ma fiotte, je paye le prix.
Elle veut me garder mais je ne serai jamais avec elle tant que je serai un petit garçon.
La situation peut être sauvée à court terme ?
Je trouve dommage de zapper une personne à une valeur ajoutée telle.
(rationalisation ?)
D’autant plus qu’elle fait parti d’un groupe d’ami avec qui j’aimerai continuer à voir.
C’est juste une question d’égo meurtri ?
Une pause s’impose ? Il est temps de grandir ?
Je vous remercie d'avoir lu mon pavé.
Pillonnez-moi.
Feu.