- Mer Déc 26, 2018 6:21 pm
#186092
Bonjour à tous,
Je viens vous présenter aujourd'hui cette question, qui, je vous l'avoue, me fait pas mal réfléchir ces derniers temps, et a été ravivée par une remarque de Stéphane lors de son séminaire Small Talk que j'ai commandé tout récemment.
Le postulat est donc simple, et ramène au titre du thread: Selon-vous, le fait de se projeter sans enfants, est il un frein à la séduction?
Il s'agit ici non pas tant de la vision de projection qu'une femme pourrait avoir d'un homme qu'elle connaît déjà, mais de l'entame de l'échange avec cette dernière (bris de glace, small talk, connection). En dehors de tous les concepts que l'on véhicule sur ce site pour se donner les moyens de connecter avec une femme, on sait aussi que l'attirance se crée sur des facteurs biochimiques, la capacité d'un individu X à donner, de part ses caractéristiques physiologiques, le plus de chances, à une progéniture éventuelle, de survivre et se développer dans les meilleures conditions. S'ensuit bien évidemment, toutes les données qui affirmeront cette conviction chez F, dans le comportement et les valeurs, financières, sociales et autres, que véhiculera H.
Je n'ai pas, pour aussi loin que je me souvienne, jamais émis le souhait d'avoir d'enfants. Aujourd'hui à la trentaine, et ayant cumulé plusieurs relations, assez différentes les unes des autres, je suis resté toujours fixe sur cette résolution. J'en viens à me poser la question suivante: Est-ce que, dans mon comportement avec F, d'une façon ou d'une autre, je pourrais inconsciemment véhiculer cet état d'esprit, qui pourrait me fermer les portes d'une connection? Si F a besoin, d'une façon ou d'une autre, de se projeter avec H pour envisager d'aller au delà de l'échange badin, comment pourrait-elle le faire si justement H ne dégage pas la possibilité d'être un géniteur?
Je ne me pose donc pas la question de savoir si une relation durable est possible avec la majorité des femmes, en entretenant l'idée de ne pas vouloir d'enfants. Il s'agit de simples statistiques, mon interrogation réside plutôt dans le "avant".
C'est sans doute très "meta" et abstrait comme idée, mais j'aimerais particulièrement vos avis là dessus.
Je viens vous présenter aujourd'hui cette question, qui, je vous l'avoue, me fait pas mal réfléchir ces derniers temps, et a été ravivée par une remarque de Stéphane lors de son séminaire Small Talk que j'ai commandé tout récemment.
Le postulat est donc simple, et ramène au titre du thread: Selon-vous, le fait de se projeter sans enfants, est il un frein à la séduction?
Il s'agit ici non pas tant de la vision de projection qu'une femme pourrait avoir d'un homme qu'elle connaît déjà, mais de l'entame de l'échange avec cette dernière (bris de glace, small talk, connection). En dehors de tous les concepts que l'on véhicule sur ce site pour se donner les moyens de connecter avec une femme, on sait aussi que l'attirance se crée sur des facteurs biochimiques, la capacité d'un individu X à donner, de part ses caractéristiques physiologiques, le plus de chances, à une progéniture éventuelle, de survivre et se développer dans les meilleures conditions. S'ensuit bien évidemment, toutes les données qui affirmeront cette conviction chez F, dans le comportement et les valeurs, financières, sociales et autres, que véhiculera H.
Je n'ai pas, pour aussi loin que je me souvienne, jamais émis le souhait d'avoir d'enfants. Aujourd'hui à la trentaine, et ayant cumulé plusieurs relations, assez différentes les unes des autres, je suis resté toujours fixe sur cette résolution. J'en viens à me poser la question suivante: Est-ce que, dans mon comportement avec F, d'une façon ou d'une autre, je pourrais inconsciemment véhiculer cet état d'esprit, qui pourrait me fermer les portes d'une connection? Si F a besoin, d'une façon ou d'une autre, de se projeter avec H pour envisager d'aller au delà de l'échange badin, comment pourrait-elle le faire si justement H ne dégage pas la possibilité d'être un géniteur?
Je ne me pose donc pas la question de savoir si une relation durable est possible avec la majorité des femmes, en entretenant l'idée de ne pas vouloir d'enfants. Il s'agit de simples statistiques, mon interrogation réside plutôt dans le "avant".
C'est sans doute très "meta" et abstrait comme idée, mais j'aimerais particulièrement vos avis là dessus.