By john dilinger - Lun Juin 25, 2012 7:05 pm
- Lun Juin 25, 2012 7:05 pm
#123518
Bonsoir,
Je reviens faire un tour dans l'aide personnalisée à propos d'une histoire sur laquelle j'ai du mal à prendre du recul.
Etant en période d'examen, je vais tenter d'être bref.
Je vois une fille depuis environ un mois : Marie. On a eu plusieurs rendez-vous, on s'est embrassés au premier.
Pour l'instant tout se passait bien : c'était elle qui m'avait proposé le 2e rendez-vous et elle avait aussi proposé l'activité pour le 3e. Je lui avais proposé de me ramener un petit gâteau qu'elle aurait fait elle-même pour notre 3e rdv, et elle y a pensé. Bref, tout ça semblait bien tourner.
Hier c'était notre troisième rendez-vous et je comptais l'amener chez moi, ce que j'ai fait 2h après qu'on se soit retrouvés.
Je la sens nerveuse en arrivant chez moi, pourtant elle s'était montrée enjouée à l'idée de découvrir mon studio (je viens d'emménager et ce studio ne comporte pour l'instant qu'un lit et 2 chaises... mouais un peu glauque maintenant que j'y pense ).
On continue de parler dans le studio, puis je lui prends le bras et la rapproche de moi. On s'embrasse debout, loin du lit. Je lui enlève son gilet, elle m'aide à le faire. Et au moment où ma main touche sa peau sous son t-shirt, elle arrête de m'embrasser :
[quote]Désolé, on n'ira pas plus loin.
Je n'insiste pas, m'éloignant même carrément de 1 mètre en lui disant qu'il n'y a pas de souci (pensant faire du "freeze out").
Elle s’assoit pour remettre ses chaussures et rajoute l'air désolée :
[quote]On se connait pas vraiment.
Et elle est partie de chez moi.
Je pense savoir ce qui a déclenché cette réaction et vous me direz si je me trompe :
- en cumulant les 3 rendez-vous, je n'ai pas du passer plus de 4h avec elle, ce qui est peu tôt pour sauter le pas.
- conséquence du point précédent, il y avait encore une sorte de léger malaise (tension ?) entre nous qui aurait dû me dissuader de tenter quoi que ce soit ce soir.
- j'ai relevé des qualités qui me plaisaient vraiment chez elle (sa culture, sa conversation) mais je n'ai quand même pas l'impression d'avoir fait une connexion de qualité.
Tout ça fait qu'il était improbable qu'il se passe quoi que ce soit de plus ce soir-là. Mais bon, le "mal" est fait.
C'est justement le degré de ce mal que je souhaiterais connaître aujourd'hui. Je me suis senti mal à l'aise depuis sa réaction et, alors que j'avais les rênes de la relation jusqu'à présent, j'ai maintenant tendance à vouloir m'excuser de ce qu'il s'est passé, et donc à avoir une position plus basse dans la relation ; et faut-il s'excuser de s'être montré à peine entreprenant ?
Je dis à peine car à son premier stop, j'ai tout de suite arrêté. Mais elle s'est peut-être quand même sentie offensée que j'envisage de sauter le pas après si peu de temps passé ensemble.
Plus concrètement : "On se connait pas vraiment." A votre avis qu'est-ce que ça présage pour la suite ?
Merci d'avance pour vos réponses.
Je reviens faire un tour dans l'aide personnalisée à propos d'une histoire sur laquelle j'ai du mal à prendre du recul.
Etant en période d'examen, je vais tenter d'être bref.
Je vois une fille depuis environ un mois : Marie. On a eu plusieurs rendez-vous, on s'est embrassés au premier.
Pour l'instant tout se passait bien : c'était elle qui m'avait proposé le 2e rendez-vous et elle avait aussi proposé l'activité pour le 3e. Je lui avais proposé de me ramener un petit gâteau qu'elle aurait fait elle-même pour notre 3e rdv, et elle y a pensé. Bref, tout ça semblait bien tourner.
Hier c'était notre troisième rendez-vous et je comptais l'amener chez moi, ce que j'ai fait 2h après qu'on se soit retrouvés.
Je la sens nerveuse en arrivant chez moi, pourtant elle s'était montrée enjouée à l'idée de découvrir mon studio (je viens d'emménager et ce studio ne comporte pour l'instant qu'un lit et 2 chaises... mouais un peu glauque maintenant que j'y pense ).
On continue de parler dans le studio, puis je lui prends le bras et la rapproche de moi. On s'embrasse debout, loin du lit. Je lui enlève son gilet, elle m'aide à le faire. Et au moment où ma main touche sa peau sous son t-shirt, elle arrête de m'embrasser :
[quote]Désolé, on n'ira pas plus loin.
Je n'insiste pas, m'éloignant même carrément de 1 mètre en lui disant qu'il n'y a pas de souci (pensant faire du "freeze out").
Elle s’assoit pour remettre ses chaussures et rajoute l'air désolée :
[quote]On se connait pas vraiment.
Et elle est partie de chez moi.
Je pense savoir ce qui a déclenché cette réaction et vous me direz si je me trompe :
- en cumulant les 3 rendez-vous, je n'ai pas du passer plus de 4h avec elle, ce qui est peu tôt pour sauter le pas.
- conséquence du point précédent, il y avait encore une sorte de léger malaise (tension ?) entre nous qui aurait dû me dissuader de tenter quoi que ce soit ce soir.
- j'ai relevé des qualités qui me plaisaient vraiment chez elle (sa culture, sa conversation) mais je n'ai quand même pas l'impression d'avoir fait une connexion de qualité.
Tout ça fait qu'il était improbable qu'il se passe quoi que ce soit de plus ce soir-là. Mais bon, le "mal" est fait.
C'est justement le degré de ce mal que je souhaiterais connaître aujourd'hui. Je me suis senti mal à l'aise depuis sa réaction et, alors que j'avais les rênes de la relation jusqu'à présent, j'ai maintenant tendance à vouloir m'excuser de ce qu'il s'est passé, et donc à avoir une position plus basse dans la relation ; et faut-il s'excuser de s'être montré à peine entreprenant ?
Je dis à peine car à son premier stop, j'ai tout de suite arrêté. Mais elle s'est peut-être quand même sentie offensée que j'envisage de sauter le pas après si peu de temps passé ensemble.
Plus concrètement : "On se connait pas vraiment." A votre avis qu'est-ce que ça présage pour la suite ?
Merci d'avance pour vos réponses.
Si tu peux être amant sans être fou d'amour,
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.
Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre
[...]
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ;
[...]
Tu seras un Homme, mon fils.