- Mer Aoû 08, 2012 12:29 am
#124823
Bonsoir gentlemen, ladies,
Ce soir un nouveau récit de rencontre. Celui d'une fille au pair anglaise et fraîchement débarquée dans ma ville des bords du Rhin, rencontrée sur Internet. Lors de mon premier rendez-vous, j'arrive une heure en retard, elle me paye un cocktail et rit à mes blagues pourries (alors qu'elle m'avait avoué avoir détester devoir payer une glace à un américain rencontré une semaine plus tôt qui avait "oublié" sa monnaie) et je ne lui trouve rien de spécial jusqu'au moment où l'on s'est embrassés (les gars, portez une belle écharpe qu'elle aura envie de toucher et de saisir, ça aide pour le rapprochement physique). Vous savez ce qu'on dit (ou voit dans les films) sur les filles flippées? Eh bien cela s'est vérifié au moment où elle a commencé à me mordre et à me dire "spank me".
Elle était là depuis une semaine, moi je déménageais le lendemain, je décide d'en rester là, elle prend le dernier bus. Après deux semaines de chat et de plusieurs rendez-vous manqués (plusieurs fois je ne peux pas, d'autres fois c'est elle) on se revoit finalement ce soir. Rebelote : retard d'une heure (cette fois ce n'était pas ma faute, mais j'ai réussi à la rappeler pour la convaincre de rester m'attendre - needy?) et après une claque gentille et deux minutes à marcher côte-à-côte, elle me prend par le col et m'embrasse goûlument.
On va se poser dans un bar au bord de l'eau, elle s'approche de moi quand je le lui dis et commence à me toucher à des endroits inappropriés en public. On descend un peu plus bas sur des marches, je la sens acquise à ma cause. Cela se confirme avec des sous-entendus de moins en moins évasifs ("suck it", "fuck me", le regard et le toucher qui vont avec). Sauf que! Quand je lui propose de traverser le pont pour rentrer chez moi (dix minutes à pied), elle se dérobe et prétend avoir peur des ponts (mes fesses, qu'elle malaxera avec garçerie plus tard, oui). Je n'ai pas projeté d'estampes japonaises ou quoi que ce soit pour la ramener chez moi, c'était peut-être mon erreur.
Quoiqu'il en soit, elle me dit quand même "pas cette fois" - ce qui me laisse entrevoir une chance pour une prochaine, mais quand, et pourquoi pas celle-là?! Bref, on marche encore dix minutes, je la plaque deux fois contre un mur en lui murmurant des mots cochons ("you're doing it on purpose") jusqu'à ce qu'elle commence à me supplier "stop" d'un ton qui veut dire "continue", je la plante alors à son endroit et repars sans regarder en arrière.
What's the matter with this girl?!
Ce soir un nouveau récit de rencontre. Celui d'une fille au pair anglaise et fraîchement débarquée dans ma ville des bords du Rhin, rencontrée sur Internet. Lors de mon premier rendez-vous, j'arrive une heure en retard, elle me paye un cocktail et rit à mes blagues pourries (alors qu'elle m'avait avoué avoir détester devoir payer une glace à un américain rencontré une semaine plus tôt qui avait "oublié" sa monnaie) et je ne lui trouve rien de spécial jusqu'au moment où l'on s'est embrassés (les gars, portez une belle écharpe qu'elle aura envie de toucher et de saisir, ça aide pour le rapprochement physique). Vous savez ce qu'on dit (ou voit dans les films) sur les filles flippées? Eh bien cela s'est vérifié au moment où elle a commencé à me mordre et à me dire "spank me".
Elle était là depuis une semaine, moi je déménageais le lendemain, je décide d'en rester là, elle prend le dernier bus. Après deux semaines de chat et de plusieurs rendez-vous manqués (plusieurs fois je ne peux pas, d'autres fois c'est elle) on se revoit finalement ce soir. Rebelote : retard d'une heure (cette fois ce n'était pas ma faute, mais j'ai réussi à la rappeler pour la convaincre de rester m'attendre - needy?) et après une claque gentille et deux minutes à marcher côte-à-côte, elle me prend par le col et m'embrasse goûlument.
On va se poser dans un bar au bord de l'eau, elle s'approche de moi quand je le lui dis et commence à me toucher à des endroits inappropriés en public. On descend un peu plus bas sur des marches, je la sens acquise à ma cause. Cela se confirme avec des sous-entendus de moins en moins évasifs ("suck it", "fuck me", le regard et le toucher qui vont avec). Sauf que! Quand je lui propose de traverser le pont pour rentrer chez moi (dix minutes à pied), elle se dérobe et prétend avoir peur des ponts (mes fesses, qu'elle malaxera avec garçerie plus tard, oui). Je n'ai pas projeté d'estampes japonaises ou quoi que ce soit pour la ramener chez moi, c'était peut-être mon erreur.
Quoiqu'il en soit, elle me dit quand même "pas cette fois" - ce qui me laisse entrevoir une chance pour une prochaine, mais quand, et pourquoi pas celle-là?! Bref, on marche encore dix minutes, je la plaque deux fois contre un mur en lui murmurant des mots cochons ("you're doing it on purpose") jusqu'à ce qu'elle commence à me supplier "stop" d'un ton qui veut dire "continue", je la plante alors à son endroit et repars sans regarder en arrière.
What's the matter with this girl?!
Er schoss ein leeres Wort zum Zeitvertreib
In’s Blaue — und doch fiel darob ein Weib.
In’s Blaue — und doch fiel darob ein Weib.