- Lun Avr 11, 2011 9:25 am
#107813
Bonjour,
J'ai un petit soucis de socialisation, qui provient, soit de mon tempérament intrinsèque, soit d'un problème que je dois résoudre et donc que je vous soumets.
Il y a une amie, hier, qui m'a appelé pour parler, tout ce passait bien, quand finalement, dieu sait pour quelle raison, elle me parle de son dernier coup de rein, avec un vieux de 40 ans.
Digne d'un diplomate, je lui fais comprendre que cela m'intéresse nullement, et je raccroche.
Et voilà, qu'à mes yeux, cette bonne amie, vient de perdre de la valeur à mes yeux. (Sans pour autant que je la vire de ma vie. Je suis un fanatique, mais pas à ce point).
A noter qu'elle ne m'intéresse pas.
Et quand je regarde mon passé, il s'avère que je considère qu'une femme parlant crûment de ses frasques devant moi, perd le plus souvent de l'intérêt à mes yeux (alors que pour un homme, j'en ai juste rien à foutre). J'ai encore en tête, une fille de mon ancienne prépa, qui m'intéressait, je l'intéressais, le plan se déroulait sans accroc, et un jour, on était en groupe, elle nous raconte sa plus mauvaise expérience sexuelle. D'un coup, ça m'a coupé. Net.
Et s'il s'avère que j'apprends qu'elle eut affaire avec un type qui pourrait être son père, j'ai un dégoût profond qui se réveille.
De fil en aiguille, je me suis mis à me demander si ce n'était pas moi le problème. Soit parce que je serais jaloux de ces inconnus. Soit parce que ça réveille une frustration enfouie bien profondément.... Soit parce que je suis un salaud de misogyne inconscient.
Et, même si, en toute bonne foi, mon caractère veut que je refuse d'écouter les histoires de parties de jambes l'air d'amies, au vue de l'époque, suis-je finalement obligé de m'y plier pour ne pas m'enfermer dans ma cabane ?
J'ai un petit soucis de socialisation, qui provient, soit de mon tempérament intrinsèque, soit d'un problème que je dois résoudre et donc que je vous soumets.
Il y a une amie, hier, qui m'a appelé pour parler, tout ce passait bien, quand finalement, dieu sait pour quelle raison, elle me parle de son dernier coup de rein, avec un vieux de 40 ans.
Digne d'un diplomate, je lui fais comprendre que cela m'intéresse nullement, et je raccroche.
Et voilà, qu'à mes yeux, cette bonne amie, vient de perdre de la valeur à mes yeux. (Sans pour autant que je la vire de ma vie. Je suis un fanatique, mais pas à ce point).
A noter qu'elle ne m'intéresse pas.
Et quand je regarde mon passé, il s'avère que je considère qu'une femme parlant crûment de ses frasques devant moi, perd le plus souvent de l'intérêt à mes yeux (alors que pour un homme, j'en ai juste rien à foutre). J'ai encore en tête, une fille de mon ancienne prépa, qui m'intéressait, je l'intéressais, le plan se déroulait sans accroc, et un jour, on était en groupe, elle nous raconte sa plus mauvaise expérience sexuelle. D'un coup, ça m'a coupé. Net.
Et s'il s'avère que j'apprends qu'elle eut affaire avec un type qui pourrait être son père, j'ai un dégoût profond qui se réveille.
De fil en aiguille, je me suis mis à me demander si ce n'était pas moi le problème. Soit parce que je serais jaloux de ces inconnus. Soit parce que ça réveille une frustration enfouie bien profondément.... Soit parce que je suis un salaud de misogyne inconscient.
Et, même si, en toute bonne foi, mon caractère veut que je refuse d'écouter les histoires de parties de jambes l'air d'amies, au vue de l'époque, suis-je finalement obligé de m'y plier pour ne pas m'enfermer dans ma cabane ?