- Jeu Mai 07, 2009 9:09 pm
#74252
Bonjour à toutes et tous,
Cela fait maintenant quelques temps que je vous lis assidûment et je franchis enfin le pas de la présentation.
Premier point : Comment vous ai-je connu ?
Contrairement à ce que j’ai pu lire pour quelques uns, je n’ai pas tapé séduction sur Google.
Non, je recherchais des informations sur l’art de vivre, les bonnes manières, toutes ces choses qui font la différence et la présence en bonne compagnie. A défaut d’avoir une éducation des plus complètes, on est le plus souvent obliger de parfaire cela par une recherche personnelle pour tenter de limer cette perfectibilité. Et cette quête personnel se trouve être en fin de compte une bonne chose, affinant le jugement personnel au lieu d’une application imposée.
Toujours est-il que dans ma recherche, je suis tombé sur un article de Spike traitant des bonnes manières. C’est à ce moment là que j’ai découvert l’existence de cette communauté (bien que ce terme fasse un peu compagnonnage).
Au départ intrigué, puis amusé en voyant qu’il s’agissait d’apprendre « la séduction », j’ai vite déchanté quand j’ai pris conscience que ce n’était que la partie émergée de l’iceberg, et que derrière cela se cachait des notions proches (look, langage du corps…) voir généralistes (lifestyle, comportement social, développement du bon goût « universel »…).
Le début fut fulgurant, j’ai essayé d’engloutir le plus d’articles. Un peu perdu initialement (par le langage technique qui était en anglais alors ; par les différentes thématiques parallèles), j’ai très vite pris conscience de l’ampleur des lacunes, mais les rapports sociaux étant un de mes dadas, le poisson était harponné !
Qui suis-je ?
Étudiant en deuxième cycle de médecine, je pratique quelques cursus parallèles, entre autre un master de « psychobiologie des comportements ».
Pour comprendre cet attachement pour les comportements, laissez-moi faire un petit retour en arrière afin d’en développer un aspect. Quand il est question de rapports sociaux, la séduction n’est jamais bien loin. Il s’agit de cela en fin de compte, séduire pour intéresser assez notre interlocuteur et permettre un échange (peut importe son sexe, son statut, nos ambitions envers lui).
Ainsi donc je remonte à l’époque lycée. Étant grand sportif à l’époque (mes études m’accapare dorénavant, m’obligeant à réduire mes heures de sports), je jouissais d’une certaine notoriété, et je n’échappa pas à la catégorisation en groupes dont sont adeptes les lycéens.
Ainsi catégorisé « sportif », je renvoyais une image, incomplète, mais qui me permit un certains nombre de conquêtes sans avoir à chercher comment faire ou ne pas faire.
Obligé par mon choix d’étude de rejoindre une grande ville, je suis redevenu socialement vierge de toute image. J’ai alors pris conscience que par avant je n’avais pas eu à réfléchir pour avoir ou tenter d’avoir celle que je voulais.
C’est donc à mes 18 ans que le terme de séduction pris tout son sens. Âgé de 22 ans maintenant, ce concept est bien ancré et est une des explications de mon amour pour les rapports humains.
Voilà pour mes études.
En ce qui concerne mes temps libres, ils se divisent entre différents sports, mes amis, et des activités festives ou estudiantines.
Mon look :
D’un look sportif, j’ai adopté un look beaucoup plus citadin. N’ayant pas un attrait inné pour les vêtements, l’intérêt de l’habit (ainsi que de l’image) ne s’est imposé de lui-même que depuis mes études supérieures. Cependant à force de recherche, j’ai pris gouts à cette pratique, et en suis dorénavant un fervent défenseur. L’adage « l’habit ne fait pas le moine » est à prendre avec des pincettes !
Je ne m’autorise les tenues excentriques que pour les soirées, privilégiant la sobriété pour la journée car « la classe est dans la sobriété » (sans intention de paraphraser)
Voilà j’espère avoir été concis et exhaustif.
Cela fait maintenant quelques temps que je vous lis assidûment et je franchis enfin le pas de la présentation.
Premier point : Comment vous ai-je connu ?
Contrairement à ce que j’ai pu lire pour quelques uns, je n’ai pas tapé séduction sur Google.
Non, je recherchais des informations sur l’art de vivre, les bonnes manières, toutes ces choses qui font la différence et la présence en bonne compagnie. A défaut d’avoir une éducation des plus complètes, on est le plus souvent obliger de parfaire cela par une recherche personnelle pour tenter de limer cette perfectibilité. Et cette quête personnel se trouve être en fin de compte une bonne chose, affinant le jugement personnel au lieu d’une application imposée.
Toujours est-il que dans ma recherche, je suis tombé sur un article de Spike traitant des bonnes manières. C’est à ce moment là que j’ai découvert l’existence de cette communauté (bien que ce terme fasse un peu compagnonnage).
Au départ intrigué, puis amusé en voyant qu’il s’agissait d’apprendre « la séduction », j’ai vite déchanté quand j’ai pris conscience que ce n’était que la partie émergée de l’iceberg, et que derrière cela se cachait des notions proches (look, langage du corps…) voir généralistes (lifestyle, comportement social, développement du bon goût « universel »…).
Le début fut fulgurant, j’ai essayé d’engloutir le plus d’articles. Un peu perdu initialement (par le langage technique qui était en anglais alors ; par les différentes thématiques parallèles), j’ai très vite pris conscience de l’ampleur des lacunes, mais les rapports sociaux étant un de mes dadas, le poisson était harponné !
Qui suis-je ?
Étudiant en deuxième cycle de médecine, je pratique quelques cursus parallèles, entre autre un master de « psychobiologie des comportements ».
Pour comprendre cet attachement pour les comportements, laissez-moi faire un petit retour en arrière afin d’en développer un aspect. Quand il est question de rapports sociaux, la séduction n’est jamais bien loin. Il s’agit de cela en fin de compte, séduire pour intéresser assez notre interlocuteur et permettre un échange (peut importe son sexe, son statut, nos ambitions envers lui).
Ainsi donc je remonte à l’époque lycée. Étant grand sportif à l’époque (mes études m’accapare dorénavant, m’obligeant à réduire mes heures de sports), je jouissais d’une certaine notoriété, et je n’échappa pas à la catégorisation en groupes dont sont adeptes les lycéens.
Ainsi catégorisé « sportif », je renvoyais une image, incomplète, mais qui me permit un certains nombre de conquêtes sans avoir à chercher comment faire ou ne pas faire.
Obligé par mon choix d’étude de rejoindre une grande ville, je suis redevenu socialement vierge de toute image. J’ai alors pris conscience que par avant je n’avais pas eu à réfléchir pour avoir ou tenter d’avoir celle que je voulais.
C’est donc à mes 18 ans que le terme de séduction pris tout son sens. Âgé de 22 ans maintenant, ce concept est bien ancré et est une des explications de mon amour pour les rapports humains.
Voilà pour mes études.
En ce qui concerne mes temps libres, ils se divisent entre différents sports, mes amis, et des activités festives ou estudiantines.
Mon look :
D’un look sportif, j’ai adopté un look beaucoup plus citadin. N’ayant pas un attrait inné pour les vêtements, l’intérêt de l’habit (ainsi que de l’image) ne s’est imposé de lui-même que depuis mes études supérieures. Cependant à force de recherche, j’ai pris gouts à cette pratique, et en suis dorénavant un fervent défenseur. L’adage « l’habit ne fait pas le moine » est à prendre avec des pincettes !
Je ne m’autorise les tenues excentriques que pour les soirées, privilégiant la sobriété pour la journée car « la classe est dans la sobriété » (sans intention de paraphraser)
Voilà j’espère avoir été concis et exhaustif.