- Jeu Jan 12, 2012 4:02 am
#117671
This is it.
Ca s'est déroulé en 5 temps.
Avant ça, n'ayant pas pratiqué durant les fêtes, en raison de l'absence de jeunes filles à l'horizon là où je me promenais, je ressentis à nouveau la fameuse anxiété d'approche que j'avais pourtant réussi à au moins contrôler depuis début décembre grâce à ma pratique quotidienne de Zazen. Mais évidemment, Zazen ne fait pas tout, ça apporte sérénité et décontraction au quotidien, mais quand l'élue de votre coeur, ou d'un peu plus bas que votre coeur, se pointe à votre vue, et que vous ne pratiquez plus, l'affaire fait rapidement plouf.
Mais la suite arriva rapidement, car il fallait que je me sortisse les doigts. Ce fut chose faite dans le bus avec une petite blonde au cul sans nom. Elle lâcha son sac... comme un sac, et le claquage sur le sol fut remarquable. Je rebondis là-dessus, disant qu'elle y était allée un peu fort. Bien qu'elle s'excusa, je vis que la fille se sentit un peu attaquée. Au bout de 30 secondes, elle me tourna le dos de façon assez magistrale et alla se tasser un peu plus loin avec sa copine. Mais qu'importe, maintenant, il m'en faut plus pour me foutre en l'air, d'autant que, étant un peu rouillé, je sais pertinemment là où je merdai. Une autre arriva et s'arrêta à mes côtés.
Je parle de la petitesse de ces nouveaux bus, du manque de place par rapport aux autres. Elle me répondit que c'était peut-être une illusion, et j'embrayais sur la chanson de jessèpuki "juste une illusion". Evidemment elle connaît pas, elle est québécoise, et je la défie de me trouver un nom de chanteur québécois que je serais susceptible de ne pas connaître. Manque de bol, je connais, et je lui dis que si elle veut m'avoir, il faudra qu'elle fasse bien plus. Puis elle annonça son départ, car elle devait descendre. Je ne pris pas son numéro, ayant abordé cette fille juste pour la forme et me remettre dans le bain tranquillo. Elle me gratifia d'un "à la prochaine", formule dont je me demande si en un certain sens elle n'est pas, ici au Québec, (petit) signe d'intérêt, rendant compte d'une personne qui ne serait pas contre l'idée de vous revoir (par opposition au "bonne chance" qui serait "merci coco, bye bye"). Je vérifierai cela dans mes futures interactions.
Puis à mon tour, je descends, chargé à bloc, direction le Starbucks de mon quartier. Une ribambelle de nanas, c'est hallucinant. Je commande mon habituel espresso, et je chopai une table collée à celle de deux jeunes nanas tendance pouf. Je décolle la table de la leur, sans demander aux deux, et la blonde des deux retirent de ma table un gobelet à café vide posé dessus, puis le remet, puis le retire pour le poser sur sa table... Intimidée, surprise, dans son monde, à coup sûr, attitude anormale... toujours est-il que je la regarde (ou les deux, je sais pu), la blonde me dit que je peux prendre la table. Je lui fis une remarque sur son geste étrange, et je lui dis qu'elle avait oublié les papiers de sucre. Elle s'excuse, mais évidemment je lui avoue que je déconnais. Cela dit, j'avoue, un neg d'entrée, voire deux, ca craint quand même. J'essaie donc de me concentrer sur mon boulot, sentant que j'avais un peu foiré l'affaire. Je vis pourtant les deux disperser leur attention dans la pièce, et pendant que la copine était au téléphone, je fis une remarque sur la coque bling bling du téléphone de la blonde. Je ne sais exactement ce qui se passe, mais la copine était en train de rigoler dans sa barbe, à se foutre de ma gueule ou de sa copine, ou des deux, mais je relève pas. Mode neg encore une fois, mais grillé pour grillé on s'en fout, et retour au boulot, on est là pour ça, bordel de merde.
Les deux s'apprêtent alors à partir, et étonnamment, la blonde ne se presse pas pour se préparer et s'éloigner de la table, alors que la copine attendait déjà à la porte qui se trouvait à moins de deux mètres de nos places. Allez hop, re neg à la blonde, à qui je dis de se dépêcher car sa copine l'attend. Elle comprend pas trop. Je lui fis un signe "laisse faire", et ce fut la fin.
Mais bon, encore une fois, ça n'entama en rien ma sérénité, mon moral et mon énergie (merci Zazen), et je changeai de place pour profiter des mythiques banquettes qui longeaient le mur à la droite de la porte d'entrée. A la table à côté, deux filles qui discutaient. Je sentis de la disponibilité de l'une des deux, de sorte que j'attrapai au vol un sourire de la fameuse. Il en fallait pas plus pour que j'ouvrisse le set, mais cela n'alla pas bien loin ; elles étaient sur le point de partir (ou alors je les ai faites fuir ).
Last but not least. Ce jour, il faisait over froid, et ne portant pas de gant, j'avais les mains horriblement gelée, sans parler des courants d'air que je sentais à ma place. La table à ma droite s'étant libérée, je demandai à une jolie brune s'il y avait moins de courants d'air de ce côté. Elle me répondit que oui je pouvais m'asseoir là, ce que je fis dans la foulée. Elle me demanda si c'était mieux à cette place. Je fis peut-être, et 2 secondes plus, je me demandai s'il n'y avait pas un msg subliminal à lire. Qu'importe, la discussion s'engage, puis se tasse, mais je remarquai sa disponibilité évidente : les jambes croisées légèrement sur sa gauche (je me trouvais à sa gauche), ainsi que son regard qui brassa l'horizon à plusieurs reprises. Quand je la vis fermer son ordi, je relançai et une conversation suffisamment longue pour apprécier la personne commença. On parla de tout et de rien. Cette fille avait une façon particulière de s'exprimer : d'abord, elle débordait d'énergie et d'enthousiasme, mais aussi elle faisait bcp de geste. Je lui fis la remarque, essayant de lui montrer que ce qui me plaît chez elle, ce n'est pas que ses fesses. Elle me révéla ses origines italiennes, la discussion enchaîna rapidement sur l'importance du langage corporel dans la communication avec l'autre, notamment. J'ai dû avoir une ou deux questions perso, pas plus, mais j'ai l'impression d'avoir été sans le vouloir en recherche de validation. Disons que j'ai mis en avant mes origines italiennes (comme elle), que j'étais d'accord avec elle sur le fait d'être étudiant mais de s'ouvrir à un job en plus, et d'autres pensées que je partageais sincèrememnt. Puis, alors que son bouquin, posé sur la banquette à sa gauche, était sur le point de tomber, je le rattrapai. Cela entraina un contact physique, sans doute non voulu, car elle avait également initié le même geste que moi mais avec un temps de retard. Je lui proposai alors de boire un café bientôt, elle me dit qu'elle vient souvent ici. Mais je lui répondis qu'on pourra aller ailleurs, et lui tendis mon téléphone et se numclosa elle-même. L'affaire se tassa, il fallait quand même bosser. Elle resta encore 10 minutes, ou un peu plus, puis partit en me disant au revoir.
Voilà, je vais pas poster 25000 FR de la sorte. Ce coup-ci était symbolique, car c'était la vraie première mise en action en 2012, et je trouve que je m'en suis pas trop mal sorti. Je vais régler le pb du neg avec les filles très sexy, car, j'avoue, voilà qui m'est encore assez impressionnant, eu égard de mon niveau de débutant.
Rock 'n roll!!
Ca s'est déroulé en 5 temps.
Avant ça, n'ayant pas pratiqué durant les fêtes, en raison de l'absence de jeunes filles à l'horizon là où je me promenais, je ressentis à nouveau la fameuse anxiété d'approche que j'avais pourtant réussi à au moins contrôler depuis début décembre grâce à ma pratique quotidienne de Zazen. Mais évidemment, Zazen ne fait pas tout, ça apporte sérénité et décontraction au quotidien, mais quand l'élue de votre coeur, ou d'un peu plus bas que votre coeur, se pointe à votre vue, et que vous ne pratiquez plus, l'affaire fait rapidement plouf.
Mais la suite arriva rapidement, car il fallait que je me sortisse les doigts. Ce fut chose faite dans le bus avec une petite blonde au cul sans nom. Elle lâcha son sac... comme un sac, et le claquage sur le sol fut remarquable. Je rebondis là-dessus, disant qu'elle y était allée un peu fort. Bien qu'elle s'excusa, je vis que la fille se sentit un peu attaquée. Au bout de 30 secondes, elle me tourna le dos de façon assez magistrale et alla se tasser un peu plus loin avec sa copine. Mais qu'importe, maintenant, il m'en faut plus pour me foutre en l'air, d'autant que, étant un peu rouillé, je sais pertinemment là où je merdai. Une autre arriva et s'arrêta à mes côtés.
Je parle de la petitesse de ces nouveaux bus, du manque de place par rapport aux autres. Elle me répondit que c'était peut-être une illusion, et j'embrayais sur la chanson de jessèpuki "juste une illusion". Evidemment elle connaît pas, elle est québécoise, et je la défie de me trouver un nom de chanteur québécois que je serais susceptible de ne pas connaître. Manque de bol, je connais, et je lui dis que si elle veut m'avoir, il faudra qu'elle fasse bien plus. Puis elle annonça son départ, car elle devait descendre. Je ne pris pas son numéro, ayant abordé cette fille juste pour la forme et me remettre dans le bain tranquillo. Elle me gratifia d'un "à la prochaine", formule dont je me demande si en un certain sens elle n'est pas, ici au Québec, (petit) signe d'intérêt, rendant compte d'une personne qui ne serait pas contre l'idée de vous revoir (par opposition au "bonne chance" qui serait "merci coco, bye bye"). Je vérifierai cela dans mes futures interactions.
Puis à mon tour, je descends, chargé à bloc, direction le Starbucks de mon quartier. Une ribambelle de nanas, c'est hallucinant. Je commande mon habituel espresso, et je chopai une table collée à celle de deux jeunes nanas tendance pouf. Je décolle la table de la leur, sans demander aux deux, et la blonde des deux retirent de ma table un gobelet à café vide posé dessus, puis le remet, puis le retire pour le poser sur sa table... Intimidée, surprise, dans son monde, à coup sûr, attitude anormale... toujours est-il que je la regarde (ou les deux, je sais pu), la blonde me dit que je peux prendre la table. Je lui fis une remarque sur son geste étrange, et je lui dis qu'elle avait oublié les papiers de sucre. Elle s'excuse, mais évidemment je lui avoue que je déconnais. Cela dit, j'avoue, un neg d'entrée, voire deux, ca craint quand même. J'essaie donc de me concentrer sur mon boulot, sentant que j'avais un peu foiré l'affaire. Je vis pourtant les deux disperser leur attention dans la pièce, et pendant que la copine était au téléphone, je fis une remarque sur la coque bling bling du téléphone de la blonde. Je ne sais exactement ce qui se passe, mais la copine était en train de rigoler dans sa barbe, à se foutre de ma gueule ou de sa copine, ou des deux, mais je relève pas. Mode neg encore une fois, mais grillé pour grillé on s'en fout, et retour au boulot, on est là pour ça, bordel de merde.
Les deux s'apprêtent alors à partir, et étonnamment, la blonde ne se presse pas pour se préparer et s'éloigner de la table, alors que la copine attendait déjà à la porte qui se trouvait à moins de deux mètres de nos places. Allez hop, re neg à la blonde, à qui je dis de se dépêcher car sa copine l'attend. Elle comprend pas trop. Je lui fis un signe "laisse faire", et ce fut la fin.
Mais bon, encore une fois, ça n'entama en rien ma sérénité, mon moral et mon énergie (merci Zazen), et je changeai de place pour profiter des mythiques banquettes qui longeaient le mur à la droite de la porte d'entrée. A la table à côté, deux filles qui discutaient. Je sentis de la disponibilité de l'une des deux, de sorte que j'attrapai au vol un sourire de la fameuse. Il en fallait pas plus pour que j'ouvrisse le set, mais cela n'alla pas bien loin ; elles étaient sur le point de partir (ou alors je les ai faites fuir ).
Last but not least. Ce jour, il faisait over froid, et ne portant pas de gant, j'avais les mains horriblement gelée, sans parler des courants d'air que je sentais à ma place. La table à ma droite s'étant libérée, je demandai à une jolie brune s'il y avait moins de courants d'air de ce côté. Elle me répondit que oui je pouvais m'asseoir là, ce que je fis dans la foulée. Elle me demanda si c'était mieux à cette place. Je fis peut-être, et 2 secondes plus, je me demandai s'il n'y avait pas un msg subliminal à lire. Qu'importe, la discussion s'engage, puis se tasse, mais je remarquai sa disponibilité évidente : les jambes croisées légèrement sur sa gauche (je me trouvais à sa gauche), ainsi que son regard qui brassa l'horizon à plusieurs reprises. Quand je la vis fermer son ordi, je relançai et une conversation suffisamment longue pour apprécier la personne commença. On parla de tout et de rien. Cette fille avait une façon particulière de s'exprimer : d'abord, elle débordait d'énergie et d'enthousiasme, mais aussi elle faisait bcp de geste. Je lui fis la remarque, essayant de lui montrer que ce qui me plaît chez elle, ce n'est pas que ses fesses. Elle me révéla ses origines italiennes, la discussion enchaîna rapidement sur l'importance du langage corporel dans la communication avec l'autre, notamment. J'ai dû avoir une ou deux questions perso, pas plus, mais j'ai l'impression d'avoir été sans le vouloir en recherche de validation. Disons que j'ai mis en avant mes origines italiennes (comme elle), que j'étais d'accord avec elle sur le fait d'être étudiant mais de s'ouvrir à un job en plus, et d'autres pensées que je partageais sincèrememnt. Puis, alors que son bouquin, posé sur la banquette à sa gauche, était sur le point de tomber, je le rattrapai. Cela entraina un contact physique, sans doute non voulu, car elle avait également initié le même geste que moi mais avec un temps de retard. Je lui proposai alors de boire un café bientôt, elle me dit qu'elle vient souvent ici. Mais je lui répondis qu'on pourra aller ailleurs, et lui tendis mon téléphone et se numclosa elle-même. L'affaire se tassa, il fallait quand même bosser. Elle resta encore 10 minutes, ou un peu plus, puis partit en me disant au revoir.
Voilà, je vais pas poster 25000 FR de la sorte. Ce coup-ci était symbolique, car c'était la vraie première mise en action en 2012, et je trouve que je m'en suis pas trop mal sorti. Je vais régler le pb du neg avec les filles très sexy, car, j'avoue, voilà qui m'est encore assez impressionnant, eu égard de mon niveau de débutant.
Rock 'n roll!!