- Sam Juil 02, 2011 1:37 am
#110672
Bonjour tout le monde ! Ici Blink77, alors que je reviens du cinéma, où j'ai vu "Omar m'a tuer", qui est un très bon film, soit-dit en passant.
Je vais vous narrer, dans les prochaines lignes, mon premier vrai premier rendez-vous avec une demoiselle. Cependant, avant cela, je dois ajouter que, puisque je fréquente le site depuis sa création, j'ai tendance à tout théoriser dans les relations hommes-femmes. Je ne vais pas commettre cette erreur ici : je vais raconter ce qui s'est passé, sans chercher à le relier à mes connaissances. Vous aurez donc droit à du factuel, mais également à quelques ressentis, nés de l'intériorisation des savoirs théoriques de Spikeseduction.com. J'arrête l'introduction, place au développement.
Tout d'abord, parlons un peu des circonstances de notre "rencontre". Je suis le chanteur du groupe de mon école d'ingénieurs. Début décembre 2010, nous avons fait un concert au profit des enfants défavorisés, avec le groupe d'une autre école d'ingénieurs, voisine de la nôtre. Il se trouve que D, nous l'appellerons ainsi, était à cette soirée, parce qu'elle connaissait bien certains membres du groupe de l'autre école. Malheureusement, stress oblige (je devais performer devant une centaine de personnes, il valait mieux ne pas me louper), je n'ai pas pu le faire avant de monter sur scène. Et après, elle était sans cesse entourée de ses amis. A la fin, une fenêtre de tir s’est dégagée, mais, vous devez connaître cette sensation, après avoir passé la soirée à trouver des excuses, on se dégonfle tout simplement. Donc, me voilà, comme le dit si bien Stéphane, frustré de ne pas l’avoir abordée.
Pourtant, je ne peux me résoudre à tout bonnement l’oublier : j’ai tout de même échangé avec ses amis pendant les répétitions, puisqu’ils répétaient également.
J’ai laissé décembre, les vacances de Noël, et le mois de Janvier, passer, non sans demander les membres du groupe de l’autre école (ses amis) en amis sur FB. Courant février, je crois, j’ai eu une conversation FB avec l’un de ses amis, qu’on nommera F, dans la suite. C’est alors que j’ai appris l’identité de D : je me suis empressé de la demander en amie, demande qu’elle a accepté sans poser de question, alors que je n’avais pas envoyé de message en accompagnement. Je reparlerai de cette étape lors du récit de notre conversation. Puis, début avril, j’ai posté sur FB, pour narguer mes amis de Seine-et-Marne, puisque je vis à Toulon : « J’ai (déjà) des marques de bronzage. ». Pas de jugement, s’il-vous-plaît, je raconte en toute objectivité, en n’omettant aucun détail. La moindre des choses serait de ne pas se moquer, d’autant que pas mal de mes ami(e)s de Seine-et-Marne ont commenté la publication. D a par la suite cliqué sur le bouton « J’aime ». Je me suis alors mis à lui parler sur FB. Entre avril et maintenant, nous avons dû parler cinq fois de manière assez prolongée (les autres conversations étaient pour fixer la date et le lieu du rdv), et elle a initié la conversation deux fois sur ces cinq. Plutôt bon signe, dira-t’on. Je n’ai pas le souvenir de m’être autant amusé pendant une conversation informatique. Je ne sais pas s’il arrivera que je m’amuse encore plus. En effet, elle ne me connaissait pas, même si F lui avait déjà parlé de moi (chose que je ne savais pas à l’époque). Exit les principes de normalité, je me suis éclaté lors de notre première conversation, je lui ai raconté tout et n’importe quoi, mais, élément important, je suis resté badin et léger. Dès la fin de la conversation, je lui proposai un verre, qu’elle accepta. Pourtant, comme elle était en partiels, elle me fit comprendre que ce ne serait pas pour tout de suite. Les quatre autres conversations ont eu lieu entre avril et aujourd’hui, avec toujours autant d’amusement à la clé. Finalement, je lui ai proposé la date du mercredi 29 avril, à 22h, et elle a accepté. Je dois préciser qu’elle avait 45 min de route à faire pour venir, qu’elle ne connaissait pas du tout Toulon, mais qu’elle m’a assuré qu’elle trouverait la Place de la Liberté sans problème, alors que moi, je suis resté dans ma ville, à Toulon, à 10 min de chez moi. J’aurais dû me douter que ça commençait à sentir bon pour moi : durant l’atelier Dream Job, Stéphane nous dit que toute galère pour trouver l’endroit de l’entretien est ridicule, et ne doit surtout pas être mentionnée au recruteur, le cas échéant, s’il nous demande si on a trouvé facilement. Ici, on peut rapprocher le fait qu’elle m’ait dit qu’il n’y aurait pas de problème, et le fait que pour elle, j’étais peut-être déjà un peu comme un recruteur : j’avais le pouvoir de la choisir ou non.
Je posterai prochainement la suite, c'est-à-dire mon premier rdv avec D.
Je vais vous narrer, dans les prochaines lignes, mon premier vrai premier rendez-vous avec une demoiselle. Cependant, avant cela, je dois ajouter que, puisque je fréquente le site depuis sa création, j'ai tendance à tout théoriser dans les relations hommes-femmes. Je ne vais pas commettre cette erreur ici : je vais raconter ce qui s'est passé, sans chercher à le relier à mes connaissances. Vous aurez donc droit à du factuel, mais également à quelques ressentis, nés de l'intériorisation des savoirs théoriques de Spikeseduction.com. J'arrête l'introduction, place au développement.
Tout d'abord, parlons un peu des circonstances de notre "rencontre". Je suis le chanteur du groupe de mon école d'ingénieurs. Début décembre 2010, nous avons fait un concert au profit des enfants défavorisés, avec le groupe d'une autre école d'ingénieurs, voisine de la nôtre. Il se trouve que D, nous l'appellerons ainsi, était à cette soirée, parce qu'elle connaissait bien certains membres du groupe de l'autre école. Malheureusement, stress oblige (je devais performer devant une centaine de personnes, il valait mieux ne pas me louper), je n'ai pas pu le faire avant de monter sur scène. Et après, elle était sans cesse entourée de ses amis. A la fin, une fenêtre de tir s’est dégagée, mais, vous devez connaître cette sensation, après avoir passé la soirée à trouver des excuses, on se dégonfle tout simplement. Donc, me voilà, comme le dit si bien Stéphane, frustré de ne pas l’avoir abordée.
Pourtant, je ne peux me résoudre à tout bonnement l’oublier : j’ai tout de même échangé avec ses amis pendant les répétitions, puisqu’ils répétaient également.
J’ai laissé décembre, les vacances de Noël, et le mois de Janvier, passer, non sans demander les membres du groupe de l’autre école (ses amis) en amis sur FB. Courant février, je crois, j’ai eu une conversation FB avec l’un de ses amis, qu’on nommera F, dans la suite. C’est alors que j’ai appris l’identité de D : je me suis empressé de la demander en amie, demande qu’elle a accepté sans poser de question, alors que je n’avais pas envoyé de message en accompagnement. Je reparlerai de cette étape lors du récit de notre conversation. Puis, début avril, j’ai posté sur FB, pour narguer mes amis de Seine-et-Marne, puisque je vis à Toulon : « J’ai (déjà) des marques de bronzage. ». Pas de jugement, s’il-vous-plaît, je raconte en toute objectivité, en n’omettant aucun détail. La moindre des choses serait de ne pas se moquer, d’autant que pas mal de mes ami(e)s de Seine-et-Marne ont commenté la publication. D a par la suite cliqué sur le bouton « J’aime ». Je me suis alors mis à lui parler sur FB. Entre avril et maintenant, nous avons dû parler cinq fois de manière assez prolongée (les autres conversations étaient pour fixer la date et le lieu du rdv), et elle a initié la conversation deux fois sur ces cinq. Plutôt bon signe, dira-t’on. Je n’ai pas le souvenir de m’être autant amusé pendant une conversation informatique. Je ne sais pas s’il arrivera que je m’amuse encore plus. En effet, elle ne me connaissait pas, même si F lui avait déjà parlé de moi (chose que je ne savais pas à l’époque). Exit les principes de normalité, je me suis éclaté lors de notre première conversation, je lui ai raconté tout et n’importe quoi, mais, élément important, je suis resté badin et léger. Dès la fin de la conversation, je lui proposai un verre, qu’elle accepta. Pourtant, comme elle était en partiels, elle me fit comprendre que ce ne serait pas pour tout de suite. Les quatre autres conversations ont eu lieu entre avril et aujourd’hui, avec toujours autant d’amusement à la clé. Finalement, je lui ai proposé la date du mercredi 29 avril, à 22h, et elle a accepté. Je dois préciser qu’elle avait 45 min de route à faire pour venir, qu’elle ne connaissait pas du tout Toulon, mais qu’elle m’a assuré qu’elle trouverait la Place de la Liberté sans problème, alors que moi, je suis resté dans ma ville, à Toulon, à 10 min de chez moi. J’aurais dû me douter que ça commençait à sentir bon pour moi : durant l’atelier Dream Job, Stéphane nous dit que toute galère pour trouver l’endroit de l’entretien est ridicule, et ne doit surtout pas être mentionnée au recruteur, le cas échéant, s’il nous demande si on a trouvé facilement. Ici, on peut rapprocher le fait qu’elle m’ait dit qu’il n’y aurait pas de problème, et le fait que pour elle, j’étais peut-être déjà un peu comme un recruteur : j’avais le pouvoir de la choisir ou non.
Je posterai prochainement la suite, c'est-à-dire mon premier rdv avec D.
Je suis comme les enfants. Je ne fais pas quelque chose si on ne m'explique pas pourquoi je suis supposé la faire.
Donner des conseils, c'est bien, c'est beau, certes. Mais les justifier, c'est autre chose, non ?
Donner des conseils, c'est bien, c'est beau, certes. Mais les justifier, c'est autre chose, non ?