- Lun Sep 23, 2013 9:30 am
#138173
Isa est le portrait type de la fille gentille et sociable, un brin "complexée extravertie" mais pas trop non plus (le danger avec ces étiquettes prêtes à l'emploi est que l'on a tendance à les coller un peu partout et à trop simplifier les choses).
Elle demande entre une seconde et un mois de fréquentation (amoureuse, amicale, professionnelle) avant de connaître les piques sèches et acérées qui se cachent sous son aspect mielleux, enjoué et inoffensif, selon le degré d'admiration/impressionnabilité (français ?) qu'elle éprouve vis-à-vis de son interlocuteur. Une phrase de votre part peut lui suffire pour vous cataloguer "gros con" dans son esprit, définitivement. Ce qui n'est pas forcément un mal, mais s'est parfois révélé difficile à gérer en société.
Elle aime le sexe, mais tout ce qui se rapporte à l'anal lui "fait mal". Ce n'est pas faute d'avoir essayé. Elle y a même donné une certaine bonne volonté, mais non, ça ne passe pas. Ceci est important pour la suite.
Nous sommes en couple depuis 4 mois, et passons un week end à la campagne avec un autre couple d'amis plus deux autres copines. Je sens qu'il se développe un jeu malsain entre Isa et l'autre type en couple, car Isa commence à rire (fortement) à toutes ses blagues et ce de façon récurrente, sur une journée. A partir de là, j'ai compris que notre couple n'irait jamais loin, ce qui s'est vérifié plus tard, mais passons. Une fois de trop, juste avant que tous les convives n'aillent se coucher, je les vois encore s'adonner à ce jeu devant moi (lui : bouh! Elle : hihihihihi t'es con t'es con), et là je n'y tiens plus, je l'isole pour lui dire (sèchement mais en choisissant mes mots) mon mécontentement. Elle part sur ses grands chevaux (rage, pleurs, je supporte pas la jalousie blablablabla), sur quoi je lui dis d'arrêter de suite son cinéma. Alors commence l'écoute. Elle me demande pourquoi je n'aime pas ça, je lui explique. En lui disant clairement que ça ne passe pas.
Nous nous couchons et elle part pour une folle nuit d'amour avec moi, bardée de "je t'aime" un peu trop nombreux à mon goût et, point très curieux, pour la première fois, l'anal ne lui a pas été douloureux, bien au contraire, je ne savais pas qu'une fille pouvait tant aimer cela. Stunning.
Je m'en suis trouvé bluffé. Je n'ai compris le sens de ce petit manège que plus tard, et j'ai eu la nette sensation de me trouver là devant un parfait exemple de manipulation féminine, une farce dont j'ai été le dindon. Je ne suis pas dupe sur les torts précédents que j'ai eu et qui ont amené à cette situation, mais c'est la façon qu'elle a eu de résoudre cette situation, qui m'a paru remarquable au titre d'illustration de leurs moyens détournés (et parfois carrément dégueulasses) de parvenir à leurs fins.
Domptez, ou soyez domptés, mais si vous ne savez pas lequel des deux est dompté, c'est que c'est (hélas) vous. Et c'est particulièrement vrai avec les filles plus jeune que vous (elle 23, moi 29 au moment des faits évoqués).
Elle demande entre une seconde et un mois de fréquentation (amoureuse, amicale, professionnelle) avant de connaître les piques sèches et acérées qui se cachent sous son aspect mielleux, enjoué et inoffensif, selon le degré d'admiration/impressionnabilité (français ?) qu'elle éprouve vis-à-vis de son interlocuteur. Une phrase de votre part peut lui suffire pour vous cataloguer "gros con" dans son esprit, définitivement. Ce qui n'est pas forcément un mal, mais s'est parfois révélé difficile à gérer en société.
Elle aime le sexe, mais tout ce qui se rapporte à l'anal lui "fait mal". Ce n'est pas faute d'avoir essayé. Elle y a même donné une certaine bonne volonté, mais non, ça ne passe pas. Ceci est important pour la suite.
Nous sommes en couple depuis 4 mois, et passons un week end à la campagne avec un autre couple d'amis plus deux autres copines. Je sens qu'il se développe un jeu malsain entre Isa et l'autre type en couple, car Isa commence à rire (fortement) à toutes ses blagues et ce de façon récurrente, sur une journée. A partir de là, j'ai compris que notre couple n'irait jamais loin, ce qui s'est vérifié plus tard, mais passons. Une fois de trop, juste avant que tous les convives n'aillent se coucher, je les vois encore s'adonner à ce jeu devant moi (lui : bouh! Elle : hihihihihi t'es con t'es con), et là je n'y tiens plus, je l'isole pour lui dire (sèchement mais en choisissant mes mots) mon mécontentement. Elle part sur ses grands chevaux (rage, pleurs, je supporte pas la jalousie blablablabla), sur quoi je lui dis d'arrêter de suite son cinéma. Alors commence l'écoute. Elle me demande pourquoi je n'aime pas ça, je lui explique. En lui disant clairement que ça ne passe pas.
Nous nous couchons et elle part pour une folle nuit d'amour avec moi, bardée de "je t'aime" un peu trop nombreux à mon goût et, point très curieux, pour la première fois, l'anal ne lui a pas été douloureux, bien au contraire, je ne savais pas qu'une fille pouvait tant aimer cela. Stunning.
Je m'en suis trouvé bluffé. Je n'ai compris le sens de ce petit manège que plus tard, et j'ai eu la nette sensation de me trouver là devant un parfait exemple de manipulation féminine, une farce dont j'ai été le dindon. Je ne suis pas dupe sur les torts précédents que j'ai eu et qui ont amené à cette situation, mais c'est la façon qu'elle a eu de résoudre cette situation, qui m'a paru remarquable au titre d'illustration de leurs moyens détournés (et parfois carrément dégueulasses) de parvenir à leurs fins.
Domptez, ou soyez domptés, mais si vous ne savez pas lequel des deux est dompté, c'est que c'est (hélas) vous. Et c'est particulièrement vrai avec les filles plus jeune que vous (elle 23, moi 29 au moment des faits évoqués).
[size=85]“Knowing your own darkness is the best method for dealing with the darknesses of other people.”
“If one does not understand a person, one tends to regard him as a fool.”
- Carl Jung[/size]
“If one does not understand a person, one tends to regard him as a fool.”
- Carl Jung[/size]