- Lun Sep 22, 2008 7:30 pm
#59253
[size=150]Est-ce que la ville influence le Game ?[/size]
Bonjour tout le monde,
Je me risque à premier post publique afin de vous poser une question et peut-être ouvrir un débat, sur une réflexion qu'on a avec un ami, depuis quelques temps.
Pensez-vous qu'il est plus dur de séduire suivant certaine ville?
Je vous demande cela, car habitant à Genève, je commence à avoir la nette impression que ma ville est plus dure que d'autres.
Par exemple, à Lausanne les gens sont plus festif et se prennent moins la tête; en France, il me semble que les filles se posent moins de questions (bon on est d'accord, une femme reste une femme), etc.
A Genève, il y a beaucoup de critères. Pour n'en citer que quelques uns:
- il y a déjà le sentiment de faire parti d'une ville international ou transit les 3/4 de l'argent du monde chaque jour ;
- ce bourrage de crâne qu'on nous fait depuis l'école primaire, nous disant que l'on vit dans une ville de prestige (genre "on est le centre du monde"; un peu démago tout ça) ;
- l'appartenance social, beaucoup de riches et de gens de bonnes familles que l'on peut croiser dans pas mal d'endroit (par exemple le Java, la SIP, le bord du lac, etc.) et qui met un point d'honneur à ne pas se mélanger ;
- sans compter le faite que tout se sait à Genève (oui marrant pour une grand ville, mais réel) et qu’il faut faire continuellement attention à ne pas se faire griller.
En y réfléchissant avec un ami, on se disait que ça venait peut-être du concept de prestige que la ville se met un point d’honneur à défendre. Parce que si Paris est une ville de culture, elle déclenche (peut-être) un sentiment de lâcher prise, ne dit-on pas de Paris qu’elle est la ville des amoureux ?
Si c’est bien le cas, alors Genève reste la ville du fric, qui gonfle l’égo de (beaucoup) trop de personnes et influence sur un état de pensée hautain, du genre « rien n’est assez bien pour moi » !
Au final peut-être que l’on se trompe, et que nous sommes encore trop PMF pour dépasser certaines barrières, mais quand même, quand je monte sur Lausanne, j’ai moins ce sentiment d’oppression qu’à Genève.
La question reste posée et ouverte. Donnez-moi votre avis, vos réponses m’intéresse au plus haut point.
Spirit
Bonjour tout le monde,
Je me risque à premier post publique afin de vous poser une question et peut-être ouvrir un débat, sur une réflexion qu'on a avec un ami, depuis quelques temps.
Pensez-vous qu'il est plus dur de séduire suivant certaine ville?
Je vous demande cela, car habitant à Genève, je commence à avoir la nette impression que ma ville est plus dure que d'autres.
Par exemple, à Lausanne les gens sont plus festif et se prennent moins la tête; en France, il me semble que les filles se posent moins de questions (bon on est d'accord, une femme reste une femme), etc.
A Genève, il y a beaucoup de critères. Pour n'en citer que quelques uns:
- il y a déjà le sentiment de faire parti d'une ville international ou transit les 3/4 de l'argent du monde chaque jour ;
- ce bourrage de crâne qu'on nous fait depuis l'école primaire, nous disant que l'on vit dans une ville de prestige (genre "on est le centre du monde"; un peu démago tout ça) ;
- l'appartenance social, beaucoup de riches et de gens de bonnes familles que l'on peut croiser dans pas mal d'endroit (par exemple le Java, la SIP, le bord du lac, etc.) et qui met un point d'honneur à ne pas se mélanger ;
- sans compter le faite que tout se sait à Genève (oui marrant pour une grand ville, mais réel) et qu’il faut faire continuellement attention à ne pas se faire griller.
En y réfléchissant avec un ami, on se disait que ça venait peut-être du concept de prestige que la ville se met un point d’honneur à défendre. Parce que si Paris est une ville de culture, elle déclenche (peut-être) un sentiment de lâcher prise, ne dit-on pas de Paris qu’elle est la ville des amoureux ?
Si c’est bien le cas, alors Genève reste la ville du fric, qui gonfle l’égo de (beaucoup) trop de personnes et influence sur un état de pensée hautain, du genre « rien n’est assez bien pour moi » !
Au final peut-être que l’on se trompe, et que nous sommes encore trop PMF pour dépasser certaines barrières, mais quand même, quand je monte sur Lausanne, j’ai moins ce sentiment d’oppression qu’à Genève.
La question reste posée et ouverte. Donnez-moi votre avis, vos réponses m’intéresse au plus haut point.
Spirit
Vaincre ou mourir