- Mar Jan 15, 2013 5:49 pm
#130608
Les relations par défaut
Il y a pire que la relation par défaut : la non-relation par défaut, qui la précède. Les deux s'inscrivent dans une... vie par défaut.
La séduction n'est (malheureusement) pas un sport de combat
(heureusement, l'amour, si)
Il me semble que, si lorsque j'avais vingt ans, je n'avais pas abordé quelques poignées de pucelles dévergondées - et autres expertes châtiées - je ne serais pas en couple avec ma fiancée, rencontrée bien plus tard, mais que j'ai su ne pas laisser passer.
Emmagasiner des connaissances relatives aux étapes qui nous permettront d'obtenir leurs numéros, de les revoir, les embrasser, les revoir, et coucher avec elles, n'a en soi, aucun intérêt propre : il s'agit de prendre du recul et d'en extraire la psychologie érotique et sociale.
Au-delà des rencontres, ce qui est important dans les débuts de la séduction est d'acquérir une expérience des femmes, comprendre pourquoi elles aiment, pourquoi elles quittent, comment elles disent oui et pourquoi elles disent non.
"Lequel d'entre-vous a déjà été en relation longue ?"
Pour ce qui est des relations longues, la mienne se construit depuis un peu plus de deux ans. J'ajouterais aux remarques d'Animal, qu'au-delà de critères à rechercher (connivence sexuelle, mentale, sociale) on peut légitimement attendre d'un couple que le fonctionnement à deux qui en découle soit une nouveauté bénéfique à nos deux vies. La femme doit y apporter une vision nouvelle, positive et pertinente, et les deux personnalités doivent s'engrener avec surprise et complémentarité, bien mieux qu'avec toute autre personne : car il s'agit de passer le reste de sa vie avec cette personne-là, chose que l'on ne fait ni avec une amie, ni-même avec une soeur.
Enfin, bien sûr, les attentes et les visions du monde des deux partenaires doivent être absolument claires et compatibles. Un jour par exemple, ma fiancée a torpillé l'un de mes très bons collègues parce qu'au cours d'une discussion, il banalisait le divorce, façon jeunesse-libre-et-moderne : je n'en espérais pas tant. Chacun son opinion, mais au sein d'un couple, certaines doivent particulièrement être partagées.
Et comment faire pour que ça continue à fonctionner ? Euh, c'est une préoccupation de femme, ça, non ? L'homme se fait désirer, gagne beaucoup d'argent, et lui fait l'amour comme un Dieu... Non ? ;D
Si, à condition qu'en plus, elle se sente (très) aimée.
Il y a pire que la relation par défaut : la non-relation par défaut, qui la précède. Les deux s'inscrivent dans une... vie par défaut.
La séduction n'est (malheureusement) pas un sport de combat
(heureusement, l'amour, si)
Il me semble que, si lorsque j'avais vingt ans, je n'avais pas abordé quelques poignées de pucelles dévergondées - et autres expertes châtiées - je ne serais pas en couple avec ma fiancée, rencontrée bien plus tard, mais que j'ai su ne pas laisser passer.
Emmagasiner des connaissances relatives aux étapes qui nous permettront d'obtenir leurs numéros, de les revoir, les embrasser, les revoir, et coucher avec elles, n'a en soi, aucun intérêt propre : il s'agit de prendre du recul et d'en extraire la psychologie érotique et sociale.
Au-delà des rencontres, ce qui est important dans les débuts de la séduction est d'acquérir une expérience des femmes, comprendre pourquoi elles aiment, pourquoi elles quittent, comment elles disent oui et pourquoi elles disent non.
"Lequel d'entre-vous a déjà été en relation longue ?"
Pour ce qui est des relations longues, la mienne se construit depuis un peu plus de deux ans. J'ajouterais aux remarques d'Animal, qu'au-delà de critères à rechercher (connivence sexuelle, mentale, sociale) on peut légitimement attendre d'un couple que le fonctionnement à deux qui en découle soit une nouveauté bénéfique à nos deux vies. La femme doit y apporter une vision nouvelle, positive et pertinente, et les deux personnalités doivent s'engrener avec surprise et complémentarité, bien mieux qu'avec toute autre personne : car il s'agit de passer le reste de sa vie avec cette personne-là, chose que l'on ne fait ni avec une amie, ni-même avec une soeur.
Enfin, bien sûr, les attentes et les visions du monde des deux partenaires doivent être absolument claires et compatibles. Un jour par exemple, ma fiancée a torpillé l'un de mes très bons collègues parce qu'au cours d'une discussion, il banalisait le divorce, façon jeunesse-libre-et-moderne : je n'en espérais pas tant. Chacun son opinion, mais au sein d'un couple, certaines doivent particulièrement être partagées.
Et comment faire pour que ça continue à fonctionner ? Euh, c'est une préoccupation de femme, ça, non ? L'homme se fait désirer, gagne beaucoup d'argent, et lui fait l'amour comme un Dieu... Non ? ;D
Si, à condition qu'en plus, elle se sente (très) aimée.