- Lun Déc 13, 2010 1:16 pm
#103065
Je suis mort encore une fois, "dead man walking" résonnait pourtant dans ma tête depuis plusieurs semaines. De quoi on été fait mes 3 dernières années, par quel fil de ma médiocrité ai je aboutit au vide dans lequel je suis prostré?
J'avais lu tout ceci mais quand ai je fait?
"Tu ne pourra jamais tout sacrifier pour la joie et le plaisir, sans voir ces derniers se détruire inévitablement" disait le pook de la fable. "Avoir une femme n'est pas une réussite" disait il quelque ligne plus loin. Il y décidément un pas entre comprendre ce qu'on lit et l'apprendre, pas que j'ai choisit de ne pas franchir. La vie s'en chargera au détriment de mon cœur qui a volé en éclat.
J'ai vécu cette relation comme un enfant, comme un nourrisson. Mais aussi comme un père. J'ai parodier une chose dont je rêvais, un paradis d'amour éternel, quand je ne suis qu'un homme à l'aube de sa vie. Je ne l'ai pas choisi, elle peut être. Elle n'a été que la matière première de ce projet funeste.
Donc me voila, celui dont la joie se résumait à la voir heureuse et à la croire inconditionnellement amoureuse, d'un amour vrai. Quelle folie. Il lui aura suffit de 3 semaines pour que tout s'évapore. Il lui aura suffit de voir ce visage de moi même, de voir que je ne vivais pas ma vie mais la sienne. Il lui aura suffit de voir que je ne suis pas encore un homme.
J'avais lu tout ceci mais quand ai je fait?
"Tu ne pourra jamais tout sacrifier pour la joie et le plaisir, sans voir ces derniers se détruire inévitablement" disait le pook de la fable. "Avoir une femme n'est pas une réussite" disait il quelque ligne plus loin. Il y décidément un pas entre comprendre ce qu'on lit et l'apprendre, pas que j'ai choisit de ne pas franchir. La vie s'en chargera au détriment de mon cœur qui a volé en éclat.
J'ai vécu cette relation comme un enfant, comme un nourrisson. Mais aussi comme un père. J'ai parodier une chose dont je rêvais, un paradis d'amour éternel, quand je ne suis qu'un homme à l'aube de sa vie. Je ne l'ai pas choisi, elle peut être. Elle n'a été que la matière première de ce projet funeste.
Donc me voila, celui dont la joie se résumait à la voir heureuse et à la croire inconditionnellement amoureuse, d'un amour vrai. Quelle folie. Il lui aura suffit de 3 semaines pour que tout s'évapore. Il lui aura suffit de voir ce visage de moi même, de voir que je ne vivais pas ma vie mais la sienne. Il lui aura suffit de voir que je ne suis pas encore un homme.