- Jeu Mar 20, 2008 11:53 pm
#41431
Continuant toujours mon petit bonhomme de chemin (maintenant je suis à l’aise tout seul), mes difficultés convergent à présent vers une question que j’ai identifiée comme étant mon nouveau point de blocage dans la mise en œuvre de ce vers quoi j’aspire en fréquentant ces lieux, question que j’ai finalement jugé opportun de vous soumettre.
A une demande d’aide perso basée sur une situation spécifique avec telle fille dans tel contexte dont le but est de savoir quoi faire demain matin en la croisant (ça viendra peut-être) je préfère pour l’instant accumuler des tentatives, si minimes soient-elles parfois, pour dégager les grandes lignes du problème rencontré et exposer celui-ci de manière plus générale.
Le point qui me pose problème est donc le suivant : comment faire efficacement comprendre à la cible qu’elle m’intéresse ?
Repérer des signe d'intérêt, aborder, mener une petite discussion agréable, détecter de nouveaux signe d'intérêt pendant la conversation, gagner la confiance… je saisis l’idée et toute proportion gardée j’y parviens (ce n’est plus qu’une question de pratique, la théorie est comprise). Mais j’en reste à ce stade là, le relation s’éternise ainsi (en lieu fermé). Sur la [url=http://www.spikeseduction.com/forum/les-deux-axes-de-la-progression-vt3266.html#36286]« carte de matt »[/url] je serais vers « B ».
Je ne sais pas faire passer ce que l’AFC qui est encore un peu en moi exprime par :
[quote]Je la trouve mignonne (même en pensée, l’AFC qui est encore un peu en moi tempère ses propos quand il s’agit d’attirance physique, et est donc un peu hypocrite) j’apprécie sa compagnie, elle fait toute fragile et délicate, j’aimerais faire plus ample connaissance avec elle, il faudrait que je lui propose d’aller boire un verre un de ces jours…
Résultat quand date il y a, soit elle fait tout le boulot (extrêmement rare et pas vraiment viable), soit c’est direction la Best Friend Zone, avec tout ce que ça engendre de frustration.
Ce sur quoi je m’interroge, c’est en réalité le moment et la façon d’inverser la vapeur par rapport à ce qu’explique Adrien dans son article [url=http://www.spikeseduction.com/forum/quel-doit-etre-le-prix-de-votre-attention-vt2637.html#27907]Quel doit être le prix de votre attention ?[/url], ou encore de ce que j’avais moi même développé dans mon article sur « l’ignorance active », à savoir : cacher son jeu, ne pas abattre ses cartes tout de suite… Mais alors quand le faire ? et comment ?
Si je me souviens de la MM, ce doit être le but de l’A3, le « statement of intersest » (SOI), « qualifier » la cible… Mais est-ce que lui demander si elle est aventureuse et s’empresser de lui dire « ouais ! j’aime ça ! » va suffire à lui faire comprendre ce que j’attend d’elle… ?
A lire les FR, cette déclaration d’intérêt se fait apparemment par des compliments subtilement distillés (type « j’adore vos cheveux »), puis d’une escalade avec une discussion sexuée…
On en arrive là. Sexuer la conversation… Je comprend bien le sens, je sais que ça ne veut pas forcément dire qu’il faut parler de cul à outrance. Mais il m’est déjà arrivé de parler de tour de poitrine avec une aime, ou de petite culotte, sans que ni elle ni moi ne songe à ce que nous en passions aux travaux pratiques. Rappeler que j’ai un sexe sans en être gêné suffit-il à lui faire comprendre que je compte m’en servir ?
Avec ma volonté de fuir à tous prix les comportements AFC : quémandeur, disponible…, je suis peut-être tombé dans l’extrême inverse : neutre, trop distant, froid… (en réalité je pense osciller entre les deux sans jamais m’arrêter au milieu).
A une demande d’aide perso basée sur une situation spécifique avec telle fille dans tel contexte dont le but est de savoir quoi faire demain matin en la croisant (ça viendra peut-être) je préfère pour l’instant accumuler des tentatives, si minimes soient-elles parfois, pour dégager les grandes lignes du problème rencontré et exposer celui-ci de manière plus générale.
Le point qui me pose problème est donc le suivant : comment faire efficacement comprendre à la cible qu’elle m’intéresse ?
Repérer des signe d'intérêt, aborder, mener une petite discussion agréable, détecter de nouveaux signe d'intérêt pendant la conversation, gagner la confiance… je saisis l’idée et toute proportion gardée j’y parviens (ce n’est plus qu’une question de pratique, la théorie est comprise). Mais j’en reste à ce stade là, le relation s’éternise ainsi (en lieu fermé). Sur la [url=http://www.spikeseduction.com/forum/les-deux-axes-de-la-progression-vt3266.html#36286]« carte de matt »[/url] je serais vers « B ».
Je ne sais pas faire passer ce que l’AFC qui est encore un peu en moi exprime par :
[quote]Je la trouve mignonne (même en pensée, l’AFC qui est encore un peu en moi tempère ses propos quand il s’agit d’attirance physique, et est donc un peu hypocrite) j’apprécie sa compagnie, elle fait toute fragile et délicate, j’aimerais faire plus ample connaissance avec elle, il faudrait que je lui propose d’aller boire un verre un de ces jours…
Résultat quand date il y a, soit elle fait tout le boulot (extrêmement rare et pas vraiment viable), soit c’est direction la Best Friend Zone, avec tout ce que ça engendre de frustration.
Ce sur quoi je m’interroge, c’est en réalité le moment et la façon d’inverser la vapeur par rapport à ce qu’explique Adrien dans son article [url=http://www.spikeseduction.com/forum/quel-doit-etre-le-prix-de-votre-attention-vt2637.html#27907]Quel doit être le prix de votre attention ?[/url], ou encore de ce que j’avais moi même développé dans mon article sur « l’ignorance active », à savoir : cacher son jeu, ne pas abattre ses cartes tout de suite… Mais alors quand le faire ? et comment ?
Si je me souviens de la MM, ce doit être le but de l’A3, le « statement of intersest » (SOI), « qualifier » la cible… Mais est-ce que lui demander si elle est aventureuse et s’empresser de lui dire « ouais ! j’aime ça ! » va suffire à lui faire comprendre ce que j’attend d’elle… ?
A lire les FR, cette déclaration d’intérêt se fait apparemment par des compliments subtilement distillés (type « j’adore vos cheveux »), puis d’une escalade avec une discussion sexuée…
On en arrive là. Sexuer la conversation… Je comprend bien le sens, je sais que ça ne veut pas forcément dire qu’il faut parler de cul à outrance. Mais il m’est déjà arrivé de parler de tour de poitrine avec une aime, ou de petite culotte, sans que ni elle ni moi ne songe à ce que nous en passions aux travaux pratiques. Rappeler que j’ai un sexe sans en être gêné suffit-il à lui faire comprendre que je compte m’en servir ?
Avec ma volonté de fuir à tous prix les comportements AFC : quémandeur, disponible…, je suis peut-être tombé dans l’extrême inverse : neutre, trop distant, froid… (en réalité je pense osciller entre les deux sans jamais m’arrêter au milieu).