- Ven Mai 04, 2012 12:15 pm
#121876
Sortir de l'exécution
La vraie leçon des stages, dans le tertiaire comme ailleurs, c'est la prise de conscience de la réalité de la séparation de la conception et exécution et ses conséquences.
Certains master qui forment à la conception mais pas à la gestion de projet amènent finalement à des postes d'exécution en sortie d'études, la gestion de projet devenant accessible théoriquement après 5 à 7ans d'expérience.
Je n'ai rien contre les métiers d'exécution, juste la fréquente impression que dans le secteur tertiaire, la différence entre l'exécutant et son n+1 est davantage une histoire de parcours et de réseau que de compétence pure (dynamiques sociales donc).
A partir de là, autant chercher à éviter l'exécution pure.
A ce jour, les moyens accélérant l'accès à des postes décisionnaires que j'ai relevés sont les suivants :
--> Diplôme axé sur la GESTION globale de projet et non pas d'une compétence nécessaire au sein d'un projet, permettant d'entrer quasiment directement aux postes décisionnaires ou d'assistant de projet. A relativiser selon les secteurs et les diplômes.
--> Penser son propre positionnement et se tirer vers le haut (cf. Dream-Job) mais quid du problème évoqué sur les diplômes d'expertise et pas de gestion
--> Etendre son réseau professionnel, capter plus d'opportunités de postes décisionnaires vacants au bon moment
--> Créer sa structure et se positionner en directeur
--> le piston est plus un résultat qu'un moyen... impulsé par quelqu'un d'autre.
Dans la famille des avis conventionnels et limités, l'expérience revient très souvent mais la réalité m'en fais régulièrement douter.
Votre avis sur la question ?
La vraie leçon des stages, dans le tertiaire comme ailleurs, c'est la prise de conscience de la réalité de la séparation de la conception et exécution et ses conséquences.
Certains master qui forment à la conception mais pas à la gestion de projet amènent finalement à des postes d'exécution en sortie d'études, la gestion de projet devenant accessible théoriquement après 5 à 7ans d'expérience.
Je n'ai rien contre les métiers d'exécution, juste la fréquente impression que dans le secteur tertiaire, la différence entre l'exécutant et son n+1 est davantage une histoire de parcours et de réseau que de compétence pure (dynamiques sociales donc).
A partir de là, autant chercher à éviter l'exécution pure.
A ce jour, les moyens accélérant l'accès à des postes décisionnaires que j'ai relevés sont les suivants :
--> Diplôme axé sur la GESTION globale de projet et non pas d'une compétence nécessaire au sein d'un projet, permettant d'entrer quasiment directement aux postes décisionnaires ou d'assistant de projet. A relativiser selon les secteurs et les diplômes.
--> Penser son propre positionnement et se tirer vers le haut (cf. Dream-Job) mais quid du problème évoqué sur les diplômes d'expertise et pas de gestion
--> Etendre son réseau professionnel, capter plus d'opportunités de postes décisionnaires vacants au bon moment
--> Créer sa structure et se positionner en directeur
--> le piston est plus un résultat qu'un moyen... impulsé par quelqu'un d'autre.
Dans la famille des avis conventionnels et limités, l'expérience revient très souvent mais la réalité m'en fais régulièrement douter.
Votre avis sur la question ?