- Lun Oct 01, 2012 10:17 pm
#126760
Bonsoir,
Alors voilà, je suis actuellement dans une histoire de quelques mois un peu compliquée avec une jeune fille,
que j’appellerai Cécile, et aujourd’hui je me vois dans une impasse, dont je pense que c’est la fameuse zone
citée en objet.
Je me permets donc de vous demander vos conseils pour voir si cette situation est rattrapable, et comment.
Avant toute chose, je tiens à préciser que j’ai commis un nombre incalculable d’erreurs (en y repensant je
me mettrai des claques), mais bon, « live & learn » comme on dit. C’était avant de connaître ce forum. Tout
ça pour dire que toutes les relever serait fastidieux, mais si certains d’entre vous sont motivés…
Alors, l’histoire proprement dite. J’ai abordé Cécile à l’occasion d’une sortie culturelle, en particulier pour son
physique très agréable et son côté cultivé. Elle m’a passé son numéro très facilement et m’envoie le soir
même et le lendemain quelques sms.
Petite précision, en discutant avec elle, je pensais qu’elle était quelque chose comme en première année de
thèse, genre 24 ans, et elle devait penser (vérifié a posteriori) que j’avais en gros 23-24 ans. Au final, elle
en a 21 et moi 27. Je précise car nous n’avons pas vraiment la même façon de voir les choses, elle étant
étudiante et moi actif depuis un moment, et cela peut expliquer certaines incompréhensions.
Premier rendez-vous, ça se passe plutôt bien, nous nous découvrons plusieurs centres d’intérêts communs,
on rigole, bonne ambiance. Par contre, rendez-vous trop long donc baisse de régime, et de mon côté peu
de réussite à tenter de sexuer tout ça. Elle à l’air de s’attendre à ce que l’on passe la suite de la soirée
ensemble, ce que j’interprète comme une bonne possibilité de passer de la « soirée ensemble » à la « nuit
ensemble ». Donc, je suis d’accord, en pensant plus à la conclusion espérée qu’à passer un bon moment, je
dois avouer.
Nous emportons à manger dans un restaurant, je lui propose de manger chez moi : « oh mais pas de
problème, quelle bonne idée », sans hésitation. Là, pour moi, les voyants sont totalement au vert, elle doit
bien se douter de ce que j’ai derrière la tête… Croyais-je.
Là, première question : franchement, c’était pas trompeur comme attitude ? Vous seriez-vous attendus à
autre chose ?
En tout cas, je tombe bien dans le panneau. Une fois chez moi, je tente maladroitement quelques approches
(toucher, etc., en étant clairement plus demandeur qu’attendre qu’elle ne vienne vers moi, autre erreur). Au
final, elle me douche complètement, du genre « non mais tu croyais quoi ? ». Bon, ben, c’est un échec, on
ne peut pas dire autrement.
Mais le mieux, c’est l’épilogue de la soirée, quelques dizaines de minutes plus tard, alors que nous
marchions dans la rue :
- C : C’est super chez toi, en plus c’est tout près de là où je travaille.
- Moi [voulant être accommodant, et à l’époque je n’avais pas de canapé] Oui ben quand j’aurai un
canapé, tu pourras passer si tu veux
- C : Ah oui mais on peut aussi dormir ensemble sinon
- Moi : ???!!! [sinon tu es schizophrène ou quoi ?]
Rétrospectivement, je me dis que ma première tentative l’a surprise, d’où son refus, et qu’elle s’est
finalement dit « oh pourquoi pas après tout », je ne vois pas trop d’autre explication (ou alors elle s’est
dit « ah mais finalement c’est trop pratique pour aller bosser, profitons-en », mais je ne pense pas).
De mon côté, j’étais très surpris et déstabilisé. Et à ma grande honte, je n’ai pas redressé la situation après
cette première soirée.
Pour vous la faire courte, nous nous sommes revus quelques fois et elle m’a envoyé à peu près tous les
signaux possibles et imaginables (contacts physiques en veux-tu en voilà en particulier), que je n’ai pas su voir (encore
une fois c’était avant de connaître ce site). Je ne sais pas trop ce que j’attendais, sans doute qu’elle soit
encore plus explicite, ce qui était quasiment impossible, sauf à commencer à me désaper dans la rue, ou un
truc comme ça. Enfin passons.
Arrivent les vacances d’été, en gros, elle part durant trois mois. On s’envoie quelques emails, toujours à
son initiative. Elle répond toujours dans la journée. De mon côté, je commence enfin à appliquer quelques
conseils, et je fais toujours traîner un peu.
A partir de la fin du mois d’août, et vu que j’en ai marre de la situation stagnante d’avant l’été, je me dis qu’à
la rentrée, j’y vais franchement, ça passe ou ça casse mais au mois ce statu quo assez énervant cessera.
Donc :
1) Je ne la contacte plus, et à le rentrée j’attends de voir si elle le fait ou pas
2) Si 1 = VRAI, je ne propose rien niveau sortie etc., j’attends qu’elle me propose que l’on se voit
Après un mois de silence, elle me contacte, juste un petit mail de trois lignes pour prendre des nouvelles. Je
réponds, moi aussi en mode « trois phrases et puis c’est tout ». Point 1 validé.
Seulement, seulement, ce petit jeu continue pendant plusieurs mails (soit trois semaines environ) et pareil, ça commence à me saouler.
A ce stade je pense être totalement en zone « on est juste amis ». J’étais content qu’elle fasse le
premier pas pour la reprise de contact, mais j’imagine qu’elle ne me voit que comme un pote (qu’en pensez-
vous ?). Le but est donc : sortir de la zone « amis », que ce soit soit en réussissant à rattraper le coup, soit
en coupant les ponts, avec un objectif sur la première solution.
Après trois semaines de mails qui ne mènent nulle part, je craque et mon point numéro 2 se transforme
en « je lui propose de sortir ». Et là elle me répond « Oui ce serait pas mal mais je ne sais pas si je serai
libre ce soir là ». Non mais si ça te plaît vraiment, tu bloques ta soirée et puis voilà, plutôt que de garder ça
comme un plan C que tu ne déclencheras jamais ! En gros, je prends ça pour un « Non je n’ai pas envie de
te voir en ce moment ». Mais dans ce cas-là, pourquoi avoir repris le contact ?
Voilà où j’en suis. Avant toute chose, pensez-vous la situation rattrapable ?
Ce que je compte faire, c’est ne plus envoyer d’emails jusqu’à ce qu’elle propose quelque chose de concret.
Si cela arrive, j’y vais assez franchement, et vu qu’elle est très tactile, contact physique, etc. j’imagine que si elle est
intéressée cela se verra assez facilement. Je ne loupe pas les signaux cette fois, et voilà.
Auriez-vous un avis là-dessus ?
Au final je me demande si tout cela n’est pas pure rhétorique, car actuellement je ne suis pas sûr d’avoir
envie de la voir, mais je prends néanmoins tous les conseils et remarques.
Merci de votre aide.
Alors voilà, je suis actuellement dans une histoire de quelques mois un peu compliquée avec une jeune fille,
que j’appellerai Cécile, et aujourd’hui je me vois dans une impasse, dont je pense que c’est la fameuse zone
citée en objet.
Je me permets donc de vous demander vos conseils pour voir si cette situation est rattrapable, et comment.
Avant toute chose, je tiens à préciser que j’ai commis un nombre incalculable d’erreurs (en y repensant je
me mettrai des claques), mais bon, « live & learn » comme on dit. C’était avant de connaître ce forum. Tout
ça pour dire que toutes les relever serait fastidieux, mais si certains d’entre vous sont motivés…
Alors, l’histoire proprement dite. J’ai abordé Cécile à l’occasion d’une sortie culturelle, en particulier pour son
physique très agréable et son côté cultivé. Elle m’a passé son numéro très facilement et m’envoie le soir
même et le lendemain quelques sms.
Petite précision, en discutant avec elle, je pensais qu’elle était quelque chose comme en première année de
thèse, genre 24 ans, et elle devait penser (vérifié a posteriori) que j’avais en gros 23-24 ans. Au final, elle
en a 21 et moi 27. Je précise car nous n’avons pas vraiment la même façon de voir les choses, elle étant
étudiante et moi actif depuis un moment, et cela peut expliquer certaines incompréhensions.
Premier rendez-vous, ça se passe plutôt bien, nous nous découvrons plusieurs centres d’intérêts communs,
on rigole, bonne ambiance. Par contre, rendez-vous trop long donc baisse de régime, et de mon côté peu
de réussite à tenter de sexuer tout ça. Elle à l’air de s’attendre à ce que l’on passe la suite de la soirée
ensemble, ce que j’interprète comme une bonne possibilité de passer de la « soirée ensemble » à la « nuit
ensemble ». Donc, je suis d’accord, en pensant plus à la conclusion espérée qu’à passer un bon moment, je
dois avouer.
Nous emportons à manger dans un restaurant, je lui propose de manger chez moi : « oh mais pas de
problème, quelle bonne idée », sans hésitation. Là, pour moi, les voyants sont totalement au vert, elle doit
bien se douter de ce que j’ai derrière la tête… Croyais-je.
Là, première question : franchement, c’était pas trompeur comme attitude ? Vous seriez-vous attendus à
autre chose ?
En tout cas, je tombe bien dans le panneau. Une fois chez moi, je tente maladroitement quelques approches
(toucher, etc., en étant clairement plus demandeur qu’attendre qu’elle ne vienne vers moi, autre erreur). Au
final, elle me douche complètement, du genre « non mais tu croyais quoi ? ». Bon, ben, c’est un échec, on
ne peut pas dire autrement.
Mais le mieux, c’est l’épilogue de la soirée, quelques dizaines de minutes plus tard, alors que nous
marchions dans la rue :
- C : C’est super chez toi, en plus c’est tout près de là où je travaille.
- Moi [voulant être accommodant, et à l’époque je n’avais pas de canapé] Oui ben quand j’aurai un
canapé, tu pourras passer si tu veux
- C : Ah oui mais on peut aussi dormir ensemble sinon
- Moi : ???!!! [sinon tu es schizophrène ou quoi ?]
Rétrospectivement, je me dis que ma première tentative l’a surprise, d’où son refus, et qu’elle s’est
finalement dit « oh pourquoi pas après tout », je ne vois pas trop d’autre explication (ou alors elle s’est
dit « ah mais finalement c’est trop pratique pour aller bosser, profitons-en », mais je ne pense pas).
De mon côté, j’étais très surpris et déstabilisé. Et à ma grande honte, je n’ai pas redressé la situation après
cette première soirée.
Pour vous la faire courte, nous nous sommes revus quelques fois et elle m’a envoyé à peu près tous les
signaux possibles et imaginables (contacts physiques en veux-tu en voilà en particulier), que je n’ai pas su voir (encore
une fois c’était avant de connaître ce site). Je ne sais pas trop ce que j’attendais, sans doute qu’elle soit
encore plus explicite, ce qui était quasiment impossible, sauf à commencer à me désaper dans la rue, ou un
truc comme ça. Enfin passons.
Arrivent les vacances d’été, en gros, elle part durant trois mois. On s’envoie quelques emails, toujours à
son initiative. Elle répond toujours dans la journée. De mon côté, je commence enfin à appliquer quelques
conseils, et je fais toujours traîner un peu.
A partir de la fin du mois d’août, et vu que j’en ai marre de la situation stagnante d’avant l’été, je me dis qu’à
la rentrée, j’y vais franchement, ça passe ou ça casse mais au mois ce statu quo assez énervant cessera.
Donc :
1) Je ne la contacte plus, et à le rentrée j’attends de voir si elle le fait ou pas
2) Si 1 = VRAI, je ne propose rien niveau sortie etc., j’attends qu’elle me propose que l’on se voit
Après un mois de silence, elle me contacte, juste un petit mail de trois lignes pour prendre des nouvelles. Je
réponds, moi aussi en mode « trois phrases et puis c’est tout ». Point 1 validé.
Seulement, seulement, ce petit jeu continue pendant plusieurs mails (soit trois semaines environ) et pareil, ça commence à me saouler.
A ce stade je pense être totalement en zone « on est juste amis ». J’étais content qu’elle fasse le
premier pas pour la reprise de contact, mais j’imagine qu’elle ne me voit que comme un pote (qu’en pensez-
vous ?). Le but est donc : sortir de la zone « amis », que ce soit soit en réussissant à rattraper le coup, soit
en coupant les ponts, avec un objectif sur la première solution.
Après trois semaines de mails qui ne mènent nulle part, je craque et mon point numéro 2 se transforme
en « je lui propose de sortir ». Et là elle me répond « Oui ce serait pas mal mais je ne sais pas si je serai
libre ce soir là ». Non mais si ça te plaît vraiment, tu bloques ta soirée et puis voilà, plutôt que de garder ça
comme un plan C que tu ne déclencheras jamais ! En gros, je prends ça pour un « Non je n’ai pas envie de
te voir en ce moment ». Mais dans ce cas-là, pourquoi avoir repris le contact ?
Voilà où j’en suis. Avant toute chose, pensez-vous la situation rattrapable ?
Ce que je compte faire, c’est ne plus envoyer d’emails jusqu’à ce qu’elle propose quelque chose de concret.
Si cela arrive, j’y vais assez franchement, et vu qu’elle est très tactile, contact physique, etc. j’imagine que si elle est
intéressée cela se verra assez facilement. Je ne loupe pas les signaux cette fois, et voilà.
Auriez-vous un avis là-dessus ?
Au final je me demande si tout cela n’est pas pure rhétorique, car actuellement je ne suis pas sûr d’avoir
envie de la voir, mais je prends néanmoins tous les conseils et remarques.
Merci de votre aide.
Vous ne trouvez pas que c'est une question saugrenue que de demander aux gens qui ils sont ? C'est sans doute pour cela qu'ils répondent toujours à coté de la question : nom, prénom, qualité... Mais ce qu'ils sont réellement, réellement, hein, au fond d'eux-mêmes, ils le taisent, ils le cachent, soigneusement