- Mer Juin 22, 2011 8:12 pm
#110244
Bonjour à Tous
Je ne suis pas encore passé par la case présentation mais je tiens à faire part de mon expérience avec Stéphane durant le nouvel atelier War of Art qui a eu lieu le 21 juin 2011.
Honteusement arrivé en retard, je rencontre Stéphane avec lequel c'est mon premier atelier. Deux heures ça passe vite, donc on entre immédiatement dans le vif du sujet. Stéphane offre à tout artiste muni d'un projet (quasiment) abouti, ce dont il a le plus besoin: un plan. En effet, que faire lorsque seul, sans "piston", il faut sortir de la masse des millions de manuscrits, scénarios, démos (rayer la mention inutile)?
Il commence par se débarrasser des différentes légendes sur les grands talents découverts par hasard. 100 pour 100 des fois, le hasard joue contre nous. Donc il faut faire sans. Sans aussi les moyens standards comme la poste ou les e-mails.
Ainsi Stéphane aborde les trois phases de la signature:
l'avant signature en dévelloppant les idées de porteurs officiels et officieux, et de point d'équilibre;
la signature du contrat et les erreurs à éviter alors l'on pense atteindre son but;
l'après signature et savoir comment garder le contrôle de son oeuvre, de sa place et mener le produit final à bon port.
Pour une première, l'efficacité était au rendez-vous. Pas d'idées complexes ou alambiquées, il reste sur du concret en abordant des concepts simples et en analysant sa propre expérience. Tout paraît tellement évident, que l'on sait que cela a été "vécu". C'est ça, je pense, l'importance de cet atelier.
Aussi à quelques subtilités près (Stéphane s'adressant à l'édition et moi à la télévision), sa ligne directionnelle reste applicable aux différents domaines, mutatis mutandis comme diraient les professeurs de philo.
Stéphane rappelle aussi ce que les artistes se forcent à oublier: que pour votre producteur/ éditeur vous apportez un produit sensé faire du chiffre. Une notion à toujours garder en tête car il faudra toujours rassurer cet interlocuteur avec du concret.
On sort donc de cet atelier avec une envie de se remettre au boulot, avec plus que l'espoir d'être, un jour découvert par miracle par un grand producteur/éditeur.On sait comment agir dans le bon sens sans user toute son énergie dans des actions inutiles. Je dis donc un grand Merci à Stéphane et à très bientôt.
Ps:Il y a beaucoup d'informations à absorber c'est pour ça, je pense, que la formule VIP a son importance car Stéphane fait un suivi adapté au projet, au moment où l'on en aura le plus besoin.
Voila.
Je ne suis pas encore passé par la case présentation mais je tiens à faire part de mon expérience avec Stéphane durant le nouvel atelier War of Art qui a eu lieu le 21 juin 2011.
Honteusement arrivé en retard, je rencontre Stéphane avec lequel c'est mon premier atelier. Deux heures ça passe vite, donc on entre immédiatement dans le vif du sujet. Stéphane offre à tout artiste muni d'un projet (quasiment) abouti, ce dont il a le plus besoin: un plan. En effet, que faire lorsque seul, sans "piston", il faut sortir de la masse des millions de manuscrits, scénarios, démos (rayer la mention inutile)?
Il commence par se débarrasser des différentes légendes sur les grands talents découverts par hasard. 100 pour 100 des fois, le hasard joue contre nous. Donc il faut faire sans. Sans aussi les moyens standards comme la poste ou les e-mails.
Ainsi Stéphane aborde les trois phases de la signature:
l'avant signature en dévelloppant les idées de porteurs officiels et officieux, et de point d'équilibre;
la signature du contrat et les erreurs à éviter alors l'on pense atteindre son but;
l'après signature et savoir comment garder le contrôle de son oeuvre, de sa place et mener le produit final à bon port.
Pour une première, l'efficacité était au rendez-vous. Pas d'idées complexes ou alambiquées, il reste sur du concret en abordant des concepts simples et en analysant sa propre expérience. Tout paraît tellement évident, que l'on sait que cela a été "vécu". C'est ça, je pense, l'importance de cet atelier.
Aussi à quelques subtilités près (Stéphane s'adressant à l'édition et moi à la télévision), sa ligne directionnelle reste applicable aux différents domaines, mutatis mutandis comme diraient les professeurs de philo.
Stéphane rappelle aussi ce que les artistes se forcent à oublier: que pour votre producteur/ éditeur vous apportez un produit sensé faire du chiffre. Une notion à toujours garder en tête car il faudra toujours rassurer cet interlocuteur avec du concret.
On sort donc de cet atelier avec une envie de se remettre au boulot, avec plus que l'espoir d'être, un jour découvert par miracle par un grand producteur/éditeur.On sait comment agir dans le bon sens sans user toute son énergie dans des actions inutiles. Je dis donc un grand Merci à Stéphane et à très bientôt.
Ps:Il y a beaucoup d'informations à absorber c'est pour ça, je pense, que la formule VIP a son importance car Stéphane fait un suivi adapté au projet, au moment où l'on en aura le plus besoin.
Voila.