- Ven Oct 10, 2008 5:00 pm
#60603
To Be Where There’s Life
Il est des moments où l’on se sent prêt.
Comme une certitude à l’intérieur de soi qui nous murmure qu’il est temps de franchir l’étape suivante.
C’est cette sensation qui m’a fait découvrir la communauté par un après midi nuageux il y a bientôt un an.
C’est aussi cette même sensation qui m’a motivé à m’inscrire à un atelier Intense avec Spike, marquant ainsi le début de ma nouvelle vie, vers une recherche constante et curieuse de développement personnel et d’interactions sociales.
Et c’est enfin cette même curiosité qui m’a emmené dans l’endroit depuis lequel je vous écrit.
Ces derniers mois m’ont permis de détruire ma peur de l’approche, en passant de longs après midi d’hiver dans les rues parisiennes à rencontrer des jeunes femmes parfois intéressantes et spéciales, parfois moins ; j’ai enrichi et diversifié mon cercle social, mes sorties, ma culture, et mon intelligence sociale.
Durant ces aventures trépidantes, j’ai aussi croisé le chemin de plusieurs membres de ce forum (Jibril, Bel Ami Guess, Matt, Buffy, Marie, Moonwalkfan, etc) que je profite pour saluer.
Bref, après tous ces instants puissants et formateurs, j’ai ressenti, encore une fois, le coquin chatouillis de la curiosité et j’ai décidé de partir une année à l’étranger afin d’ouvrir mon horizon et mon esprit à d’autres choses.
Il y a deux semaines, j’ai donc atterri en Grande Bretagne, dans la ville de Manchester,
ancien cœur du monde industrialisé désormais en pleine mutation et l’une des villes les plus dynamiques d’Europe.
Entre les anciens immeubles de briques et les constructions modernes en verre, je trouve que cette ville génère une aura qui me convient tout à fait.
Le séminaire « Changez De Vie » m’a bien motivé à viser plus haut dans ses objectifs et j’ai donc réussi, non sans difficultés, à faire ce que beaucoup dans mon entourage disaient impossible : trouver un appart classe en solo en centre ville.
J’ai donc pensé publier un journal afin de partager avec vous mes découvertes sur ce terrain britannique trépidant.
Premier constat qui s’impose, la légende qui raconte que les anglaises sont laides est un tissu de mensonge, probablement tissé par les anglais eux même pour éviter toute concurrence étrangère.
Parce que c’est bien là que réside l’intérêt de ce terrain, la concurrence est écrasée en une fraction de seconde, le temps de prononcer les mots magiques ici, qui vous ouvrent les portes des plus fermés des bitch shields : « Je suis français. »
Entre le bourrin local qui a besoin de ses trois litres d’alcool quotidiens pour oser parler à une fille et finalement l’ennuyer de ses platitudes, et un frenchy du Spike Club, la différence se fait sentir !
Autre bon point ici, les FMS sont à Manchester ce que les tongs sont aux plages brésiliennes. Moi qui suit un grand fan de ces hauts talons aux formes profilées qui dessinent à ces demoiselles une silhouette féline appétissante, je m’en lèche déjà les babines.
Ah et aussi le combo FMS + mini jupe ici est un grand classique ici, et ce de tout temps. Je commence à penser que les anglaises n’ont pas de terminaisons nerveuses dans les jambes ce qui leur permet de ne pas craindre le froid. Pratique !
Ensuite, la proportion de (très) jolies filles est ici assez ahurissante et j’étais loin de l’imaginer.
Pour exemple, je suis sorti mercredi dernier dans une boîte appellée « The Birdcage » et je n’ai littéralement jamais vu autant de très très jolies filles dans un seul endroit et ce malgré toutes les sorties parisiennes que j’ai pu faire.
C’était assez ahurissant et je me sentais comme un enfant dans un magasin de bonbons où tout serait gratuit !
Je suis finalement reparti avec un petit stock de numéros et quelques traces de rouges à lèvres.
J’ai aussi bien sûr pas mal closé dans le but de me construire un bon cercle social, et je vais bientôt rencontrer quelques "grand séducteur" locaux.
La vie nocturne ici est beaucoup plus animée qu’en France. Tous les soirs, les rues où se trouvent les boîtes et les bars/pubs/boîtes sont blindées de monde. Bref les anglais sortent tout le temps et adorent faire la fête. J’ai l’impression aussi qu’ils ont une forte propension à picoler pour s’amuser, d’où un comportement plutôt agressif parfois. Je ferai gaffe
Bon, loin de moi l’idée de dépeindre un tableau idéaliste de cette ville et de ses femmes. On y trouve bien évidemment son lot de grosses décolorées qui s’agitent en jogging en velours.
Mais disons que, pour le moment, la proportion de jolies filles est assez anormalement élevée et que je sens que je vais passer de très bons moments ici.
A bientôt
Il est des moments où l’on se sent prêt.
Comme une certitude à l’intérieur de soi qui nous murmure qu’il est temps de franchir l’étape suivante.
C’est cette sensation qui m’a fait découvrir la communauté par un après midi nuageux il y a bientôt un an.
C’est aussi cette même sensation qui m’a motivé à m’inscrire à un atelier Intense avec Spike, marquant ainsi le début de ma nouvelle vie, vers une recherche constante et curieuse de développement personnel et d’interactions sociales.
Et c’est enfin cette même curiosité qui m’a emmené dans l’endroit depuis lequel je vous écrit.
Ces derniers mois m’ont permis de détruire ma peur de l’approche, en passant de longs après midi d’hiver dans les rues parisiennes à rencontrer des jeunes femmes parfois intéressantes et spéciales, parfois moins ; j’ai enrichi et diversifié mon cercle social, mes sorties, ma culture, et mon intelligence sociale.
Durant ces aventures trépidantes, j’ai aussi croisé le chemin de plusieurs membres de ce forum (Jibril, Bel Ami Guess, Matt, Buffy, Marie, Moonwalkfan, etc) que je profite pour saluer.
Bref, après tous ces instants puissants et formateurs, j’ai ressenti, encore une fois, le coquin chatouillis de la curiosité et j’ai décidé de partir une année à l’étranger afin d’ouvrir mon horizon et mon esprit à d’autres choses.
Il y a deux semaines, j’ai donc atterri en Grande Bretagne, dans la ville de Manchester,
ancien cœur du monde industrialisé désormais en pleine mutation et l’une des villes les plus dynamiques d’Europe.
Entre les anciens immeubles de briques et les constructions modernes en verre, je trouve que cette ville génère une aura qui me convient tout à fait.
Le séminaire « Changez De Vie » m’a bien motivé à viser plus haut dans ses objectifs et j’ai donc réussi, non sans difficultés, à faire ce que beaucoup dans mon entourage disaient impossible : trouver un appart classe en solo en centre ville.
J’ai donc pensé publier un journal afin de partager avec vous mes découvertes sur ce terrain britannique trépidant.
Premier constat qui s’impose, la légende qui raconte que les anglaises sont laides est un tissu de mensonge, probablement tissé par les anglais eux même pour éviter toute concurrence étrangère.
Parce que c’est bien là que réside l’intérêt de ce terrain, la concurrence est écrasée en une fraction de seconde, le temps de prononcer les mots magiques ici, qui vous ouvrent les portes des plus fermés des bitch shields : « Je suis français. »
Entre le bourrin local qui a besoin de ses trois litres d’alcool quotidiens pour oser parler à une fille et finalement l’ennuyer de ses platitudes, et un frenchy du Spike Club, la différence se fait sentir !
Autre bon point ici, les FMS sont à Manchester ce que les tongs sont aux plages brésiliennes. Moi qui suit un grand fan de ces hauts talons aux formes profilées qui dessinent à ces demoiselles une silhouette féline appétissante, je m’en lèche déjà les babines.
Ah et aussi le combo FMS + mini jupe ici est un grand classique ici, et ce de tout temps. Je commence à penser que les anglaises n’ont pas de terminaisons nerveuses dans les jambes ce qui leur permet de ne pas craindre le froid. Pratique !
Ensuite, la proportion de (très) jolies filles est ici assez ahurissante et j’étais loin de l’imaginer.
Pour exemple, je suis sorti mercredi dernier dans une boîte appellée « The Birdcage » et je n’ai littéralement jamais vu autant de très très jolies filles dans un seul endroit et ce malgré toutes les sorties parisiennes que j’ai pu faire.
C’était assez ahurissant et je me sentais comme un enfant dans un magasin de bonbons où tout serait gratuit !
Je suis finalement reparti avec un petit stock de numéros et quelques traces de rouges à lèvres.
J’ai aussi bien sûr pas mal closé dans le but de me construire un bon cercle social, et je vais bientôt rencontrer quelques "grand séducteur" locaux.
La vie nocturne ici est beaucoup plus animée qu’en France. Tous les soirs, les rues où se trouvent les boîtes et les bars/pubs/boîtes sont blindées de monde. Bref les anglais sortent tout le temps et adorent faire la fête. J’ai l’impression aussi qu’ils ont une forte propension à picoler pour s’amuser, d’où un comportement plutôt agressif parfois. Je ferai gaffe
Bon, loin de moi l’idée de dépeindre un tableau idéaliste de cette ville et de ses femmes. On y trouve bien évidemment son lot de grosses décolorées qui s’agitent en jogging en velours.
Mais disons que, pour le moment, la proportion de jolies filles est assez anormalement élevée et que je sens que je vais passer de très bons moments ici.
A bientôt
" Transforming is becoming "