- Mer Déc 28, 2011 4:03 pm
#116902
--- Une rencontre dans une jungle de béton, un safari de honte...---
Je prenais les transports en communs, comme beaucoup de parisien, pour me rendre sur mon lieu d'étude. Sans intention particulière, je déposais mon regard sur une petite blonde au yeux bleu, au forme agréable, qui ,comme moi, avais pour habitude de prendre le même moyen de transport. En y regardant de plus prêt, ce n'est qu'après quelques mois que j'ai fais attention à elle, ou plus précisement à certains de ces regards.
Comment ne pas s'accorder un peu de plaisir à regarder ce bleu vous pénettrer?
Ce n'est qu'après quelques jours que je me décide, la voyant qui rentre dans le bus, je m'autorise à lui montré un signe d'intérêt : un sourire, un petit signe de tête, inconsciemment - je pense que c'est bien le mot, du fait de ma grande timidité vis à vis des femmes à cette époque - je lui montre qu'elle serait la bien venu à mes côtés,en retirant mon sac de cours de la place libre à mes côtés, sans vraiment comprendre sur le moment, elle vas pour s'installer près de moi, le sourire au coins des lèvres, les pommettes un peu rouge. C'est là que tout bascule, mon camarade de classe - boulet - prends ce geste pour lui... Et viens s'installer à mes côtés, me racontant sa folle nuit de séduire... (Oui j'ai eu des camarades très/trop geek, des études en informatique oblige...). Elle prends donc place juste derrière moi, je ne pense pas nécessaire de vous expliquer la joie que j'ai ressenti quand mon camarades m'as raconté sa folle nuit...
Je me souviens avoir ceci ; j'ai déchiré un morceau de mon paquet de cigarette, puis j'y ai inscrit mon numéro de téléphone et mon prénom, oui je l'accorde très/trop oser.
Je n'y croyais pas vraiment, je ne me voyais pas lu dire :
"Tiens c'est mon nom et mon numéro, fais en ce que tu veux !"
Au vu des différents arrêts de bus qui défilaient, trop vite ce matin là, hasard, il n'y avais que très peu de circulation. Et voilà le moment fatidique, celui ou je dois descendre - c'est à ce moment qu'une chose me viens : "Et si tu ne la revoyais plus" - les belles inconnues ne sont pas éternellement assises à vous jetter des regards vous incitant à venir vers elles, si? - .
Le bus décide de mettre fin à ces questions qui ne me font pas avancés, c'est alors que bêtement - et quand j'y repense c'est bêtement, ou non plutôt infantile d'un niveau de CM ou collège - je me retourne vers elle, sans décocher le moindre mot, que je lui donne ce bout de papiers. Seule la dame prêt d'elle à esquissé un sourire, même mon camarade n'as rien remarqué, plongé dans son monologue de la machine.
Les seules choses que j'ai noté de cette -- rencontre dans une jungle de béton...---
Ne jamais faire ce qui j'ai écris précedemment, pour 3 raisons :
- J'ai mis mal à l'aise une jeune femme dans un bus, entouré d'inconnu.
- Je n'ai jamais eu autant honte que cela - je me suis excusé auprès de cette personne dès que l'occasion c'est présenté -.
- Comment une belle inconnue, peu s'interresser à quelqu'un qui lui donne son nom et son numéro, avant de partir comme un voleur, sans même lui adresser la parole ne serais-ce qu'une seule fois?
Je prenais les transports en communs, comme beaucoup de parisien, pour me rendre sur mon lieu d'étude. Sans intention particulière, je déposais mon regard sur une petite blonde au yeux bleu, au forme agréable, qui ,comme moi, avais pour habitude de prendre le même moyen de transport. En y regardant de plus prêt, ce n'est qu'après quelques mois que j'ai fais attention à elle, ou plus précisement à certains de ces regards.
Comment ne pas s'accorder un peu de plaisir à regarder ce bleu vous pénettrer?
Ce n'est qu'après quelques jours que je me décide, la voyant qui rentre dans le bus, je m'autorise à lui montré un signe d'intérêt : un sourire, un petit signe de tête, inconsciemment - je pense que c'est bien le mot, du fait de ma grande timidité vis à vis des femmes à cette époque - je lui montre qu'elle serait la bien venu à mes côtés,en retirant mon sac de cours de la place libre à mes côtés, sans vraiment comprendre sur le moment, elle vas pour s'installer près de moi, le sourire au coins des lèvres, les pommettes un peu rouge. C'est là que tout bascule, mon camarade de classe - boulet - prends ce geste pour lui... Et viens s'installer à mes côtés, me racontant sa folle nuit de séduire... (Oui j'ai eu des camarades très/trop geek, des études en informatique oblige...). Elle prends donc place juste derrière moi, je ne pense pas nécessaire de vous expliquer la joie que j'ai ressenti quand mon camarades m'as raconté sa folle nuit...
Je me souviens avoir ceci ; j'ai déchiré un morceau de mon paquet de cigarette, puis j'y ai inscrit mon numéro de téléphone et mon prénom, oui je l'accorde très/trop oser.
Je n'y croyais pas vraiment, je ne me voyais pas lu dire :
"Tiens c'est mon nom et mon numéro, fais en ce que tu veux !"
Au vu des différents arrêts de bus qui défilaient, trop vite ce matin là, hasard, il n'y avais que très peu de circulation. Et voilà le moment fatidique, celui ou je dois descendre - c'est à ce moment qu'une chose me viens : "Et si tu ne la revoyais plus" - les belles inconnues ne sont pas éternellement assises à vous jetter des regards vous incitant à venir vers elles, si? - .
Le bus décide de mettre fin à ces questions qui ne me font pas avancés, c'est alors que bêtement - et quand j'y repense c'est bêtement, ou non plutôt infantile d'un niveau de CM ou collège - je me retourne vers elle, sans décocher le moindre mot, que je lui donne ce bout de papiers. Seule la dame prêt d'elle à esquissé un sourire, même mon camarade n'as rien remarqué, plongé dans son monologue de la machine.
Les seules choses que j'ai noté de cette -- rencontre dans une jungle de béton...---
Ne jamais faire ce qui j'ai écris précedemment, pour 3 raisons :
- J'ai mis mal à l'aise une jeune femme dans un bus, entouré d'inconnu.
- Je n'ai jamais eu autant honte que cela - je me suis excusé auprès de cette personne dès que l'occasion c'est présenté -.
- Comment une belle inconnue, peu s'interresser à quelqu'un qui lui donne son nom et son numéro, avant de partir comme un voleur, sans même lui adresser la parole ne serais-ce qu'une seule fois?