- Lun Avr 04, 2011 1:26 pm
#107509
Bonjour à toutes et à tous joyeux membres extravertis de cette "communauté foutraque et cristalline".
Venu sur votre site il y a plus d'un an à l'occasion de... De quoi d'ailleurs? Les motivations initiales m'échappent, la mémoire finit par faire défaut. Bref je m'inscris sur un coup de tête, après m'être abreuvé dans la section "look" de ces conseils vestimentaires éclairés , après multiples errements et pérégrinations à travers la forêt des songes sartoriaux au sein de laquelle de vivants piliers laissent parfois sortir de confuses paroles esthétiques et stylistiques.
Pratiquant depuis longtemps (depuis toujours?) de multiples formes d'expression personnelle (faut-il aller jusqu'à dire artistique) j'ai compris assez abruptement qu'il m'avait manqué un TRUC.
En effet si l'on exerce son goût, si on le cultive, si la vie doit être l'expression même du goût personnel, alors pourquoi laisser négligemment sa seconde peau exposée à l'agression des éléments extérieurs?
Si l'on EST, alors il est dommage de ne pas le paraître.
L'esprit vestimentaire du goût plutôt que l'expression du goût vestimentaire.
Certes cela nécessite un certain penchant pour l'exhibition, mais dès lors qu'on expose ses oeuvres, pourquoi soi-même rester dans l'ombre?
Travailler les formes et les couleurs d'un accord de vêtements est aussi excitant que de peindre ou photographier.
Au plus niveau habiller les autres est un art. La haute couture est la sculpture du corps vivant. Une forme qu'il est possible de considérer comme lointaine cousine de la danse. Comment ce point avait-il pu m'échapper?
J'ai en mémoire un article à propos de Rick Owens, paru sur ce forum. Une pépite, une merveille de synthèse par son auteur (dont j'ai malheureusement oublié le nom). L'oeuvre du maître américain m'est alors apparue comme une évidence: la culture classique revisitée comme une éternelle relecture à l'aune de l'époque contemporaine, synonyme de brassage à grand échelle. C'est une des grands souvenirs que je garde du parcours de la section "look".
Mon pseudo?
"Contraires" pour l'alliance des contraires, alliance sans laquelle la vie n'aurait pas de saveur. Le dilemme insoutenable de la séduction.
Et "Z": car arrivé au bout de l'alphabet il y a non pas le vide mais le recommencement. Aaaaa direz vous. Gagné!
Venu sur votre site il y a plus d'un an à l'occasion de... De quoi d'ailleurs? Les motivations initiales m'échappent, la mémoire finit par faire défaut. Bref je m'inscris sur un coup de tête, après m'être abreuvé dans la section "look" de ces conseils vestimentaires éclairés , après multiples errements et pérégrinations à travers la forêt des songes sartoriaux au sein de laquelle de vivants piliers laissent parfois sortir de confuses paroles esthétiques et stylistiques.
Pratiquant depuis longtemps (depuis toujours?) de multiples formes d'expression personnelle (faut-il aller jusqu'à dire artistique) j'ai compris assez abruptement qu'il m'avait manqué un TRUC.
En effet si l'on exerce son goût, si on le cultive, si la vie doit être l'expression même du goût personnel, alors pourquoi laisser négligemment sa seconde peau exposée à l'agression des éléments extérieurs?
Si l'on EST, alors il est dommage de ne pas le paraître.
L'esprit vestimentaire du goût plutôt que l'expression du goût vestimentaire.
Certes cela nécessite un certain penchant pour l'exhibition, mais dès lors qu'on expose ses oeuvres, pourquoi soi-même rester dans l'ombre?
Travailler les formes et les couleurs d'un accord de vêtements est aussi excitant que de peindre ou photographier.
Au plus niveau habiller les autres est un art. La haute couture est la sculpture du corps vivant. Une forme qu'il est possible de considérer comme lointaine cousine de la danse. Comment ce point avait-il pu m'échapper?
J'ai en mémoire un article à propos de Rick Owens, paru sur ce forum. Une pépite, une merveille de synthèse par son auteur (dont j'ai malheureusement oublié le nom). L'oeuvre du maître américain m'est alors apparue comme une évidence: la culture classique revisitée comme une éternelle relecture à l'aune de l'époque contemporaine, synonyme de brassage à grand échelle. C'est une des grands souvenirs que je garde du parcours de la section "look".
Mon pseudo?
"Contraires" pour l'alliance des contraires, alliance sans laquelle la vie n'aurait pas de saveur. Le dilemme insoutenable de la séduction.
Et "Z": car arrivé au bout de l'alphabet il y a non pas le vide mais le recommencement. Aaaaa direz vous. Gagné!
De hautes ...... dans le vent... Mon silence.