- Dim Sep 15, 2013 1:20 pm
#137828
Hier, j'étais avec celle dont je pense qu'elle pourrait être ma "moitié"... Nous étions fatigués. Nerveux. Nous nous étions engueulés (et oui, c'est grave, peut-être donc qu'elle ne sera pas ma moitié). Nous décidons d'aller essayer de nous détendre sur une terrasse face à l'Eglise de la Madeleine. Je l'ai laissée choisir le lieu pour prendre un thé vers 18 heures 30... Evidemment, se détendre en face de l'Eglise de la Madeleine (côté est) n'est pas l'idéal : le lieu est assez bruyant. Mais bon, ma "moitié" est américaine et je ne voulais pas l'empêcher de faire ses bêtises une nouvelle fois - elle me l'a assez reproché comme ça.
Nous étions ainsi comme deux chats tendus essayant de conserver notre calme entre sourire et coups de griffes.
Quand tout à coup, une musique américaine se voulant "cool" est venue nous transpercer les tympans. Ce café à la con assommait tout à coup ses clients de bruit venant se substituer au bruit de la rue (tonnes de décibels). Je ne voulais pas de musique. Je l'ai dit au serveur pendant que la terrasse se vidait. Il me rétorque assez agressivement que c'était le patron qui décidait et que tout était automatique et qu'il ne pouvait rien y faire et que c'était pour faire ambiance "pub".
De ce lieu qui se voulait classe, je compris que nous étions alors au comble de la vulgarité la plus crasse déshumanisante et la plus crétine qui soit. Comme si les touristes américains (et ma moitié est américaine) voulait entendre de la musique américaine à Paris ! (Précision : cela lui a autant déplu à elle qu'à moi).
Nous étions ainsi comme deux chats tendus essayant de conserver notre calme entre sourire et coups de griffes.
Quand tout à coup, une musique américaine se voulant "cool" est venue nous transpercer les tympans. Ce café à la con assommait tout à coup ses clients de bruit venant se substituer au bruit de la rue (tonnes de décibels). Je ne voulais pas de musique. Je l'ai dit au serveur pendant que la terrasse se vidait. Il me rétorque assez agressivement que c'était le patron qui décidait et que tout était automatique et qu'il ne pouvait rien y faire et que c'était pour faire ambiance "pub".
De ce lieu qui se voulait classe, je compris que nous étions alors au comble de la vulgarité la plus crasse déshumanisante et la plus crétine qui soit. Comme si les touristes américains (et ma moitié est américaine) voulait entendre de la musique américaine à Paris ! (Précision : cela lui a autant déplu à elle qu'à moi).