- Dim Oct 12, 2008 5:55 pm
#60731
Ce message s'adresse aux membres Marseillais du forum.
Suis-je le seul a avoir remarqué que le terrain du coin est vraiment pourri ?
Marseillais de naissance, de cœur et même de cordes vocales (sic !), je commence à être fatigué. Fatigué des gens quelconques et ininteressants que je rencontre.
Entre les cagoles et gamines Bazardiennes se croyant déjà en haut de l'échelle sociale, il y a le reste. Et le reste, c'est pas franchement la folie non plus.
Fatigué de ne pouvoir utiliser aucune routine contenant ne serait-ce qu'une seule référence littéraire ou cinématographique digne de ce nom sans prendre le risque de se voir adresser ces yeux là... de carpe, oui !
Marseille est un village. Un village de 1 000 000 d'habitants. 80% de la population ronge son frein. Chaque Samedi, on a l'impression de connaître tout le monde. Pour l'énergie, y'a mieux.
Alors, évidemment, je tiens pas à généraliser. Reste qu'en une semaine seul à Paris, j'ai atteint un état de plénitude sociale jamais atteint ici. Et ça, franchement, j'éprouve pas franchement de difficulté à me l'expliquer.
D'ailleurs, la fatigue accumulée durant ce nouveau week-end médiocre m'empêche d'écrire correctement. Bref, que les Marseillais me viennent en aide, quels sont leurs trucs pour échapper au marasme ?
Suis-je le seul a avoir remarqué que le terrain du coin est vraiment pourri ?
Marseillais de naissance, de cœur et même de cordes vocales (sic !), je commence à être fatigué. Fatigué des gens quelconques et ininteressants que je rencontre.
Entre les cagoles et gamines Bazardiennes se croyant déjà en haut de l'échelle sociale, il y a le reste. Et le reste, c'est pas franchement la folie non plus.
Fatigué de ne pouvoir utiliser aucune routine contenant ne serait-ce qu'une seule référence littéraire ou cinématographique digne de ce nom sans prendre le risque de se voir adresser ces yeux là... de carpe, oui !
Marseille est un village. Un village de 1 000 000 d'habitants. 80% de la population ronge son frein. Chaque Samedi, on a l'impression de connaître tout le monde. Pour l'énergie, y'a mieux.
Alors, évidemment, je tiens pas à généraliser. Reste qu'en une semaine seul à Paris, j'ai atteint un état de plénitude sociale jamais atteint ici. Et ça, franchement, j'éprouve pas franchement de difficulté à me l'expliquer.
D'ailleurs, la fatigue accumulée durant ce nouveau week-end médiocre m'empêche d'écrire correctement. Bref, que les Marseillais me viennent en aide, quels sont leurs trucs pour échapper au marasme ?