- Mer Fév 15, 2012 10:14 pm
#119228
nouvelle avancée
cette après midi elle m'a appelé.
ça n'était même plus un prétexte pour m'appeler mais carrément pour me faire venir à son bureau.
il n'y avait objectivement aucune raison valable de le faire, le prétexte qu'elle m'a sorti c'est "ça va plus vite, et ça économise un timbre".
nan mais... si c'est pas "mignon"...
Surtout qu'en ce moment les bureaux, et le sien en particulier, j'ai remarqué, sont désertés.
Elle m'a dit "à tout de suite", et naturellement, parce que d'une part c'est moi qui choisi et qu'ensuite elle n'aura jamais exactement ce qu'elle veut, je lui ai indiqué que je viendrai plus tard, genre dans les 20 minutes.
Et c'est 40 minutes plus tard que je suis monté.
Elle était là, en face de la photocopieuse, à contre jour, ses cheveux relevés dans un chignon mal fait mettait sa nuque fine en valeur.
J'avoue que j'ai beau être un grand garçon, ça m'a secoué un peu.
J'en suis resté au formel, sympa, souriant, centré sur mon langage corporel et sur mon environnement, mais formel.
J'ai préféré ne rien dire que de dire de la merde, ce soir j'ai pris un coup de pied dans le ventre qui m'a foutu un genou à terre pendant 2 minutes, j'avoue que c'était assez similaire.
Bon, je me suis relevé, j'ai pas bronché, mais bon.
J'ai à mon tour projeté un retour dans son bureau à une date indéfinie, usant du même prétexte qu'elle, on va dire que c'est un semblant d'ancrage.
Ce matin son "mec" est venu dans mon bureau pour faire un petit boulot. J'ai tenté de socialiser avec lui.
Rarement vu un autiste pareil, et je ne l'ai pas "attaqué" en frontal, j'ai fait monter la sauce avec mes 4 autres collègues pour le faire entrer dans le "jeu".
Résultat : rien.
J'avoue que le fait d'être au travail me fait perdre un peu mes moyens, limite un peu de parano.
ça m'agace ce manque de fluidité.
Mais comment être fluide ?
cette après midi elle m'a appelé.
ça n'était même plus un prétexte pour m'appeler mais carrément pour me faire venir à son bureau.
il n'y avait objectivement aucune raison valable de le faire, le prétexte qu'elle m'a sorti c'est "ça va plus vite, et ça économise un timbre".
nan mais... si c'est pas "mignon"...
Surtout qu'en ce moment les bureaux, et le sien en particulier, j'ai remarqué, sont désertés.
Elle m'a dit "à tout de suite", et naturellement, parce que d'une part c'est moi qui choisi et qu'ensuite elle n'aura jamais exactement ce qu'elle veut, je lui ai indiqué que je viendrai plus tard, genre dans les 20 minutes.
Et c'est 40 minutes plus tard que je suis monté.
Elle était là, en face de la photocopieuse, à contre jour, ses cheveux relevés dans un chignon mal fait mettait sa nuque fine en valeur.
J'avoue que j'ai beau être un grand garçon, ça m'a secoué un peu.
J'en suis resté au formel, sympa, souriant, centré sur mon langage corporel et sur mon environnement, mais formel.
J'ai préféré ne rien dire que de dire de la merde, ce soir j'ai pris un coup de pied dans le ventre qui m'a foutu un genou à terre pendant 2 minutes, j'avoue que c'était assez similaire.
Bon, je me suis relevé, j'ai pas bronché, mais bon.
J'ai à mon tour projeté un retour dans son bureau à une date indéfinie, usant du même prétexte qu'elle, on va dire que c'est un semblant d'ancrage.
Ce matin son "mec" est venu dans mon bureau pour faire un petit boulot. J'ai tenté de socialiser avec lui.
Rarement vu un autiste pareil, et je ne l'ai pas "attaqué" en frontal, j'ai fait monter la sauce avec mes 4 autres collègues pour le faire entrer dans le "jeu".
Résultat : rien.
J'avoue que le fait d'être au travail me fait perdre un peu mes moyens, limite un peu de parano.
ça m'agace ce manque de fluidité.
Mais comment être fluide ?