Comment démasquer les chercheuses d’or

- Ven Juil 19, 2013 1:45 am #136003 Franchement là on entre un peu dans la parano ! Oui les "chercheuses d'or" ça existe, les vraies, et alors, c'est du business, il faut accepter cette réalité et, si on cherche au moins la passion, si ce n'est l'amour en plus, d'une femme, passer son chemin est naturel our nous devant ces femmes d'affaire (qui ne seront jamais femmes tout court) !

Ca va trop loin aussi, de dire qu'une femme peut être chercheuse d'or de par son éventuel manque affectif, ou de besoin de sécurité ! Merde, celle-là est chercheuse d'amour, de sécurité, d'attention, point barre ! C'est un crime maintenant ???

- Ven Juil 19, 2013 2:45 am #136004 Pour en revenir à la question, déjà bancale au départ, seul John adopte un angle intéressant : si tu veux le vrai amour d'une femme, ne fais pas semblant d'être celui que tu n'es pas, sois toi-même et ne cède pas à la facilité.

SVP, pouvons-nous différencier les "chercheuses d'or", qu'il s'agisse de fric, de réseau social, d'avoir les papiers pour rester en France, bref, les femmes sans coeur POUR L'INSTANT, CAR AVEC D'AUTRES PRIORITES, calculatrices, comme il y a des hommes sans coeur, calculateurs et intéressés,

Des femmes (et hommes) qui ne demandent rien d'autre que d'expérimenter le vrai amour, pas celui où on se marie, où on a X enfants, qui dure Y années, mais celui qui apporte par des voies détournées l'amour de soi-même à la personne. OUI elles sont chercheuses, mais pas d'or, d'amour d'elles-mêmes qui passe dans un premier temps par l'amour extérieur.

Simon, ton questionnement est plus sur les vampires affectifs, qui existent bien sûr (cf le 1 an de galère de notre compère Mick). J'aimerais juste que ça soit mieux formulé au départ et évitant de confondre torchons et serviettes.

- Ven Juil 19, 2013 7:26 am #136009 [quote]Ce bon vieux Robert Greene. Une bonne relecture me fera le plus grand bien.

Robert Greene, c'est vénéneux, la dose fait le poison.

Avoid the unlucky and unhappy... offre-leur avec compassion ce qui est nécessaire (et ça peut être l'indifférence, l'ignorance ou la colère), et ils ne s'accrocheront pas.

- Ven Juil 19, 2013 9:29 am #136013 J aurais en effet pu faire la distinction dès le début mais mon but est de parler des deux.
Pour revenir sur ce que tu disais Piano, qu une femme cherche de l amour, de la securité,de l attention j en suis conscient, mais quand elle en est dépendante c est là que ça pose problème. Si elle est perdue et se met a t en vouloir parce que tu es dans une période ou ton job te demande bcp par exemple ça devient problématique aussi.
Je fuis toute forme de dépendance, et la dépendance affective en fait partie.


Au même titre qu une vraie chercheuse d or profite de ta situation/statut social, l autre profitera de ta stabilité affective, de ta bonne humeur, de ton énergie et c est souvent pour t en enlever une partie.



Pour ce qui est des 50 lois du pouvoir c est un très bon livre mais il y a beaucoup à relativiser ou à adapter à sa vie.
Merci pour la précision. C est vrai que certains pourraient le prendre au pied de la lettre.

- Ven Juil 19, 2013 10:33 am #136014 [quote="Piano"]Ca va trop loin aussi, de dire qu'une femme peut être chercheuse d'or de par son éventuel manque affectif, ou de besoin de sécurité ! Merde, celle-là est chercheuse d'amour, de sécurité, d'attention, point barre ! C'est un crime maintenant ???

Piano, relis mon message, je n'ai rien dit de tel. Je suis même globalement d'accord avec ton recadrage (hormis sa ponctuation un peu intensive peut-être). Ce contre je suis, c'est la diabolisation de ces fameux-ses « vampires ». Qui n'a jamais tenté de s'élever socialement en s'aidant d'autrui? Car enfin, c'est bien de cette façon que cela fonctionne. Et souvent les relations que les gens tissent ont une part de non-dit, qu'elle soit économique, sociale… animal le dit lui-même, régulièrement : toutes les relations sont « intéressées » au sens qu'on y fait toujours un échange sous-jacent.

Quant à la description de ces « chercheuses d'or » à la « chambre de nonne », qui n'ont pas de vie… Le concept de vie intérieure, ça vous dit quelque chose? C'est vrai que le conseil d'avoir une vie, c'est un concept qui vient de loin, et de haut, mais je suis sûr que ceux qui l'ont formulé seraient d'accord pour dire que les extrêmes d'avoir ou de ne pas avoir de vie (binaires) n'existent pas, et que tout le monde se situe plus ou moins entre les deux. Ou alors il n'y a de progression possible que fantasmée.

Fin du HS.

Er schoss ein leeres Wort zum Zeitvertreib
In’s Blaue — und doch fiel darob ein Weib.

- Ven Juil 19, 2013 5:19 pm #136019 D'accord, j'avoue que le ton de mes messages était un peu trop intense, désolé

- Ven Juil 19, 2013 6:42 pm #136021 [quote="Piano"]D'accord, j'avoue que le ton de mes messages était un peu trop intense, désolé
Ca les rends surtout incompréhensible. On croirait lire une féministe enragée

Hormis des banalités, "les femmes d'affaires ne seront jamais femme" (pas d'accord DU TOUT), "il faut pas stigmatiser, les hommes aussi sont méchants", j'ai du mal à en ressortir quelque chose. En plus une réaction aussi épidermique est étrange, à croire que tu cherches à défendre quelqu'un.

[quote="Piano"]Ca va trop loin aussi, de dire qu'une femme peut être chercheuse d'or de par son éventuel manque affectif, ou de besoin de sécurité ! Merde, celle-là est chercheuse d'amour, de sécurité, d'attention, point barre ! C'est un crime maintenant ???

Tu excuseras tes camarades qui ne souhaitent pas s'entourer de personnes calculatrices et/ou mal dans leur peau - Ce qui est une perte de temps, d'énergie et d'argent...

- Sam Juil 20, 2013 9:06 am #136036 Si on range la recherche de la sécurité dans la case des choses horribles qu'il faut à tout prix éviter, on n'a pas fini de voir des tarées partout.

La sécurité est l'une des recherches fondamentales de la femme dans le couple. Comme nous ne sommes jamais entièrement et seulement homme ou femme dans nos constructions affectives, nous la recherchons aussi un peu (au moins).

C'est tout à fait sain jusqu'à un certain point.

- Sam Juil 20, 2013 4:14 pm #136050 Pour être avec une femme qui gagne bien mieux sa vie que moi je ne peux que confirmer que ça n'enlève rien aux autres attentes : sécurité, réseau, style de vie, sorties et vacances intéressantes, etc.
Sur le plan financier, en couple pour moi c'est normal ste chacun participe à la hauteur de ses revenus.
Sur le reste, j'aurais du mal à être avec quelqu'un toujours en position d'attente qui ne proposerait jamais rien. Idem pour les amis et sorties, une fille qui nous attend pour en profiter est à minima douteuse.

- Lun Juil 22, 2013 8:26 pm #136142 [quote="Dje"]C'est tout à fait sain jusqu'à un certain point.

Le problème est là, quelles sont les limites qu'une femme ne doit pas dépasser pour ne pas devenir "chercheuse d'or"?

"Une chercheuse d'or" s'évite plus facilement en allant vers les personnes ayant confiance en elles.
C'est pourquoi je suis assez d'accord avec Simon, je fuis toute forme de dépendance, mais si dépendance il y a, elle est longue à se manifester ( dans mon cas personnel). Les femmes sont subtiles et savent séduire en montrant leurs meilleures facettes, il n'est pas écrit sur leur front ce qu'elles recherchent. Car chacun veut faire une bonne première impression. Il m'arrive de trouver des "chercheuses d'or" parmi les relations de mes amis alors que je les ( leur amies) connaissais déjà auparavant.

- Lun Juil 22, 2013 9:12 pm #136143 On distinguera la chercheuse d'or de la femme en simple quête de sécurité par le fait qu'elle vise toujours plus haut et qu'elle cherche à te faire vivre au dessus de tes moyens.

- Mer Juil 24, 2013 2:56 pm #136203 [quote]C'est pourquoi je suis assez d'accord avec Simon, je fuis toute forme de dépendance, mais si dépendance il y a, elle est longue à se manifester ( dans mon cas personnel).

Je ne sais pas si parler de dépendance convient pour les chercheuses d'or.
Petit HS : Je me souviens d'un échange que j'avais eu avec mon ancien compagnon, où je lui avait précisément dit quelque chose comme ça "je ne veux dépendre de personne", et il m'avait répondu qu'on était tous à des degrés divers dépendants les uns des autres, qu'en soit ce n'était pas un tord. A certains moments de sa vie on peut être plus dépendant qu'à d'autres, là où ça devient problématique c'est quand cela représente un poids trop lourd pour la/les personnes dont on dépend - Fin du HS

Pour en revenir au sujet, ce qui caractérise les chercheuses d'or ne serait-ce pas surtout l'absence de scrupules et le fait de fonctionner à sens unique, prendre sans donner (ou plus vicieux donner rarement, ou rationner pour rendre l'autre dépendant). J'ai croisé dans ma jeunesse quelques filles comme ça (la version bourgeoise on va dire), pas méchantes mais dont le but premier était de "faire un bon mariage", et effectivement elles s'intéressaient surtout au CV et au nom (ah le pouvoir séducteur de la particule!).