Comme son nom l'indique

Modérateurs: animal, Léo

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By bent
#161218 Il y a cette amie qui se plaint de ne pas rencontrer la personne idéal. Elle est socialement ouverte mais à tendance à privilégier le rapport confortable avec ces proches (principe de base féminin?). C'est une belle femme, avec son histoire et son passé. Je ne suis pas expert et connait peu le langage des femmes mais je souhaiterai qu'elle trouve son bonheur à l'avenir.

Pour elle, le passé, c'est compliqué. Des parents qui se disputent. Un petit frère en difficulté qu'elle se sent investie de prendre en charge. Le désir d'honorer les attentes de sa mère (celle qui prend son pied en déglinguant son père avec des petits yeux coupables une fois les méfaits accomplis).

Elle rencontre des hommes mais s'étonne de ne pas être plus courtisée que cela. Elle se renseigne beaucoup par intermédiaire interposé. Mais arrivé à 32 ans, elle se sent par moment à cours de vitalité, répétant souvent les mêmes erreurs de façon inconsciente j'imagine. D'après elle, un homme digne d'elle devrait la conquérir, la comprendre, la chérir et l'exciter, mais en toute confiance et en satisfaisant tout les critères qu'on peut s'inventer lorsqu'on est pas dans l'ambiance. C'est toujours les hommes qui ne la comprennent pas, ne pensent qu'à leurs envies ou ne savent pas se faire accepter par son entourage.

Elle a ces satisfactions, ces addictions aussi, mais... l'horloge tourne. Comme elle accorde confiance à qui la rassure, peut importe la facture, elle peine à s'abandonner avec quelqu'un. Elle se nourrit de petits tiraillement pour remettre à plus tard. Elle a d'autres responsabilités de toutes façons.

J'ai essayé de lui dire d'éveiller un peu plus le désir et de simplifier sa façon de communiquer. Mais je ne suis pas expert, j'ai juste de l'affection pour elle. Je doute qu'elle puisse accorder de l'importance aux avis masculin, mais en même temps, cela raye son désir de relation idéal. Finissant par reproduire le schéma avec lequel elle a dut se construire.

Auriez vous des pistes afin qu'elle dépasse ce stade de relations, qui même si elles nourrissent ces affects, ne l'épanouissent pas réellement. Son intérêt pour moi est assez bas, on communique par intermittence. J'ignore si je pourrai vous donner des nouvelles par la suite si vous avez des avis instructifs.

Joyeux Noël :)
By chum
#161233 [quote="bent"]Elle rencontre des hommes mais s'étonne de ne pas être plus courtisée que cela.

[quote="bent"]ID'après elle, un homme digne d'elle devrait la conquérir, la comprendre, la chérir et l'exciter, mais en toute confiance et en satisfaisant tout les critères qu'on peut s'inventer lorsqu'on est pas dans l'ambiance.

Cela me rappelle une question à laquelle Stéphane a répondu dans le podcast n°1, qui était "Comment épouser, à 31 ans, un musulman bien sous tous rapports ?". Je ne l'ai pas réécouté, mais je crois que la question à se poser était, est-ce que ses attentes vs. ce qu'elle a à offrir sont en adéquation ?

A écouter ici, à 10:45:
https://www.youtube.com/watch?v=NpLi9s97glw
By Verrochio
#161244 Si je peux me permettre une petite digression, quel est ton objectif en postant ce message ? En lisant cette présentation, on a tendance à se dire que c'est une fille très bien mais ça ressemble quand même à un vécu romancé par elle que tu recracherais à l'identique avec une petite pointe d'idéalisation.

[quote]Il y a cette amie qui se plaint de ne pas rencontrer la personne idéal.
[quote]D'après elle, un homme digne d'elle devrait la conquérir, la comprendre, la chérir et l'exciter, mais en toute confiance et en satisfaisant tout les critères qu'on peut s'inventer lorsqu'on est pas dans l'ambiance.

Est-elle la femme idéale ? Si non, pourquoi l'homme idéal aurait-il le devoir de chercher à la conquérir ?

[quote]Elle est socialement ouverte mais à tendance à privilégier le rapport confortable avec ces proches (principe de base féminin?).

Je ne pense pas que ce soit un principe de base féminin. J'ai beaucoup de connaissances et de potes mais je préfère mille fois passer la soirée avec quelques vrais amis, voire en famille, qu'avec eux.
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By bent
#161250 Par moment, elle fait peine à voir et que j'aimerai bien qu'elle s'épanouisse de manière différente. Après, c'est probablement une petite chamailleuse qui s'excite avec ce qu'elle peut.

[quote="Verrochio"]
Est-elle la femme idéale ? Si non, pourquoi l'homme idéal aurait-il le devoir de chercher à la conquérir ?

Comparaison n'est pas raison. C'est pas forcement parce qu'elle ne met rien d'intéressant sur le comptoir qu'elle ne doit pas en être capable. Oups, c'est de l'idéalisation. Enfin, tant qu'on ne voit pas de médaille, l'intérêt pour les qualifs est assez bas.

[quote="Verrochio"]
Je ne pense pas que ce soit un principe de base féminin. J'ai beaucoup de connaissances et de potes mais je préfère mille fois passer la soirée avec quelques vrais amis, voire en famille, qu'avec eux.
Touchay, simuler la présence dans le cercle pour satisfaire la pêche aux infos indirects n'attise pas la confiance. L'intérêt indirect à tendance à entrainer le repoussoir (je suis bon, non?). D'un autre coté, le nombre d'histoires qui flanchent quand ça discute avec de l'entourage plutôt qu'entres intéressés... Pratique pour ce faire des potes ou éviter le quinoa ceci dit.
By john dilinger
#161255 [quote]Comparaison n'est pas raison. C'est pas forcement parce qu'elle ne met rien d'intéressant sur le comptoir qu'elle ne doit pas en être capable. Oups, c'est de l'idéalisation. Enfin, tant qu'on ne voit pas de médaille, l'intérêt pour les qualifs est assez bas.
On dirait la version à peine plus humble du discours F ambient.
C'est à dire qu'au lieu d'attendre l'homme idéal sans rien proposer, il faudrait la présumer avec de grandes qualités jusqu'à preuve du contraire (comme on presume une personne innocente avant preuve du contraire).

En vérité je pense que les gens finissent bien souvent avec ceux qu'ils méritent.
Comme ma cousine, extrêmement belle et avec un réseau social de malade, qui malheureusement a construit de fait des attentes démesurées pour son futur prétendant, et qui risque malheureusement, arrivée à la quarantaine, de rester seule ou avec le premier type qui passera au paroxysme du sentiment d'urgence biologique.
By James ex S
#161265 [quote="bent"]Pour elle, le passé, c'est compliqué. Des parents qui se disputent. Un petit frère en difficulté qu'elle se sent investie de prendre en charge. Le désir d'honorer les attentes de sa mère (celle qui prend son pied en déglinguant son père avec des petits yeux coupables une fois les méfaits accomplis).
Ouai, en gros elle a les même problèmes de tout un chacun.

[quote="bent"]Elle rencontre des hommes mais s'étonne de ne pas être plus courtisée que cela. Elle se renseigne beaucoup par intermédiaire interposé. Mais arrivé à 32 ans, elle se sent par moment à cours de vitalité, répétant souvent les mêmes erreurs de façon inconsciente j'imagine. D'après elle, un homme digne d'elle devrait la conquérir, la comprendre, la chérir et l'exciter, mais en toute confiance et en satisfaisant tout les critères qu'on peut s'inventer lorsqu'on est pas dans l'ambiance. C'est toujours les hommes qui ne la comprennent pas, ne pensent qu'à leurs envies ou ne savent pas se faire accepter par son entourage
Je connais aussi un bon nombre de filles qui s'étonne de la même façon que ton amie mais qu'est-ce qu'elles donnent en retour? Est-ce qu'elle donne à la hauteur de ce qu'elle aimerait recevoir?
C'est toujours le même problème avec les filles qui ont des attentes démesurées et qui ne se remettent jamais en question (est-ce que F se remet d'ailleurs en question?), qui ne se demandent jamais qu'est-ce qui cloche.

Et il va y en avoir beaucoup des femmes comme la cousine de JD qui vont arriver à 40 ans seule et c'est bien triste... [size=60]Enfin sauf pour Coug :wink: [/size]
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By coug
#161266 Ca me fait penser à un pote qui est justement dans la quarantaine, qui a consacré sa vie à son job, qui est plus vigoureux et accompli que bien des jeunes de vingt ans. Et la il aimerait construire une famille.

Il tombe que sur des nanas totalement névrosées et tarées.
- Celles qui ont jamais eu d'enfant et qui ont une horloge biologique qui les rends imbuvables (genre la checklist au deuxième date pour voir si tu ferais un bon père)
- Celles qui ont eu un enfant, avec divorce et tout ca et qui détestent les hommes/coeur brisé à reconstruire

Passé un certain age, c'est à se demander si les femmes les plus équilibrées ont déjà construit leur vie. Et la différence entre un quadra célib sans enfant jamais marié et son homologue féminin, c'est que lui a le temps. Il est pas dans l'urgence de la ménopause approchante. Qu'il a un enfant à 41, 46 ou 48ans, ca change rien biologiquement, tout au plus il sera un peu plus vieux quand son enfant sera ado. Mais pour une femme, c'est la différence entre:
- Avoir un enfant
- Avoir un enfant avec des risques de malformation génétique décuplés
- Ne pas avoir d'enfant
By jazzitup_
#161270 Dans la tranche d'âge 40-50 ans, il y a beaucoup plus de femmes libres que d'hommes. Il y a une proportion de névrosées, c'est clair, et il y a aussi des femmes qui ont fait une vraie progression de vie.

Elles recontrent souvent des hommes en dessous de leur niveau (condition physique, soin de soi, intelligence, culture, vie spirituelle) --- du moins c'est le cas de quatre femmes de mon cercle social.

Parce que parmi les hommes, il faut voir le massacre: les types aigris laminés par un divorce, les analphabètes culturels surinvestis professionnels, les demi-gras demi-chauves, les vieux beaux-gosses pour qui le vent a tourné, ceux qui ont perdu foi dans leur carrière et se lancent dans des certifications en finance durable...

coug, la balance devrait peser du côté de ton pote, il y a un truc qui coince. Peut-être ne cherche-t-il pas au bon endroit, peut-être est-il disqualifié par un critère particulier, ...
By James ex S
#161276 Vers 40-50 ans je veux bien te croire mais je ne pense pas qu'à 30-35 ans, la plupart des femmes seules (qui sont donc encore en âge de procréer) soient aussi accomplie que ça. Peut-être qu'une fois passé la possibilité d'avoir des enfants, elles sont peut-être plus dans une recherche "spirituelle" d'accomplissement et de développement de soi mais j'ai l'impression que tant que l'horloge biologique tourne (et à 30-35 ans, la plupart ne sont pas sur le marché du travail depuis des dizaines d'années en sachant qu'elles terminent leurs études entre 25 et 27 ans) elles sont vraiment à la recherche de critères à cocher sur une checklist comme l'expliquait Coug.

J'ai peu d'amies qui ont plus de 40 mais les trentenaires que je connais bien me foutent vraiment les boules.
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By aequus
#161277 [quote="coug"]Passé un certain age, c'est à se demander si les femmes les plus équilibrées ont déjà construit leur vie.
On se demande exactement la même chose dans le camp en face.

[quote="coug"]Et la différence entre un quadra célib sans enfant jamais marié et son homologue féminin, c'est que lui a le temps. Il est pas dans l'urgence de la ménopause approchante. Qu'il a un enfant à 41, 46 ou 48ans, ca change rien biologiquement, tout au plus il sera un peu plus vieux quand son enfant sera ado. Mais pour une femme, c'est la différence entre:
- Avoir un enfant
- Avoir un enfant avec des risques de malformation génétique décuplés
- Ne pas avoir d'enfant

Je nuancerais :
- d'un point de vue biologique, la qualité de semence s'altère également avec l'âge (avec aussi possibilité de malformation génétique ou diminution de fertilité)
- attendre tard pour un homme, c'est devoir trouver une femme jeune et l'écart ne faisant que grandir avec votre âge, car limite biologique pour la femme quoiqu'il arrive
- c'est encore accroitre le risque de tomber sur une femme qui n'en veut qu'à votre statut et réussite (l'âge aidant, statiquement vous aurez une position sociale "meilleure" que 20 ans en arrière). Je passe sur les dommages unilatéraux possibles ...

Bref, votre fenêtre est théoriquement plus large, dans la pratique, je ne compte plus les quadra, cinqua qui n'ont pas d'enfants car ils avaient le temps (et qui ont fini par faire une croix dessus).

Et je trouve ça tout aussi triste.
By James ex S
#161282 Parlons un peu de notre semence. Elle est d'avantage en train de s'altérer avec nos smartphones dans nos poches toute la journée qu'avec les années qui passent. Je veux bien qu'à passé 70 ans nos petits soldats soient un peu moins vaillants qu'à 20 ans mais les risques sont vraiment négligeables par rapport aux risques d'encourt une femme à avoir des enfants après 40 ans.

[quote="Dr Joëlle Belaïsch-Allart"] Les Anglo-saxons considèrent qu’une grossesse est tardive après 35 ans. Or, si la fertilité a déjà commencé à diminuer et si les risques liés à la grossesse augmentent sensiblement, à partir de 35 ans, une grossesse à cet âge ne pose généralement pas de problème majeur. Après 40 ans, il en va tout autrement.
D’abord parce qu’il y a plus de risques de malformations fœtales. On en parle beaucoup, mais on ne connaît pas toujours les chiffres : à 25 ans, le risque d’être enceinte d’un enfant trisomique est de 1/900, à 35 il est de 1/380 et de 1/28 à 45 ans. Alors bien sûr, l’amniocentèse donne des diagnostics prénataux fiables, mais d’une part, l’interruption volontaire de grossesse n’est jamais facile à vivre, d’autre part, il existe des disparités dans le dépistage qui font que certaines populations sont exclues de ces moyens diagnostiques, par choix personnel ou parce qu’on ne leur a pas proposé.
S’ajoute à cela le fait qu’après 40 ans, la grossesse n’est pas toute rose : il y a plus de diabète, plus d’hypertension, plus de prématurité, plus d’hémorragies.
Et, de surcroît, il y a plus de mortalité maternelle à l’accouchement (à cause du nombre croissant d’hémorragies de la délivrance) : la mortalité maternelle passe ainsi de 7, 8/100 000 à 25 ans à 209,3/100 000 après 45 ans ; le chiffre est colossal, et les femmes ne sont pas toujours au courant car la mortalité maternelle demeure un tabou.

Pour ce qui est de l'écart d'âge, il a beaucoup moins d'importance passé 45 ans. 10 ans d'écart à cet âge là ce n'est pas du tout la même chose que chez une jeune de 18 ans sortant avec un trentenaire.
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By aequus
#161284 [quote="James ex S"]Elle est d'avantage en train de s'altérer avec nos smartphones dans nos poches toute la journée qu'avec les années qui passent
Oui plus tous les autres facteurs environnementaux. Ca m'apprendra ... c'est vrai que c'est toujours un sujet très sensible pour vous de parler de votre semence.
Passons donc sur ce point puisqu'il ne "semble" pas tenir la route.

Essayons le 2ème
[quote="James ex S"]Pour ce qui est de l'écart d'âge, il a beaucoup moins d'importance passé 45 ans. 10 ans d'écart à cet âge là ce n'est pas du tout la même chose que chez une jeune de 18 ans sortant avec un trentenaire.
Ah oui mais 10 ans d'écart à 45, ca fait 35 pour elle, seuil déjà considéré critique par ton extrait.
Mais alors il faut descendre à 25 ou 30, à mais merde ca fait 15 ou 20 ans d'écart ... pfeu pas facile à gérer.
Et si monsieur à 50, si elle a 30, il pourrait être son père ...
CQFD. :wink:
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By coug
#161288 [quote="Aequus"]- attendre tard pour un homme, c'est devoir trouver une femme jeune et l'écart ne faisant que grandir avec votre âge, car limite biologique pour la femme quoiqu'il arrive
- c'est encore accroitre le risque de tomber sur une femme qui n'en veut qu'à votre statut et réussite (l'âge aidant, statiquement vous aurez une position sociale "meilleure" que 20 ans en arrière). Je passe sur les dommages unilatéraux possibles ...

Je conçois bien que ce que je vais dire peu paraître dérangeant, sexiste, injuste ou puéril. Mais c'est une vérité (pas "la" vérité).

Le potentiel de séduction d'un homme peut grandir avec l'âge. Pour la femme, c'est tout le contraire et dans le meilleur des cas, il s'agit d'une lutte permanente contre le temps qui vise à repousser l'inévitable.

Je connais pléthore d'hommes quadra, quinquas, voir sexagénaires qui ont un sexappeal démentiel. Qui sont sportif (et qui tiennent la dragée haute à des hommes de 20ans leur cadets), vif d'esprit, et objectivement séduisants.
Sans même aller jusqu'à citer des hommes comme Delon, Eastwood, Connery, Roger Moore, Pierce Brosman,... On en croise beaucoup dans la vie de tous les jours.

La réciproque féminine n'est absolument pas vraie (et je n'irais pas jusqu'à citer Brigitte Bardot en guise d'argument, ce serait trop facile). A la limite, les féministes de mauvaise foi pourraient nous parler de Madonna (56ans) ou Killy Minogue (46ans). En omettant de dire que leur investissement dans leur apparence est inaccessible pour 99.9% des femmes, à grand coup de nutritionniste, de cuisinier personnel, de coach particulier avec plusieurs heures de sport par jour (Madonna parle de 3 à 4h quotidienne) et évidemment, d'abonnement de fidélité chez le Chirurgien. Et de plus en plus, des cures d'hormones poussées.
Or, aucun des hommes sus-cités n'a besoin de tout ca. Il leur suffit de s'entretenir un minimum, comme monsieur tout le monde, à faire deux trois entrainement sportifs par semaine et de manger de manière équilibrée. Bref, ils sont dans la normalité. Ils auraient tous pu avoir des enfants passé 50ans avec une femme jeune qui est sincèrement séduite. Et certains l'ont fait, comme Alain Delon, 79ans, dont le dernier fils, Alain-Fabien, est tout juste majeur. L'autre différence majeur est que les cheveux gris et quelques rides, peuvent être très charismatiques sur un homme soigné. En ce qui concerne la réciproque... Sans commentaires.

Et l'argument sur la vénalité potentiel, franchement, comme si un homme devait attendre 45ans avant d'y être confronté.... Voyons, ca commence dès les premières années d'université, ou certaines misent sur le meilleur cheval.

Très honnêtement, je pense qu'à l'âge de 61ans il peut encore séduire de nombreuses jeunes femmes, dans la vingtaine-trentaine.

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