- Jeu Jan 09, 2014 1:32 am
#144094
Prêts pour un roman ?
On travaille ensemble depuis quelques mois, grande, belle et jeune (14 ans de moins que moi).
J'ai tout de suite été attiré physiquement par elle comme 98% des hommes à mon boulot. Nous partageons le même espace de travail, on passe nos journées à moins d'un mètre l'un de l'autre sur des projets communs compliqués. Nous nous sommes découverts des tonnes d'affinités et nous formons professionnellement un binôme redoutable car notre métier nous passionne.
Les semaines s'écoulant, notre complicité est devenue de plus en plus grande mais je n'ai jamais imaginé une seconde que cette femme puisse avoir le moindre sentiment amoureux vis à vis de moi.
Il faut dire qu'elle est convoitée et à juste titre par la plupart des hommes qui l'entourent.
Un de mes amis au travail est un jour venu me dire que j'avais vraiment de la chance d'avoir séduit cette fille à ce point, qu'elle n'avait d'yeux que pour moi et m'accordait toute son attention. Lors de nos premières soirées entre collègues, elle s'est systématiquement assise à côté de moi et nous avons parlé pendant des heures sans même sentir la présence des autres.
Un après midi, sans la moindre préméditation, j'ai croisé son regard une fois de trop, le couloir était vide.. J'ai approché mes lèvres des siennes. Elle a doucement tourné la tête en souriant et m'a laissé atterrir dans dans son cou que j'ai pris le temps d'embrasser passionnément avant de reculer en souriant. Elle souriait.
Nous sommes retourné travailler.
Un soir pendant les vacances d'hiver, nous échangeons quelques SMS d'une banalité crasse et elle m'avoue s'ennuyer à mourir.
Je lui ai donc proposé de l'emmener dîner puis boire des verres. Elle accepta dans la seconde.
Notre premier rendez-vous fut particulier
Dans la rue, nous sommes arrivés exactement au même moment, elle était toute nerveuse, parlant vite et disant un peu n'importe quoi. Une fois assis, elle me dit avec un grand sourire :
- Je suis dans la merde.
Elle m'avoua ne penser qu'à moi, sentir mon parfum quand je n'étais pas là, avoir énormément de mal à se retenir de me sauter dessus au travail et ce depuis les premiers jours. Même si j'ai gardé un flegme britannique, c'était Hiroshima à l'intérieur. Pour elle, il était évident que je m'en était rendu compte vu le nombre de fois où elle avait été incapable de le cacher...
Je n'avais vraiment jamais rien vu de plus qu'une grande complicité dans nos rapports, elle allait même flirter avec d'autres mecs devant moi (ce que je commence à comprendre)
Elle était dans la merde car elle avait décidé ce soir là de résister à son envie, de ne pas laisser l'histoire commencer, de ne pas me laisser l'embrasser. Elle me disait qu'elle avait peur de tout perdre, notre relation magique, notre fusion, que nous deux ça ne marcherait jamais sur du long terme, qu'elle avait un caractère de chien et qu'elle ferait de moi le centre de son monde, que je ne le supporterais pas.
Ce a quoi je répondais qu'elle n'avait peut être pas tort mais qu'on ne le saurait jamais si on en restait là et qu'en ce qui me concerne je savais avoir la force de faire le test et de ne rien montrer de ce qui nous arrivais au travail. Que j'avais une violente attirance pour elle et que jamais je ne pourrais devenir son ami.
S'en est suivie une soirée merveilleuse où nous avons bien bu, entre 19h et 4h du matin en fait, on est tous les deux de grands fêtards et on a fait la fermeture des établissements, bars dansants etc.
J'ai passé ma nuit avec mes mains dans les siennes, dans ses cheveux, sur ses hanches, à échanger des regards brillants, à rire fort et à tenter de l'embrasser bien une vingtaine de fois car elle semblait apprécier que j'essaye encore et encore tout en détournant la tête, ça devenait un jeu mais elle luttait réellement contre son envie.
Nous nous sommes quittés en nous faisant la bise, elle m'a remercié pour cette super soirée par SMS dès qu'elle est arrivée chez elle, s'excusant de ne pas m'en donner plus.
Les vacances se sont écoulées, quelques rares SMS tièdes et amicaux entre temps.
Je ne la vois jamais communiquer par SMS, internet ou même téléphone dans la journée, sauf obligations pro.
Les semaines depuis la rentrée ont passé et nos rapports sont restés les mêmes au travail, elle évitait mon regard un peu plus qu'avant quand nous étions seuls. Je n'ai pas fais d'allusion à cette soirée et elle non plus, je lui disait juste parfois quand elle disait "non" que c'était tout ce qu'elle savait dire, ce qui la faisait rougir un peu.
J'ai décidé, non pas de l'embrasser sauvagement entre deux projets mais de lui proposer une autre soirée.
J'étais persuadé qu'elle allait botter en touche, trouver une excuse ou une amie à ramener pour ne plus avoir à supporter mes tentatives.
Elle a dit oui tout de suite, enthousiaste.
Je lui envoie le soir même le programme de la soirée par SMS, elle me répond qu'elle n'acceptait l'invitation que si c'était elle cette fois-ci qui payait les notes.
Je lui ai répondu qu'en la laissant payer j'avais peur qu'elle tente de profiter de la situation.
Et me voilà en route vers une deuxième soirée, cette fois-ci je ne sais pas où nous allons, ce que je vais tenter ou pas. J'ai surtout envie de passer un autre moment merveilleux avec elle mais je ne sais pas ce qu'elle attend de moi.
Dois-je lui demander où l'on va ? Dois-je rester le mec drôle et enjoué en attendant qu'elle avance ? Dois-je reprendre les choses là où je les avais laissées lors de notre première soirée ? Dois-je tenter des contacts plus sensuels ?
On travaille ensemble depuis quelques mois, grande, belle et jeune (14 ans de moins que moi).
J'ai tout de suite été attiré physiquement par elle comme 98% des hommes à mon boulot. Nous partageons le même espace de travail, on passe nos journées à moins d'un mètre l'un de l'autre sur des projets communs compliqués. Nous nous sommes découverts des tonnes d'affinités et nous formons professionnellement un binôme redoutable car notre métier nous passionne.
Les semaines s'écoulant, notre complicité est devenue de plus en plus grande mais je n'ai jamais imaginé une seconde que cette femme puisse avoir le moindre sentiment amoureux vis à vis de moi.
Il faut dire qu'elle est convoitée et à juste titre par la plupart des hommes qui l'entourent.
Un de mes amis au travail est un jour venu me dire que j'avais vraiment de la chance d'avoir séduit cette fille à ce point, qu'elle n'avait d'yeux que pour moi et m'accordait toute son attention. Lors de nos premières soirées entre collègues, elle s'est systématiquement assise à côté de moi et nous avons parlé pendant des heures sans même sentir la présence des autres.
Un après midi, sans la moindre préméditation, j'ai croisé son regard une fois de trop, le couloir était vide.. J'ai approché mes lèvres des siennes. Elle a doucement tourné la tête en souriant et m'a laissé atterrir dans dans son cou que j'ai pris le temps d'embrasser passionnément avant de reculer en souriant. Elle souriait.
Nous sommes retourné travailler.
Un soir pendant les vacances d'hiver, nous échangeons quelques SMS d'une banalité crasse et elle m'avoue s'ennuyer à mourir.
Je lui ai donc proposé de l'emmener dîner puis boire des verres. Elle accepta dans la seconde.
Notre premier rendez-vous fut particulier
Dans la rue, nous sommes arrivés exactement au même moment, elle était toute nerveuse, parlant vite et disant un peu n'importe quoi. Une fois assis, elle me dit avec un grand sourire :
- Je suis dans la merde.
Elle m'avoua ne penser qu'à moi, sentir mon parfum quand je n'étais pas là, avoir énormément de mal à se retenir de me sauter dessus au travail et ce depuis les premiers jours. Même si j'ai gardé un flegme britannique, c'était Hiroshima à l'intérieur. Pour elle, il était évident que je m'en était rendu compte vu le nombre de fois où elle avait été incapable de le cacher...
Je n'avais vraiment jamais rien vu de plus qu'une grande complicité dans nos rapports, elle allait même flirter avec d'autres mecs devant moi (ce que je commence à comprendre)
Elle était dans la merde car elle avait décidé ce soir là de résister à son envie, de ne pas laisser l'histoire commencer, de ne pas me laisser l'embrasser. Elle me disait qu'elle avait peur de tout perdre, notre relation magique, notre fusion, que nous deux ça ne marcherait jamais sur du long terme, qu'elle avait un caractère de chien et qu'elle ferait de moi le centre de son monde, que je ne le supporterais pas.
Ce a quoi je répondais qu'elle n'avait peut être pas tort mais qu'on ne le saurait jamais si on en restait là et qu'en ce qui me concerne je savais avoir la force de faire le test et de ne rien montrer de ce qui nous arrivais au travail. Que j'avais une violente attirance pour elle et que jamais je ne pourrais devenir son ami.
S'en est suivie une soirée merveilleuse où nous avons bien bu, entre 19h et 4h du matin en fait, on est tous les deux de grands fêtards et on a fait la fermeture des établissements, bars dansants etc.
J'ai passé ma nuit avec mes mains dans les siennes, dans ses cheveux, sur ses hanches, à échanger des regards brillants, à rire fort et à tenter de l'embrasser bien une vingtaine de fois car elle semblait apprécier que j'essaye encore et encore tout en détournant la tête, ça devenait un jeu mais elle luttait réellement contre son envie.
Nous nous sommes quittés en nous faisant la bise, elle m'a remercié pour cette super soirée par SMS dès qu'elle est arrivée chez elle, s'excusant de ne pas m'en donner plus.
Les vacances se sont écoulées, quelques rares SMS tièdes et amicaux entre temps.
Je ne la vois jamais communiquer par SMS, internet ou même téléphone dans la journée, sauf obligations pro.
Les semaines depuis la rentrée ont passé et nos rapports sont restés les mêmes au travail, elle évitait mon regard un peu plus qu'avant quand nous étions seuls. Je n'ai pas fais d'allusion à cette soirée et elle non plus, je lui disait juste parfois quand elle disait "non" que c'était tout ce qu'elle savait dire, ce qui la faisait rougir un peu.
J'ai décidé, non pas de l'embrasser sauvagement entre deux projets mais de lui proposer une autre soirée.
J'étais persuadé qu'elle allait botter en touche, trouver une excuse ou une amie à ramener pour ne plus avoir à supporter mes tentatives.
Elle a dit oui tout de suite, enthousiaste.
Je lui envoie le soir même le programme de la soirée par SMS, elle me répond qu'elle n'acceptait l'invitation que si c'était elle cette fois-ci qui payait les notes.
Je lui ai répondu qu'en la laissant payer j'avais peur qu'elle tente de profiter de la situation.
Et me voilà en route vers une deuxième soirée, cette fois-ci je ne sais pas où nous allons, ce que je vais tenter ou pas. J'ai surtout envie de passer un autre moment merveilleux avec elle mais je ne sais pas ce qu'elle attend de moi.
Dois-je lui demander où l'on va ? Dois-je rester le mec drôle et enjoué en attendant qu'elle avance ? Dois-je reprendre les choses là où je les avais laissées lors de notre première soirée ? Dois-je tenter des contacts plus sensuels ?