- Lun Jan 28, 2013 10:58 pm
#131070
Je n’ai pas l’habitude de relater mes rencontres mais celle-là a une saveur particulière.
Cette fille est dans la même faculté que moi, autant dire qu’elle pourrait passer inaperçu parmi les 280 personnes que je côtoie tous les jours en cours. Je l’avais pourtant déjà remarqué au début du semestre avec ses reflets roux qui rayonnaient à travers l’amphithéâtre et son style indescriptible toujours agrémenté d’un accessoire particulier, une belle bague ou un collier fantaisie. Elle a des formes à faire pâlir scarlett Johansson et un regard de braise.
[url=http://www.flickr.com/photos/annepuhlmann/8391776345/][img]http://farm9.staticflickr.com/8325/8391776345_15828bd9fd.jpg[/img][/url]
Je ne sais plus comment s’est arrivé, sans doute par des amis communs, on s’est retrouvé dans le même groupe pendant les longues journées de révisions qui précèdent les examens.
Pendant les pauses on parlait voyage, cinéma, de ses tableaux qu'elle peint à ses heures perdues… J’avais déjà remarqué pas mal de signes d’intérêts (que mes amis de manquaient pas de me faire remarquer avec la discrétion qui est la leur) et elle profitait de toutes les occasions pour me toucher.
Un soir ou nous sommes resté tard en biblio et après avoir tâter le terrain je lui propose de manger quelque chose sur le pouce pour se changer les idées. Elle accepte avec plaisir et on fait plus ample connaissance. Le moment n’était à mon avis pas propice pour l’embrasser, nous sommes donc rentré chacun de notre côté.
Quelques jours plus tard, sur le chemin du retour, lui prenant les mains pour les réchauffer et alors que ça doit faire une minute qu'on se parle à 10 cm l'un de l'autre, je l'embrasse.
Bien que j’ai eu, d’après moi tous les signes d’intérêt, elle semble brusquée et même si elle me rend mon baiser, elle me dit :
« C’est mieux qu’on y aille ! »
S’en suit une discussion comme si rien ne s’était passé et elle me demande si on se voit toujours quelques jours plus tard pour faire du sport. Je lui réponds que oui.
Je comprendrais le pourquoi du comment plus tard.
Fin de semaine passée, comme prévu on se rejoint pour une séance de sport puis on s’enfuit chez moi. On commande des pizzas et on s’allonge sur mon lit pour regarder un film qu'elle voulait à tout prix me faire voir.
Le dvd à peine terminé elle me dit qu'elle doit partir dans pas longtemps si elle veut prendre son dernier train. Je regarde l'heure et lui répond:
M : «Ca nous laisse encore une demi-heure alors.»
Je la rapproche de moi et l’embrasse. Un peu plus tard et quelques habits en moins c’est l’heure ou elle doit normalement partir. Je lui dit de rester cette nuit, ce qu'elle accepte avec plaisir. C’est peu après, presque nue sous mes draps qu'elle me rappelle à sa façon qu'elle a un copain, (chose qu'elle avait laissé sous-entendre dans une discussion, en laissant tout de même planer un gros doute).
E : « Mais tu ne me prends pas pour une salope ? »
M : « C’est à toi de savoir ce que tu fais. Pour ma part je sais ce que je fais. »
Je ne sais pas si c’est ce qu'elle attendait mais son baiser qui suivit me donna l’impression que je lui avais donné la bonne réponse.
Plus tard, alors qu'on discutait nus l’un contre l’autre elle m’avoua que lorsque je lui avais volé un baiser quelques jours plus tôt, elle était persuadée que c’était un pari avec mes amis. Elle avait entendu que j'étais un "salaud".
Je suis resté calme et lui ai assuré que j’avais mieux à faire, mais dans ma tête je suis tombé des nues.
(Plus tard en y repensant, ce moment m’a rappelé un passage de l’homme idéal dans lequel une jeune femme fait part à Stéphane de ses craintes de n’être qu'une conquête parmi les autres.)
Et à l’instar de l’histoire vécue par Stéphane, tout m’intéressait en elle plus que ses fesses : ses compliments sur la déco de ma chambre, son émerveillement devant mes photos et mes récits de voyage, le fait qu'elle remarque certains petits détails dans ma chambre qui ne sont pas placés là par hasard, espérant toujours que quelqu'un y fasse allusion, sa passion pour les vieux films et la peinture... Je suis resté con à l’idée qu'elle ait pu avoir cet opinion de moi.
C’est après une courte nuit passée ensemble et un bon petit déjeuner qu'elle est rentrée le lendemain matin.
Depuis on s'est revu dimanche pour le dernier jour de révisions et aujourd'hui jour de notre dernier examen. Elle a insisté pour que je reste boire un verre mais je suis rentré pour quelques jours chez ma famille.
A suivre...
Cette fille est dans la même faculté que moi, autant dire qu’elle pourrait passer inaperçu parmi les 280 personnes que je côtoie tous les jours en cours. Je l’avais pourtant déjà remarqué au début du semestre avec ses reflets roux qui rayonnaient à travers l’amphithéâtre et son style indescriptible toujours agrémenté d’un accessoire particulier, une belle bague ou un collier fantaisie. Elle a des formes à faire pâlir scarlett Johansson et un regard de braise.
[url=http://www.flickr.com/photos/annepuhlmann/8391776345/][img]http://farm9.staticflickr.com/8325/8391776345_15828bd9fd.jpg[/img][/url]
Je ne sais plus comment s’est arrivé, sans doute par des amis communs, on s’est retrouvé dans le même groupe pendant les longues journées de révisions qui précèdent les examens.
Pendant les pauses on parlait voyage, cinéma, de ses tableaux qu'elle peint à ses heures perdues… J’avais déjà remarqué pas mal de signes d’intérêts (que mes amis de manquaient pas de me faire remarquer avec la discrétion qui est la leur) et elle profitait de toutes les occasions pour me toucher.
Un soir ou nous sommes resté tard en biblio et après avoir tâter le terrain je lui propose de manger quelque chose sur le pouce pour se changer les idées. Elle accepte avec plaisir et on fait plus ample connaissance. Le moment n’était à mon avis pas propice pour l’embrasser, nous sommes donc rentré chacun de notre côté.
Quelques jours plus tard, sur le chemin du retour, lui prenant les mains pour les réchauffer et alors que ça doit faire une minute qu'on se parle à 10 cm l'un de l'autre, je l'embrasse.
Bien que j’ai eu, d’après moi tous les signes d’intérêt, elle semble brusquée et même si elle me rend mon baiser, elle me dit :
« C’est mieux qu’on y aille ! »
S’en suit une discussion comme si rien ne s’était passé et elle me demande si on se voit toujours quelques jours plus tard pour faire du sport. Je lui réponds que oui.
Je comprendrais le pourquoi du comment plus tard.
Fin de semaine passée, comme prévu on se rejoint pour une séance de sport puis on s’enfuit chez moi. On commande des pizzas et on s’allonge sur mon lit pour regarder un film qu'elle voulait à tout prix me faire voir.
Le dvd à peine terminé elle me dit qu'elle doit partir dans pas longtemps si elle veut prendre son dernier train. Je regarde l'heure et lui répond:
M : «Ca nous laisse encore une demi-heure alors.»
Je la rapproche de moi et l’embrasse. Un peu plus tard et quelques habits en moins c’est l’heure ou elle doit normalement partir. Je lui dit de rester cette nuit, ce qu'elle accepte avec plaisir. C’est peu après, presque nue sous mes draps qu'elle me rappelle à sa façon qu'elle a un copain, (chose qu'elle avait laissé sous-entendre dans une discussion, en laissant tout de même planer un gros doute).
E : « Mais tu ne me prends pas pour une salope ? »
M : « C’est à toi de savoir ce que tu fais. Pour ma part je sais ce que je fais. »
Je ne sais pas si c’est ce qu'elle attendait mais son baiser qui suivit me donna l’impression que je lui avais donné la bonne réponse.
Plus tard, alors qu'on discutait nus l’un contre l’autre elle m’avoua que lorsque je lui avais volé un baiser quelques jours plus tôt, elle était persuadée que c’était un pari avec mes amis. Elle avait entendu que j'étais un "salaud".
Je suis resté calme et lui ai assuré que j’avais mieux à faire, mais dans ma tête je suis tombé des nues.
(Plus tard en y repensant, ce moment m’a rappelé un passage de l’homme idéal dans lequel une jeune femme fait part à Stéphane de ses craintes de n’être qu'une conquête parmi les autres.)
Et à l’instar de l’histoire vécue par Stéphane, tout m’intéressait en elle plus que ses fesses : ses compliments sur la déco de ma chambre, son émerveillement devant mes photos et mes récits de voyage, le fait qu'elle remarque certains petits détails dans ma chambre qui ne sont pas placés là par hasard, espérant toujours que quelqu'un y fasse allusion, sa passion pour les vieux films et la peinture... Je suis resté con à l’idée qu'elle ait pu avoir cet opinion de moi.
C’est après une courte nuit passée ensemble et un bon petit déjeuner qu'elle est rentrée le lendemain matin.
Depuis on s'est revu dimanche pour le dernier jour de révisions et aujourd'hui jour de notre dernier examen. Elle a insisté pour que je reste boire un verre mais je suis rentré pour quelques jours chez ma famille.
A suivre...