- Mar Nov 04, 2008 6:10 pm
#62130
Salut à tous.
Je viens vous raconter une histoire toute fraîche. Cela s'est passé y'a moins de 3/4 d'heure. Un fiasco. Un vent. Vous appellerez ça comme vous voulez. Le souci, c'est que j'aimerais comprendre.
Il s'agit d'une fille que j'avais rencontrée au mois de Juin, lors de l'anniversaire d'un ami commun. On s'était bien entendus, mais rien ne s'est passé entre nous.
En allant chez le pote en question, y'a 3 jours, et en parcourant ses contacts msn, je la vois. Je me rappelle alors combien elle était mignonne et je me suis dit qu'il fallait absolument que je fasse quelque chose.
J'ai pas son numéro ; hors de question que je l'ajoute sur msn, comme ça... il faut que je trouve un moyen. Je vois aussi qu'elle a un skyblog, bien tenu, bien écrit, ce qui a le don de me plaire. J'avais créé ce genre de profil - profil avec lequel j'avais pas mal choppé à l'époque - et je me décide à le réutiliser pour l'aborder, faute de mieux. J'ai de la chance, le profil que j'avais créé était assez délirant, je me fais passer pour un éleveur-de-pingouin vivant au Groënland.
Je lui envoie un mail, elle se souvient très bien de moi. On s'échange 5-6 messages assez longs, tous très playful ; elle rentre d'ailleurs dans mon jeu, s'amuse etc... Elle "se régale" en me lisant. Je lui demande alors si elle a pas un msn ou un numéro de sécurité sociale, ce sera plus simple.
On passe sur msn. Il y aura 3 conversations. C'est elle qui, à chaque fois, les engagera et les terminera. Ton léger, projections (assez bonnes d'ailleurs, je me suis étonné), sexualisation et même de la connexion... tout y est. Je fais en sorte de me déconnecter lorsque la conversation est à son apogée. A chaque fois. Elle était extrêmement réactive, et c'est lors de la dernière (hier soir) qu'elle me dit qu'aujourd'hui, elle serait à l'Alcazar (Bibliothèque municipale de Marseille) pour travailler. DIngue ! Je passe tous mes mardis la-bas. On continue de bavarder, c'est plaisant, et j'en viens à lui demander son numéro de téléphone.
Avant de dormir, je lui envoie un texto encore délirant, auquel elle répondra :
[quote]Ca y est je suis enfin dans le meilleur endroit du monde : mon lit (référence à une délire entre moi et elle. Le meilleur endroit étant la plage, de nuit, à écouter le son des vagues - elle m'avait d'ailleurs demandé de passer la prendre hier soir pour qu'on y aille, tous les deux, avec du chocolat. J'ai décliné puisqu'il pleuvait). Et tu sais pas quoi ?! LA bonne nouvelle, je viens de regarder et j'ai pas cours de conduite demain, je peux dormir ENFIN . Peut etre que je changerai ma surprise pour demain, c'est pas drole maintenant que tu l'as devinée et puis de toute façon, toi, tu m'as donné aucun indice que je sache... J'espère que tu viendras et qu'on se verra (je lui ai dit que, tout bien reflechi, j'irai pas sinon je ne travaillerais pas.).. et plus de 2 minutes ! Je suis sur qu'on pourrait y arriver (petite intuition...). Sur ce, je te souhaite une bonne nuit, fais de beaux rêves, et je te fais plein de bisous. A demain, j'espère.
On se retrouve donc à la bibliothèque. Le lieu n'est pas forcément propice à la séduction : il y a du monde, on peut pas beaucoup parler. Mais, paradoxalement, ca se passe bien. Beaucoup de contacts physiques, je la fait beaucoup rire, et on joue comme des gamins à tenir le regard (j'ai gagné à chaque fois, ses yeux pétillaient comme pas possible). Il pleuvait, et elle m'a dit qu'elle devait partir voir sa mère hospitalisée. Je devais partir aussi. Je la raccompagne dans le hall, hall dans lequel on va encore s'amuser à se fixer droit dans les yeux. Et c'est là que j'essaie d'initier le baiser (y'avait tout, le confort, le contact physique, la connexion, les signes d'intérêt. Bref, tout). J'approche mon corps, dans un premier temps. Elle me repousse en souriant - ce qui me fait détourner le regard. Je lui dit qu'elle a triché, la tire vers moi, et essaie de l'embrasser. Elle tourne la joue, que j'ai juste le temps d'effleurer.
A ce moment là, elle décide de partir, d'un coup, sous la pluie battante (me plantant là, comme un con. Car, oui, je devais attendre que la pluie cesse. J'étais en scooter). Je me suis senti débile.
J'arrive pas à voir ce qu'il manquait. C'est la raison pour laquelle je requiers votre aide.
Je viens vous raconter une histoire toute fraîche. Cela s'est passé y'a moins de 3/4 d'heure. Un fiasco. Un vent. Vous appellerez ça comme vous voulez. Le souci, c'est que j'aimerais comprendre.
Il s'agit d'une fille que j'avais rencontrée au mois de Juin, lors de l'anniversaire d'un ami commun. On s'était bien entendus, mais rien ne s'est passé entre nous.
En allant chez le pote en question, y'a 3 jours, et en parcourant ses contacts msn, je la vois. Je me rappelle alors combien elle était mignonne et je me suis dit qu'il fallait absolument que je fasse quelque chose.
J'ai pas son numéro ; hors de question que je l'ajoute sur msn, comme ça... il faut que je trouve un moyen. Je vois aussi qu'elle a un skyblog, bien tenu, bien écrit, ce qui a le don de me plaire. J'avais créé ce genre de profil - profil avec lequel j'avais pas mal choppé à l'époque - et je me décide à le réutiliser pour l'aborder, faute de mieux. J'ai de la chance, le profil que j'avais créé était assez délirant, je me fais passer pour un éleveur-de-pingouin vivant au Groënland.
Je lui envoie un mail, elle se souvient très bien de moi. On s'échange 5-6 messages assez longs, tous très playful ; elle rentre d'ailleurs dans mon jeu, s'amuse etc... Elle "se régale" en me lisant. Je lui demande alors si elle a pas un msn ou un numéro de sécurité sociale, ce sera plus simple.
On passe sur msn. Il y aura 3 conversations. C'est elle qui, à chaque fois, les engagera et les terminera. Ton léger, projections (assez bonnes d'ailleurs, je me suis étonné), sexualisation et même de la connexion... tout y est. Je fais en sorte de me déconnecter lorsque la conversation est à son apogée. A chaque fois. Elle était extrêmement réactive, et c'est lors de la dernière (hier soir) qu'elle me dit qu'aujourd'hui, elle serait à l'Alcazar (Bibliothèque municipale de Marseille) pour travailler. DIngue ! Je passe tous mes mardis la-bas. On continue de bavarder, c'est plaisant, et j'en viens à lui demander son numéro de téléphone.
Avant de dormir, je lui envoie un texto encore délirant, auquel elle répondra :
[quote]Ca y est je suis enfin dans le meilleur endroit du monde : mon lit (référence à une délire entre moi et elle. Le meilleur endroit étant la plage, de nuit, à écouter le son des vagues - elle m'avait d'ailleurs demandé de passer la prendre hier soir pour qu'on y aille, tous les deux, avec du chocolat. J'ai décliné puisqu'il pleuvait). Et tu sais pas quoi ?! LA bonne nouvelle, je viens de regarder et j'ai pas cours de conduite demain, je peux dormir ENFIN . Peut etre que je changerai ma surprise pour demain, c'est pas drole maintenant que tu l'as devinée et puis de toute façon, toi, tu m'as donné aucun indice que je sache... J'espère que tu viendras et qu'on se verra (je lui ai dit que, tout bien reflechi, j'irai pas sinon je ne travaillerais pas.).. et plus de 2 minutes ! Je suis sur qu'on pourrait y arriver (petite intuition...). Sur ce, je te souhaite une bonne nuit, fais de beaux rêves, et je te fais plein de bisous. A demain, j'espère.
On se retrouve donc à la bibliothèque. Le lieu n'est pas forcément propice à la séduction : il y a du monde, on peut pas beaucoup parler. Mais, paradoxalement, ca se passe bien. Beaucoup de contacts physiques, je la fait beaucoup rire, et on joue comme des gamins à tenir le regard (j'ai gagné à chaque fois, ses yeux pétillaient comme pas possible). Il pleuvait, et elle m'a dit qu'elle devait partir voir sa mère hospitalisée. Je devais partir aussi. Je la raccompagne dans le hall, hall dans lequel on va encore s'amuser à se fixer droit dans les yeux. Et c'est là que j'essaie d'initier le baiser (y'avait tout, le confort, le contact physique, la connexion, les signes d'intérêt. Bref, tout). J'approche mon corps, dans un premier temps. Elle me repousse en souriant - ce qui me fait détourner le regard. Je lui dit qu'elle a triché, la tire vers moi, et essaie de l'embrasser. Elle tourne la joue, que j'ai juste le temps d'effleurer.
A ce moment là, elle décide de partir, d'un coup, sous la pluie battante (me plantant là, comme un con. Car, oui, je devais attendre que la pluie cesse. J'étais en scooter). Je me suis senti débile.
J'arrive pas à voir ce qu'il manquait. C'est la raison pour laquelle je requiers votre aide.