- Sam Fév 24, 2018 5:11 pm
#184192
Tout d'abord je remercie Stéphane Édouard de m'avoir appris tant de choses sur les femmes. Je vais essayer de ne pas faire un pavé.
Moi : gentil garçon, se rêvant chevalier, intelligent, très légèrement autiste, pas d'expérience de la séduction car les quelques filles que j'ai connu m'avaient sauté dessus.
Elle : très gentille, jolie, pudique mais en même temps séductrice, avec beaucoup d'hommes, beaucoup de potes masculins dont certains lui ont fait des déclarations d'amour, ma colocataire, appelons la S.
étape 1 : on se tourne autour pendant 1 mois, avec des hauts et des bas car après qu'elle a décliné 2 fois une proposition de sortie, ça m'a exaspéré et je suis allé voir une autre fille pendant 5 jours pour me venger, fille qui était intéressée mais avec laquelle je n'ai rien fait car S me plaisait déjà beaucoup et comme je suis romantique je suis fidèle dès les premiers instants.
Ensuite les choses s'accélère, en quelques jours :
étape 2 : je lui reproche d'être séductrice, moi je trouve ça charmant, mais ce que je lui reproche au fond c'est de ne pas s'intéresser à moi plus spécialement qu'aux autres, elle avoue à demi-mot être séductrice, mais soit disant tout le monde ferait ça.
étape 3 : un jour j'entre dans sa chambre et je lui demande si elle me fait confiance, elle me répond non avec un sourire, je suis d'abord triste puis je pète un câble et je lui envoie la phrase de Baudelaire par sms "La jeune fille, ce qu'elle est en réalité. Une petite sotte et une petite salope.", je lui avais dit avant que les misogynes étaient souvent des amoureux déçus, j'espère qu'elle aura fait le lien, elle ne semble pas m'en vouloir outre mesure, peut être un peu quand même.
étape 4 : on regarde un film, je lui propose de faire un câlin, elle accepte sans enthousiasme et elle garde ses jambes loin de moi, très loin, quand je lui demande de les rapprocher elle "va se coucher" alors que le film n'était pas terminé. Je lui reproche d'avoir joué avec moi, de m'avoir donné de faux espoirs, elle part dans une hypocrisie pas possible, elle me propose d'être amis et me dit qu'elle est catholique, qu'elle cherche l'homme de sa vie, qu'on ne se connait pas depuis assez longtemps, qu'il faut être amis d'abord.
étape 5 : Vexé je me tire de la coloc pour rentrer chez mes parents quelques temps, je lui reproche d'être allumeuse, ce qui n'était pas bien méchant dans ma bouche mais elle l'a très mal pris manifestement. Je refuse son amitié catégoriquement. Elle veut qu'on discute de vive voix.
Cette fille me plait vraiment beaucoup beaucoup. J'arrive à me projeter avec elle, si elle veut que je sois l'homme de sa vie, j'accepterai. Pour moi elle est sacrée, le fait qu'elle soit joueuse n'enlève rien à sa pureté, je compte le lui dire. En même temps je ne l'idéalise pas, je trouve qu'elle accorde trop d'importance à sa carrière pro (pas terrible pour une future mère), qu'elle n'est pas assez romantique et qu'elle manque de cet état d'esprit aristocratique fait d'un sentiment de supériorité morale et d'un mépris des valeurs bourgeoises. Mais elle me plait assez pour que je renonce à toute autre femme, fut elle parfaite, pour elle, pour le restant de mes jours.
Je ne sais pas trop si elle a décidé a priori de ne pas se livrer facilement, pour être sûr d'avoir quelqu'un de sérieux ou bien si je suis dans la friendzone ? Je lui proposé de lui faire des câlins, pour avoir une exclusivité par rapport aux autres, et d'attendre pour le reste, pour lui montrer mon sérieux, mais elle n'a pas accepté, pourtant elle avait accepté de me faire un câlin la première fois.. Je lui ai donc dit que nous allions nous ignorer cordialement, mais elle semble heurtée et me demande pourquoi je réagis comme ça. On m'explique ?
Moi : gentil garçon, se rêvant chevalier, intelligent, très légèrement autiste, pas d'expérience de la séduction car les quelques filles que j'ai connu m'avaient sauté dessus.
Elle : très gentille, jolie, pudique mais en même temps séductrice, avec beaucoup d'hommes, beaucoup de potes masculins dont certains lui ont fait des déclarations d'amour, ma colocataire, appelons la S.
étape 1 : on se tourne autour pendant 1 mois, avec des hauts et des bas car après qu'elle a décliné 2 fois une proposition de sortie, ça m'a exaspéré et je suis allé voir une autre fille pendant 5 jours pour me venger, fille qui était intéressée mais avec laquelle je n'ai rien fait car S me plaisait déjà beaucoup et comme je suis romantique je suis fidèle dès les premiers instants.
Ensuite les choses s'accélère, en quelques jours :
étape 2 : je lui reproche d'être séductrice, moi je trouve ça charmant, mais ce que je lui reproche au fond c'est de ne pas s'intéresser à moi plus spécialement qu'aux autres, elle avoue à demi-mot être séductrice, mais soit disant tout le monde ferait ça.
étape 3 : un jour j'entre dans sa chambre et je lui demande si elle me fait confiance, elle me répond non avec un sourire, je suis d'abord triste puis je pète un câble et je lui envoie la phrase de Baudelaire par sms "La jeune fille, ce qu'elle est en réalité. Une petite sotte et une petite salope.", je lui avais dit avant que les misogynes étaient souvent des amoureux déçus, j'espère qu'elle aura fait le lien, elle ne semble pas m'en vouloir outre mesure, peut être un peu quand même.
étape 4 : on regarde un film, je lui propose de faire un câlin, elle accepte sans enthousiasme et elle garde ses jambes loin de moi, très loin, quand je lui demande de les rapprocher elle "va se coucher" alors que le film n'était pas terminé. Je lui reproche d'avoir joué avec moi, de m'avoir donné de faux espoirs, elle part dans une hypocrisie pas possible, elle me propose d'être amis et me dit qu'elle est catholique, qu'elle cherche l'homme de sa vie, qu'on ne se connait pas depuis assez longtemps, qu'il faut être amis d'abord.
étape 5 : Vexé je me tire de la coloc pour rentrer chez mes parents quelques temps, je lui reproche d'être allumeuse, ce qui n'était pas bien méchant dans ma bouche mais elle l'a très mal pris manifestement. Je refuse son amitié catégoriquement. Elle veut qu'on discute de vive voix.
Cette fille me plait vraiment beaucoup beaucoup. J'arrive à me projeter avec elle, si elle veut que je sois l'homme de sa vie, j'accepterai. Pour moi elle est sacrée, le fait qu'elle soit joueuse n'enlève rien à sa pureté, je compte le lui dire. En même temps je ne l'idéalise pas, je trouve qu'elle accorde trop d'importance à sa carrière pro (pas terrible pour une future mère), qu'elle n'est pas assez romantique et qu'elle manque de cet état d'esprit aristocratique fait d'un sentiment de supériorité morale et d'un mépris des valeurs bourgeoises. Mais elle me plait assez pour que je renonce à toute autre femme, fut elle parfaite, pour elle, pour le restant de mes jours.
Je ne sais pas trop si elle a décidé a priori de ne pas se livrer facilement, pour être sûr d'avoir quelqu'un de sérieux ou bien si je suis dans la friendzone ? Je lui proposé de lui faire des câlins, pour avoir une exclusivité par rapport aux autres, et d'attendre pour le reste, pour lui montrer mon sérieux, mais elle n'a pas accepté, pourtant elle avait accepté de me faire un câlin la première fois.. Je lui ai donc dit que nous allions nous ignorer cordialement, mais elle semble heurtée et me demande pourquoi je réagis comme ça. On m'explique ?