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Modérateurs: animal, Léo

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By lolalola
#134720 [préambule]
Hello,
Ceux d'entre vous qui me lisent depuis longtemps savent déjà que sous mes airs de connard arrogant et narcissique se cache un type sympa.
Je vais vous demander un tout petit effort avant de lire ce qui suit, tout simplement d'accepter le postulat que je sois beau, élégant, avec du goût et surtout jouissant d'un grand et bel appart. Ce dernier point est important. (Si la seule fois où vous m'avez vu, c'était au séminaire productivité, ça ne compte pas, j'étais sapé comme un sac pour ma première rencontre avec la "communauté", allez savoir pourquoi...)

Ce dernier point est important parce que l'appart en question n'est pas à Paris, et je passe néanmoins beaucoup de temps dans la capitale, la plupart du temps dans un appartement que l'on me prête. Celui qui me le prête se trouve être mon jeune frère qui a beaucoup de qualité mais qui vit encore avec des figurines starwars apparentes. Un appart d'étudiant, en gros.
[/préambule]

Vendredi dernier, j'ai fait la connaissance d'une jeune femme que sa nationalité me permettra de surnommer Artémis pour l'occasion. Ce nom d'emprunt évoque comme vous vous en doutez les courbes magiques de cette divine hellène, laquelle possède des traits et des qualités que la-dite déesse ne renierait pas. Trêve de lyrisme, il se trouve que cette étourdissante créature a des moyens et des goûts assez peu commun, littéralement. Pour l'avoir accompagnée faire du shopping chez Chanel, Céline et Rykiel, j'aurais pu anticiper la réaction de celle-ci lorsqu'elle découvrit l'appartement de mon frère.

J'ai oublié de vous préciser que le goût de ses lèvres ne m'a été inconnu très longtemps, et nous avions passé deux jours à nous bécoter gentiment avant d'en venir à une rencontre plus intime, en raison du lit double unique de l'amie chez qui elle était hébergée. Après quelques prouesses dont j'ai le secret, celle qui m'opposait qu'on "ne se connaissait à peine" finit par monter dans un taxi pour rejoindre avec moi les quartiers les plus mal famés de Paris.

Il faut dire qu'elle ne cadrait pas vraiment avec le décor, dans sa robe bleue en bouclette, courte à se damner, et ses botines à talons renversantes. Déjà impressionnée par les dealers du quartier, les cinq étages sans ascenseur achevèrent de l'essouffler.
Mais je crois que son souffle aurait été coupé de toute manière en rentrant dans l'appartement. Je le découvrais pour la première fois. Il n'avait été pour moi qu'un dortoir, et je prenais conscience de ce qu'elle était en train de découvrir. Rien que les ampoules a basse consommation auraient du la faire fuir. La lumière blafarde éclairait un sympathique fouillis. Des draps améliorés en guise de rideau. J'en rajoute à peine.

Je compris instantanément son trouble, mais la rassurer et la remettre "in the mood" m'a pris plus de trois quarts d'heure.
Elle avait naturellement conscience que ça n'était pas mon appart et que le bel apollon qui l'avait séduite n'était pas l'auteur de ce foutoir, le mal était fait.

En comparaison, mon appartement à moi me facilite généralement le travail. Sur plus de 100 mètres carré, dont presque la moitié est consacrée au salon joliment arrangé, c'est peu de dire que les victimes qui s'y laissent inviter abandonnent instantanément leurs dernières résistances. J'aimerais pouvoir dire que c'est grâce à mon charme ravageur, mais j'étais bel et bien équipé de mon charme ravageur dans l'appartement de mon frère lundi dernier, ce qui a tout juste rattrapé le coup.

Bref. Tout ça pour vous dire que quand on vous dit qu'un appart qui tue, c'est important, c'est pas pour rien. Que moi, j'en arrive à batailler juste à cause de la gueule de l'appart dans lequel je ramène une nana qui cinq minutes avant ne demandait qu'à voir "mes estampes japonaises", c'est que c'est vraiment important. (oui, parfaitement, moi, connard arrogant et narcissique si vous voulez, mais hell-of-a-guy quand même)

Allez, faites moi une dernière faveur et répondez sur le fond plutôt que sur la forme, on sait jamais, des fois qu'il y ait un peu de second degré dans tout ça !
By James ex S
#134724 Je suis en partie dans la même situation que toi, en fait pas tout à fait.

J'ai trouvé un petit appart en colocation pour mes études et si vous êtes passé par là, vous savez sans doute à quoi ressemble un appart d'étudiant.
Pour ne pas paraître cru ou grossier je dirais simplement que mes colocs n'ont pas eu la même éducation ménagère que moi. L'appart est assez en bordel, rarement sale car je pousse une gueulée pour que le ménage soit fait selon le planning, mais mes deux colocs sont bordélique et très peu portés sur la propreté (ce qui contraste avec le fait que tous les deux sont plus âgés, bossent dans la finance et l'économie et parte tous les matin en costume) enfin bref.
Dans ce merdier d'étudiant j'ai su me faire mon petit havre de paix: ma chambre, un endroit stylé, à mon image ou quiconque est un minimum observateur pourra décrire ma personnalité de manière assez précise. Un mélange de mes souvenirs de voyages (un batik contre le mur, quelques photos qui ont marquée mes périples) un grand lit avec un immense duvet, un coin lecture...

J'ai souvent eu des compliments sur la déco de ma chambre (sans doute également parce qu'elle contrastait avec le reste de l'appartement).

Quand ma chambre ne ressemblait pas encore à ce qu'elle est maintenant, j'y ai rarement ramené des filles. Ce qu'elles auraient découvert aurait été d'une totale incohérence avec ma personne. Je n'étais sans doute pas assez sur de mon charme ravageur pour compenser ce manque de goût :wink: .

A mon avis Impossible d'être stylé, d'avoir du goût, d'emmener une femme dans des endroits magiques pour ensuite la ramener dans un appart qui au pire ressemble à celui décrit par Lolalola (celui sur Paris) ou au mieux à la copie du dernier catalogue Ikea.

Habité dans un endroit stylé qui vous ressemble, qui est donc la continuité de votre personnalité c'est simplement être normal et du coup rassurant.

[quote]En comparaison, mon appartement à moi me facilite généralement le travail. Sur plus de 100 mètres carré, dont presque la moitié est consacrée au salon joliment arrangé, c'est peu de dire que les victimes qui s'y laissent inviter abandonnent instantanément leurs dernières résistances.
En plus de tout ce qui a été dit plus haut, un bel appart est une arme de plus dans votre attirail de séduction.
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By Romain
#134739 Toujours un plaisir que de te lire.

Ouais, l'appart.
C'est partie prenante du global. Mon appart a pris forme ces derniers temps avec l'arrivée de ma table basse, de ma bibliothèque, et dès que je trouverai, de mon lit. Il me manque de l'art, j'ai de grands murs blanc immaculé, et comme me le disait Augustin, je me dois d'ajouter de la couleur, un peu de fantaisie.
Mais depuis que j'ai reçu mes meubles, deux filles ayant visité l'antre se sont avérées peu avares en compliments.



Juste une question du coup, pourquoi ne pas l'emmener à l'hôtel ? J'ai conscience du "surfait" de la proposition, mais ta situation étant ce qu'elle est, c'est quelque chose qu'elle peut comprendre, et de fait ( ;) ), accepter.
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By lolalola
#134740 Parce que, comme j'ai dit, je n'avais pas du tout imaginé sa réaction, pensant qu'elle ferait bien le distinguo entre l'appart de mon frère et moi.

Pour l'histoire, j'ai failli la trainer pendant la journée shopping chez BV, mais je me suis dit que pour une première rencontre, ça aurait été mieux sans les chromosomes X.
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By lolalola
#134855 Messieurs.
(Madame, si par hasard vous vous êtes aventurée à lire ces quelques lignes, ne prenez pas ombrage de mes salutations exclusives et masculines, votre audience m'est chère, croyez le bien)
Messieurs. Je vous connais, vous allez certainement m'accabler.
Une semaine après avoir rencontré Artémis dans la capitale de l'Amour - à propos de capitale, la majuscule ci-avant n'évoque pas le fleuve ni l'hôtel mais bien le respect que j'ai pour les choses du coeur, à tel point que je refuse d'en faire un nom commun - nous nous retrouvâmes dans un riad d'Afrique du nord. Pour plusieurs raisons purement logistiques, il était prévu que nous nous y retrouvions pour un évènement amical, avant même de nous rencontrer. Notre amie commune avait eu l'exquise courtoisie de nous laisser sa suite afin que nous puissions savourer nos ébats les plus nombreux possible en toute tranquillité.
J'apprivoisais Artémis avec délicatesse et elle semblait vraiment éprise des jeux auxquels elle se prêtait autant que de son partenaire. Après ma courte mais intense histoire précédente, je m'étais raidi et je me retenais d'entretenir notre remarquable proximité dès lors que nous n'étions plus seuls, et elle faisait de même. Heureusement, mon gut-feeling me laissait parfaitement tranquille. Je semblais parfaitement aligné et j'assumais plutôt bien le fait de faire "comme si on était pas vraiment ensemble" au sein de notre groupe.
Le week-end fût court autant que festif, mais jamais la fatigue ne nous empêchait de nous retrouver, souriants, conquis l'un par l'autre. Sa parfaite maîtrise du français, son goût, sa plastique décapante, j'étais vraiment sous le charme. Je compris néanmoins rapidement qu'elle considérait cette semaine et ce week-end comme une parenthèse enchantée, et je la laissai apprécier ces instants sans lourdeur, malgré l'immense désir que j'avais de la revoir. Nous n'avons quasiment pas parlé. Je ne sais pas quelle est sa profession, ce que constitue son quotidien, ou autre. J'ai compris son goût pour la gastronomie et ses couleurs préférées, mais rien de plus. Une femme dirait sans doute que j'ai saisi l'essentiel.
A mesure que l'échéance du week-end se rapprochait, elle devint plus proche, plus câline, plus présente. Elle qui ne voyait pas d'inconvénient à ce que nous faisions programmes séparés, la voilà qui rentrait plus tôt en ma compagnie, qui renonçait spontanément à une après-midi pour m'accompagner au souk. Nous nous sommes quitté sans tristesse, peut-être parce qu'au fond nous savons que nous nous reverrons.
J'ai laissé une bombe à retardement dans sa trousse de toilette sous la forme d'une phrase dans une enveloppe. Gageons que l'explosion aie lieu et que les dommages collatéraux me donnent matière à vous raconter la suite.
En tout cas, je trépigne !
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By lolalola
#134973 Chers amis, je vais passer la semaine prochaine non loin de la mer Egée. J'en suis évidemment ravi.
ByOolong
#134982 [quote="lolalola"]Parce que, comme j'ai dit, je n'avais pas du tout imaginé sa réaction, pensant qu'elle ferait bien le distinguo entre l'appart de mon frère et moi.

Pour l'histoire, j'ai failli la trainer pendant la journée shopping chez BV, mais je me suis dit que pour une première rencontre, ça aurait été mieux sans les chromosomes X.

En fait, la belle Hélène t'a pris pour une poire. Ba-dum-tsss
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By lolalola
#135103 Et me revoici, sourire aux lèvres.
La suite peut-être, j'ai laissé une seconde bombe à retardement dans son tiroir à culotte.
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By lolalola
#135168 Et voici que je m'avance avec mon premier cas concret à vous soumettre. Grande première pour moi, non pas d'avoir un cas concret, mais bien d'attendre un retour de la "communauté" avec l'intention d'en tenir compte.

Comme vous l'avez peut-être compris, je suis accroché.
Voici en substance la situation :
Artémis n'a pas d'enfant, moi oui.
Artémis a une conception de la famille très traditionnelle et le fait que j'ai "déjà une famille" semble la travailler.
Elle a de plus une posture assez paradoxale en ce sens qu'elle vit complètement indépendante, qu'elle a ses habitudes, qu'elle dit elle même qu'elle ne veut pas de quiconque dans ses pattes, etc. et à côté de ça, son couple de référence est celui de ses parents qui ne font rien l'un sans l'autre, tout le temps fourrés ensemble. Mon sentiment est qu'elle n'a pas encore bien accepté/assumé son indépendance. (le thème des enfants n'a pas vraiment été abordé, mais vous allez comprendre)
Nous habitons dans des pays éloignés et différents mais nos moyens et nos dispos nous permettent de nous voir à minima une fois ou deux par mois. Je sais qu'elle veut s'installer à Paris à moyen terme, indépendamment de moi.
Elle a accueilli avec grand plaisir non dissimulé mon initiative de venir la voir, mais j'ai compris qu'elle ne m'aurait pas vraiment rappelé si je ne l'avais pas fait moi-même. Non pas que je lui déplaise, mais parce que son cerveau commande à son coeur plus que l'inverse (pour l'instant, c'est pour ça que le sujet des enfants est un obstacle latent, je pense, même si on en a pas parlé, normal après 3 semaines, vous me direz)
Comme évoqué plus haut, elle s'était résigné à la "parenthèse enchantée" sans suite.
J'ai l'impression d'avoir prolongé cette parenthèse, mais sans garantie aucune que ça aille plus loin, ce que je souhaiterais.

Depuis mon retour, nous n'avons échangé aujourd'hui et depuis deux jours qu'un sms mignon exprimant notre bonheur d'avoir été ensemble la semaine dernière.
Je sens qu'elle ne fera pas de démarche vers moi, et j'hésite sur la marche à suivre.
Je suis extrêmement romantique et j'ai des millions d'idées que je repousse toutes pour ne surtout pas l'inonder.
Je doute qu'elle n'ai pas encore trouvé mon mot. Elle n'en a pas fait mention du tout.
Je pars dans l'esprit "une petite piqure de rappel dans la semaine qui vient" pour voir.
D'autre part je sais par notre amie commune qu'elle tombe généralement sur des connards et elle semble dire qu'elle n'a pas l'habitude de tomber sur un mec qui s'occupe d'elle.

Qu'en pensez-vous ?
By Pascin
#135171 Tiens, elle me rappelle ma copine.

Sortons un peu du discours comptable qui faute de voir la ligne de signes d'intérêt en positifs dira que c'est mort. (Avec en général la phrase "que ferait une femme qui serait intéressée ?")

Discours d'indépendance, rationnelle ...

Essayons de forcer les points de convergence, pour peu que tu en saches assez sur elle. Angoissée ? Tendance a la dépression ? D'une intelligence superieure ? Enfantine par certains aspects ? Pas du genre a lâcher un gramme de territoire ? Parfois des discours tellement rationnels qu'on se demande où se situe l'émotion là dedans ?

Si, je dis bien sous réserve que ça corresponde, la marge de manœuvre est délicate. Elle sera toujours plus distante, ce qui a tendance à créer de l'insécurité et a faire flamber l'intérêt qu'on y porte. Et pourtant tu devras être l'initiateur, parce qu'elle ne lâchera rien avant un sacré bout de temps. La marge de manoeuvre est aussi grande qu'un chas d'aiguille ... Bref, prépare toi à l'épuisement. (Tes interrogations en fin de message en sont les premiers symptômes.)

Je serais plus pessimiste sur son envie d'envie, quand a la durée. Mais c'est là des calculs très banals, tout dépend de ce que tu veux de la relation.
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By lolalola
#135172 Non, c'est assez éloigné de ça.

Je ne parlerais pas d'intelligence supérieure.
Je ne parlerais pas d'angoisse non plus.
Juste comme si elle avait décidé depuis le début que ça ne mènerait à rien et comme si pour l'instant le manque n'était pas assez fort pour que ça la fasse céder.
Mais quand on est ensemble, elle a vraiment tous les symptômes de la fille amoureuse.
Elle ne s'exprime pas beaucoup, ses amies confirment ce point. Elle ne s'écoute pas, parait-il.
En partant d'une soirée la semaine dernière, une copine à elle avec qui j'avais bien parlé me dit au revoir, je lui dis "wish me luck", elle me répond "you have it", je réponds "i am not sure", et elle conclue catégorique "trust me. you have it"
En effet, c'est ce que je ressens quand on est tous les deux.
Mais elle est très forte mentalement, et je la soupçonne d'être capable de se réprimer (ceci n'est pas une construction mentale de ma part pour rationaliser)

Pour ma part, une fois par mois ça me va très bien, j'ai pas besoin de quelqu'un dans mes pattes non plus, donc je ne capitalise pas plus que ça la dessus, il y en aura d'autres, mais j'avoue avoir un petit pincement à l'idée de pas la revoir.
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By animal
#135182 Tu as bien analysé la situation, tu lui plais beaucoup, et tu as les critères disqualifiants pour une relation longue avec elle, mais ce qui devrait être ta faiblesse (la distance) est en fait ton atout majeur. S'il n'y avait pas l'éloignement pour lui laisser penser (dire?) que ce n'est qu'une passade, elle ne t'aurais probablement jamais laissé approcher, mais là elle a une excuse en or pour déroger à ses règles en s'accordant du bon temps.

Donc, sans dévoiler tout le séminaire sex-friends, je te suggère de t'y intéresser, et plus particulièrement au bug du cerveau féminin, ta clef pour qu'elle s'attache vraiment à toi est là. Ça va demander beaucoup de finesse cela dit, de garder la tête froide et de prendre ton temps, et au risque de paraître amoral, je pense que c'est une situation longue dont on ne peut se dépêtrer qu'en ayant d'autres options sous la main pour justement ne pas se laisser aller à idéaliser la fille en question. Contacts espacés, petites attentions, et quand vous vous voyez, ça doit être un RDV exceptionnel, vraiment spécial. Tu sauras que tu es sur la bonne voie quand elle commencera à contribuer de manière visible à ces RDVs (l'image qui me vient, c'est celle où tu lui proposes un pique nique et où elle va préparer, sans que tu lui aies rien demandé, quelque chose pour te faire plaisir, par exemple te surprendre avec ton dessert préféré) ou quand elle aura de gentilles attentions.

En l'état en tout cas, tu pourrais difficilement faire mieux que ce que tu as déjà fait.
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By lolalola
#135204 Merci, je viens de te relire et de me retenir de renvoyer un sms. :)
Demain peut-être
By James ex S
#135205 Tu sembles très bien gérer la situation.

J'ai connu une fille comme ça. Elle était toute amoureuse à chaque fois qu'on se voyait et entre deux, silence radio. Elle répondait avec enthousiasme à mes invitation et j'ai l'impression qu'elle mourrait d'envie de m'appeler, de me faire signe mais qu'elle se retenait.

Il faut être solide pour ne pas craquer mais comme dit animal, la distance joue en ta faveur.

Un petit signe dans la semaine est une bonne idée.

Me réjouis de lire la suite et fais toi confiance, tu as les épaules assez solide pour cette histoire.
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By lolalola
#135395 [color=#FF0000]Message édité à la demande de son auteur[/color]