- Dim Juil 22, 2012 12:29 pm
#124349
Après quelques semaines de vacances loin de Paris, j'avais un peu rouillé quant au fait de retourner aborder dans la rue. J'ai repensé d'ailleurs à cette blonde avec qui j'avais échangé 2 longs regards alors qu'elle sortait et que je rentrais du RER. Aussi pensais-je que le travail effectué n'avait-il servi à rien. Le FR qui suit n'est pas l'occasion de montrer à tout le monde que je suis un pro de la drague — loin de là. Non.Loin de là. D'une part, c'est une forme de remerciement à ce site (et à ses intervenants). Il n'y a, à mes yeux, rien de pire que ceux qui viennent quémander des conseils une fois et qui ne remettront jamais les pieds sur ce site (et sans dire merci). Ingratitude. D'autre part, j'espère pouvoir apporter, via ma modeste contribution, l'envie à ceux qui n'osent pas, de franchir le pas.
[url=http://www.youtube.com/watch?v=1jmLb2pZzUc]Commençons donc[/url]
Je rencontre souvent des filles en soirée, mais rarement de cette façon-là. Nous partons de chez mon ami pour rejoindre une grande gare parisienne afin de rejoindre une boîte parisienne en métro. Nous discutons sur les quais. Je restais debout pour ma part, mais une fille en aura décidé autrement. Je la vois passer autour et j'échange un regard avec elle. Je ne fais rien ; elle me rappelle foutrement quelqu'un. J'hésite, mes amis sont là. Je la regarde. Un de mes amis s'en va rejoindre les bancs du métro et s’assoie à côté d'elle avec l'écart souvent constatable lorsque deux personnes inconnues s'assoient côte à côte ; c'est-à-dire pas côte à côte. Je n'ai quasiment rien bu à cet instant, mais je suis assez euphorique donc beaucoup moins, et puis je n'ai rien à perdre (bon d'accord, des rires de mes amis si je me craque, mais le jeu en valait la chandelle ) Alors que mon ami parlait fort je lance :
M : Parle doucement, tu vas déranger la jeune fille à côté (gros sourire)
E : Non ça va vous me dérangez pas
M : Ah ouais cool parce que tu sais d'habitude les gens se barrent direct dès que ça parle fort.
M : Vu comment tu es habillée, je paris que tu sors ce soir
De fait, elle était habillée comme une fille qui s'habille pour aller rejoindre ses amis dans un bar. Autrement dit, un slim sur des talons noirs.
[quote]E : Oui je vais dans un bar rejoindre mes amis (j'ai omis le nom)
M : Ah ok parce que nous on devait aller au Social Club mais j'en ai décidé autrement donc on a changé
E : Ah le Social club je connais, j'ai pas réussi à rentrer la dernière fois y avait trop de monde
M : Bah en même temps, pour y rentrer, faut être à la hauteur ! (sourire et regard appuyé)
M : Tu t'appelles comment by the way ? Attends laisse-moi devenir, je la scrute de bas en haut. Tu as une tête à t'appeler Ghislaine ! Donc je t'appellerai Ghislaine à partir de maintenant !
E : Non (rires), je m'appelle Marion !
Le métro arrive, nous entrons et me dirige vers le premier strapontin, l'invite à s'assoir à côté de moi ; ce qu'elle fait sans broncher. Il faut savoir que mes amis nous avaient rejoint autour de nous n'avaient jusqu'alors rien dit (pour l'instant), mais je sens que ce que j'ai fait les chocs un peu. Seul l'un d'eux, à qui j'avais d'ailleurs prêté le livre, comprend ce que je fais.
Nous continuons l'interaction, c'est elle qui relance
[quote]E : Et tu fais quoi pendant les vacances :
M : Bah écoute, tu vois tous ces arlos (les désignant du doigt) ? Bah je pars à Barcelone avec eux.
E : Wha la chance
M : Ouais surtout qu'on va avoir un appart très bien situé, et puis on part 10 jours donc c'est plutôt sympa
M : Mais t'as l'air émerveillée, tu vas passer deux semaines avec tes parents au Camping des flots bleus ou comment ça se passe ?
E : (elle explose de rire) : Non non mais je travaille cette année, les deux mois.
J'avoue à ce stade de la partie que je sens la prise de numéro va arriver. Toutefois, il ne me reste que peu de temps (1 min ou 2 mins) parce qu'elle descendait avant moi. Je fais une tentative de sexuation — pitié ne me tuez pas j'ai oublié) — sous les foudres d'un pote avec qui on s’envoie souvent des piques.
Anyway, on reparle des soirées, et elle me dit qu'il faudra qu'on se fasse un Social ensemble. Ouf, elle m'a un peu mâché le travail puisque je peux être sûr de prendre son numéro ; je lui dit « bah je vais prendre ton numéro et je te redis ». Elle s’exécute, me fait la bise, et s'en va.
[url=http://www.youtube.com/watch?v=CuF2JH_wD4U]Modjo ![/url]
En sortant de la rame par la suite, mon pote (avec qui on l'habitude de s'envoyer des pics me dit
Lui : Tu as été lourd (parce que j'ai sexué). Évidemment, dès qu'on essaye d'induire le sexe — bien que délicatement — à une inconnue dans la rue, pour ceux qui ne savent pas, c'est directement lourd.
Moi : Et toi, t'aurais fait quoi à ma place ? Est-ce que tu aurais eu les couilles de lui parler ? Est-ce que tu l'aurais pris son numéro ?
Je comprends désormais la nécessité de streeter seul ; accompagné, les amis vous mettront des bâtons dans les roues, de la même façon que les amies de votre « cible » vous tireront elles aussi vers le bas.
Quelques jours plus tard, j'amorce le rendez-vous par SMS (TMO, jette pas ton ordi par la fenêtre stp !)
[quote]M : Hey Marion (on avait pas dit Ghislaine?), à défaut de t'emmener directement au Social, je te propose un verre demain. Stan (ton voisin de métro)
Qu'elle accepte la demie-heure suivante en rentrant dans le jeu des surnoms.
Je la retrouve donc après un retard, et non sans cette boule au ventre précédant les rendez-vous (et qui s'efface après les premiers mots). En plus j'ai de la chance, le soleil est de la partie.
À suivre...
[url=http://www.youtube.com/watch?v=1jmLb2pZzUc]Commençons donc[/url]
Je rencontre souvent des filles en soirée, mais rarement de cette façon-là. Nous partons de chez mon ami pour rejoindre une grande gare parisienne afin de rejoindre une boîte parisienne en métro. Nous discutons sur les quais. Je restais debout pour ma part, mais une fille en aura décidé autrement. Je la vois passer autour et j'échange un regard avec elle. Je ne fais rien ; elle me rappelle foutrement quelqu'un. J'hésite, mes amis sont là. Je la regarde. Un de mes amis s'en va rejoindre les bancs du métro et s’assoie à côté d'elle avec l'écart souvent constatable lorsque deux personnes inconnues s'assoient côte à côte ; c'est-à-dire pas côte à côte. Je n'ai quasiment rien bu à cet instant, mais je suis assez euphorique donc beaucoup moins, et puis je n'ai rien à perdre (bon d'accord, des rires de mes amis si je me craque, mais le jeu en valait la chandelle ) Alors que mon ami parlait fort je lance :
M : Parle doucement, tu vas déranger la jeune fille à côté (gros sourire)
E : Non ça va vous me dérangez pas
M : Ah ouais cool parce que tu sais d'habitude les gens se barrent direct dès que ça parle fort.
M : Vu comment tu es habillée, je paris que tu sors ce soir
De fait, elle était habillée comme une fille qui s'habille pour aller rejoindre ses amis dans un bar. Autrement dit, un slim sur des talons noirs.
[quote]E : Oui je vais dans un bar rejoindre mes amis (j'ai omis le nom)
M : Ah ok parce que nous on devait aller au Social Club mais j'en ai décidé autrement donc on a changé
E : Ah le Social club je connais, j'ai pas réussi à rentrer la dernière fois y avait trop de monde
M : Bah en même temps, pour y rentrer, faut être à la hauteur ! (sourire et regard appuyé)
M : Tu t'appelles comment by the way ? Attends laisse-moi devenir, je la scrute de bas en haut. Tu as une tête à t'appeler Ghislaine ! Donc je t'appellerai Ghislaine à partir de maintenant !
E : Non (rires), je m'appelle Marion !
Le métro arrive, nous entrons et me dirige vers le premier strapontin, l'invite à s'assoir à côté de moi ; ce qu'elle fait sans broncher. Il faut savoir que mes amis nous avaient rejoint autour de nous n'avaient jusqu'alors rien dit (pour l'instant), mais je sens que ce que j'ai fait les chocs un peu. Seul l'un d'eux, à qui j'avais d'ailleurs prêté le livre, comprend ce que je fais.
Nous continuons l'interaction, c'est elle qui relance
[quote]E : Et tu fais quoi pendant les vacances :
M : Bah écoute, tu vois tous ces arlos (les désignant du doigt) ? Bah je pars à Barcelone avec eux.
E : Wha la chance
M : Ouais surtout qu'on va avoir un appart très bien situé, et puis on part 10 jours donc c'est plutôt sympa
M : Mais t'as l'air émerveillée, tu vas passer deux semaines avec tes parents au Camping des flots bleus ou comment ça se passe ?
E : (elle explose de rire) : Non non mais je travaille cette année, les deux mois.
J'avoue à ce stade de la partie que je sens la prise de numéro va arriver. Toutefois, il ne me reste que peu de temps (1 min ou 2 mins) parce qu'elle descendait avant moi. Je fais une tentative de sexuation — pitié ne me tuez pas j'ai oublié) — sous les foudres d'un pote avec qui on s’envoie souvent des piques.
Anyway, on reparle des soirées, et elle me dit qu'il faudra qu'on se fasse un Social ensemble. Ouf, elle m'a un peu mâché le travail puisque je peux être sûr de prendre son numéro ; je lui dit « bah je vais prendre ton numéro et je te redis ». Elle s’exécute, me fait la bise, et s'en va.
[url=http://www.youtube.com/watch?v=CuF2JH_wD4U]Modjo ![/url]
En sortant de la rame par la suite, mon pote (avec qui on l'habitude de s'envoyer des pics me dit
Lui : Tu as été lourd (parce que j'ai sexué). Évidemment, dès qu'on essaye d'induire le sexe — bien que délicatement — à une inconnue dans la rue, pour ceux qui ne savent pas, c'est directement lourd.
Moi : Et toi, t'aurais fait quoi à ma place ? Est-ce que tu aurais eu les couilles de lui parler ? Est-ce que tu l'aurais pris son numéro ?
Je comprends désormais la nécessité de streeter seul ; accompagné, les amis vous mettront des bâtons dans les roues, de la même façon que les amies de votre « cible » vous tireront elles aussi vers le bas.
Quelques jours plus tard, j'amorce le rendez-vous par SMS (TMO, jette pas ton ordi par la fenêtre stp !)
[quote]M : Hey Marion (on avait pas dit Ghislaine?), à défaut de t'emmener directement au Social, je te propose un verre demain. Stan (ton voisin de métro)
Qu'elle accepte la demie-heure suivante en rentrant dans le jeu des surnoms.
Je la retrouve donc après un retard, et non sans cette boule au ventre précédant les rendez-vous (et qui s'efface après les premiers mots). En plus j'ai de la chance, le soleil est de la partie.
À suivre...