- Mer Sep 16, 2009 1:40 pm
#82578
[quote="Lise"]Donc en fait... Les produits destinés aux femmes doivent être crées par des femmes et inversement ?
Aberrant dans ce cas de se faire couper les cheveux par une fille quand on est un homme ?
Non-sens absolu de porter des vêtements dessinés par un homme lorsque l'on est une femme ?
Un peu limitant comme façon de penser.
Du calme, tu pars directement dans l'affectif
Encore une fois, je ne prétends pas connaitre la solution aux nombreux problèmes des magazines masculins mais une piste pour moi était la trop forte féminisation de ces magazines. C'est ce que je voulais souligner avec mon exemple d'horoscope.
A part ça je suis d'accord avec oxymore :
[quote]La vraie question serait plus " Faut il des hommes pour s'exprimer aux hommes ?" et non " Les produits destinés aux femmes doivent être crées par des femmes et inversement ?"
et encore un +1:
[quote]Pour moi on parlait presse masculine, et non "magazine de mode." Ca explique notre désaccord.
C'est assez marrant car pour une fille un magazine féminin est magazine de mode donc elle applique (en général) ce raisonnement aux magazines masculins.
Mais non, pour moi et pour d'autres manifestement un magazine masculin n'est pas forcément un magazine de mode.
Moi j'aimerais trouver de la littérature (pas forcément contemporaine d'ailleurs), de la science, de l'histoire ou de la politique dans un magazine masculin. Pas forcément les histoires de culs d'une ex pornstar ou les pires videos du net. La mode aurait aussi sa place mais ne serait pas le thème central du magazine contrairement au magazine féminin.
+1 aussi avec Menphis:
[quote]je ne crois pas que ce soit une question de broder autour du message ou non. Effectivement, si on ne brode pas, ça s'appelle une dépêche d'agence Smile Mais c'est plutôt dans la manière de broder, et celle-ci ne rendra pas forcément une impression de féminisation du discours. C'est même ça qui donnera le ton au texte, voire au magazine entier, c'est ce qui permet la coexistence de plusieurs magazines sur un même créneau.
Encore que je n'aime pas trop le terme "broder", je préférerai une vraie investigation que le journaliste rentre vraiment dans le sujet. Comme dans l'article du figaro madame sur la communauté de séducteur. Qui est écrit par une fille au passage.
++