- Mer Avr 09, 2008 11:39 pm
#44079
J'ai mis BSG ? Oups, je me suis trompé, c'est à Cujas... Tu l'as peut-être déjà vue : une jolie blonde qui est tout le temps dans la salle des périodiques à côté de la salle des profs...
- Ven Avr 11, 2008 9:12 am
#44257
Cette fille est tout de même assez bien pour que je pense encore à elle, compte tenu de la nuit que je viens de passer à ses cotés. Hier soir, une date assez peu préparée faute de temps, mais suffisamment pour qu'elle fasse son petit effet.
Je ne l'avais plus revue ni parlée depuis lundi et on avait toujours ce rendez-vous pris depuis maintenant 10 jours... Rendez-vous est fixé par texto. Précision : elle est blonde comme les blés, taille 34 et pas pulpeuse pour un sou (n'en déplaisent aux amateurs de formes généreuses, je les aime taille mannequin, et pas dans les pubs dove, mais mixa bébé...)
Texto envoyé vers 15h
[quote] Hello belle rousse pulpeuse ! Rendez-vous au Kong à 19h56. Tenue correcte exigée.
Réponse vers 17h30
[quote]J'espère qu'on a la même heure...
Elle arrive pile à l'heure en me prenant par surprise (enfin en m'embrassant par surprise, esprits mal placés sur ce site s'abstenir !).
On boit un verre, on se raconte ce qu'on a fait depuis lundi, on rit (femme qui rit...) et d'un coup, je lui propose d'aller voir une exposition en nocturne à l'ancienne BNF de Sophie Calle (que je vous conseille en passant, c'est très intéressant).
Le truc, c'est que je connaissais le thème de cette expo bien avant qu'elle ne soit installée puisqu'un bouquin lui est consacré (disponible dans toutes les bonnes librairies d'arts contemporain et actuel) : il y est question d'une lettre de rupture et l'artiste a demandé à un philologue, une avocate, une physicienne, un psychanalyste, etc. de livrer une analyse de cette lettre. Sauf que pour une expo de date avec une fille qui s'appelle sophie, ça pouvait faire son effet. D'autant que l'expo a lieu dans une salle de la bibliothèque qui est encore "dans son jus", ce qui rappellait évidemment les conditions dans lesquelles on s'était rencontré...
Et ça a fonctionné. D'abord un peu décontenancée, elle s'est prise au jeu et s'en est suivi une visite assez mémorable où on analysait les analyses et les oeuvres comme si celui qui rompait avec Sophie, c'était moi... Ces analyses étaient entrecoupées d'intenses baisers (certes, elle m'a moins chauffée qu'une autre fille qui, au Palais de Tokyo, avait voulu me prendre dans sa bouche dans un coin sombre...). Bref, un bon moment (et surtout drôle !).
On est restée jusqu'à la fermeture, puis on est allé boire un verre de vin accompagné d'un plat dans un bar à vin de la rue des petits-champs (que je conseille aux amateurs de vin : le Willy's wine bar). Au moment de terminer le repas, on reparle de l'expo et surtout de la rupture. J'en profite pour glisser : "tu sais, les amants, lorsqu'ils se disputent et qu'ils rompent, ils se réconcilient souvent sur l'oreiller. Tu veux pas qu'on aille se réconcilier ?".
Et hop, direction mon chez moi qu'elle vient à l'instant de quitter... Et là, je suis en train de boire un petit café en écoutant des morceaux accoustiques de Pete Doherty.
Quand j'y repense, il y a des choses que je ne comprends pas : pourquoi me suis-je refusé cette vie durant si longtemps ? J'y pense encore souvent, mais de moins en moins.
Je ne l'avais plus revue ni parlée depuis lundi et on avait toujours ce rendez-vous pris depuis maintenant 10 jours... Rendez-vous est fixé par texto. Précision : elle est blonde comme les blés, taille 34 et pas pulpeuse pour un sou (n'en déplaisent aux amateurs de formes généreuses, je les aime taille mannequin, et pas dans les pubs dove, mais mixa bébé...)
Texto envoyé vers 15h
[quote] Hello belle rousse pulpeuse ! Rendez-vous au Kong à 19h56. Tenue correcte exigée.
Réponse vers 17h30
[quote]J'espère qu'on a la même heure...
Elle arrive pile à l'heure en me prenant par surprise (enfin en m'embrassant par surprise, esprits mal placés sur ce site s'abstenir !).
On boit un verre, on se raconte ce qu'on a fait depuis lundi, on rit (femme qui rit...) et d'un coup, je lui propose d'aller voir une exposition en nocturne à l'ancienne BNF de Sophie Calle (que je vous conseille en passant, c'est très intéressant).
Le truc, c'est que je connaissais le thème de cette expo bien avant qu'elle ne soit installée puisqu'un bouquin lui est consacré (disponible dans toutes les bonnes librairies d'arts contemporain et actuel) : il y est question d'une lettre de rupture et l'artiste a demandé à un philologue, une avocate, une physicienne, un psychanalyste, etc. de livrer une analyse de cette lettre. Sauf que pour une expo de date avec une fille qui s'appelle sophie, ça pouvait faire son effet. D'autant que l'expo a lieu dans une salle de la bibliothèque qui est encore "dans son jus", ce qui rappellait évidemment les conditions dans lesquelles on s'était rencontré...
Et ça a fonctionné. D'abord un peu décontenancée, elle s'est prise au jeu et s'en est suivi une visite assez mémorable où on analysait les analyses et les oeuvres comme si celui qui rompait avec Sophie, c'était moi... Ces analyses étaient entrecoupées d'intenses baisers (certes, elle m'a moins chauffée qu'une autre fille qui, au Palais de Tokyo, avait voulu me prendre dans sa bouche dans un coin sombre...). Bref, un bon moment (et surtout drôle !).
On est restée jusqu'à la fermeture, puis on est allé boire un verre de vin accompagné d'un plat dans un bar à vin de la rue des petits-champs (que je conseille aux amateurs de vin : le Willy's wine bar). Au moment de terminer le repas, on reparle de l'expo et surtout de la rupture. J'en profite pour glisser : "tu sais, les amants, lorsqu'ils se disputent et qu'ils rompent, ils se réconcilient souvent sur l'oreiller. Tu veux pas qu'on aille se réconcilier ?".
Et hop, direction mon chez moi qu'elle vient à l'instant de quitter... Et là, je suis en train de boire un petit café en écoutant des morceaux accoustiques de Pete Doherty.
Quand j'y repense, il y a des choses que je ne comprends pas : pourquoi me suis-je refusé cette vie durant si longtemps ? J'y pense encore souvent, mais de moins en moins.
- Ven Avr 11, 2008 2:05 pm
#44299
Moi généralement aprés un game meuné de main de maitre comme celui là. J'engoisse un peu en me demandant comment je vais réussir à faire aussi bien la prochaine fois.
"Life is not about finding yourself. Life is about créating yourself"
- Ven Avr 11, 2008 9:16 pm
#44367
De main de maître, il faut pas exagérer non plus.
Quant à angoisser, il n'y a aucune raison. Il suffit de dérouler maintenant, chercher à maintenir l'attraction, c'est tout.
Pour moi, cela va tenir en trois principes :
- rester C&F
- rester le prix : parce qu'elle joue un peu sa princesse parfois, notamment lorsqu'on s'est quitté ce matin. J'ai essayé de time-bridger et elle a rejeté par un "on s'appelle", du genre "rien n'est gagné mon p'tit loup". Moralité, je ne rappelerai pas et attendrai la semaine prochaine ou bien qu'elle me rappelle ce week-end, sauf que ce week-end, je serai occupé...
- la voir à des moments de haut niveau d'énergie
Et puis j'ai encore deux ou trois tours dans mon sac, va. Y a pas que le kong ou le fumoir à Paris, et heureusement (même si le fumoir reste et restera mon endroit préféré de tous ceux que je connais).
Quant à angoisser, il n'y a aucune raison. Il suffit de dérouler maintenant, chercher à maintenir l'attraction, c'est tout.
Pour moi, cela va tenir en trois principes :
- rester C&F
- rester le prix : parce qu'elle joue un peu sa princesse parfois, notamment lorsqu'on s'est quitté ce matin. J'ai essayé de time-bridger et elle a rejeté par un "on s'appelle", du genre "rien n'est gagné mon p'tit loup". Moralité, je ne rappelerai pas et attendrai la semaine prochaine ou bien qu'elle me rappelle ce week-end, sauf que ce week-end, je serai occupé...
- la voir à des moments de haut niveau d'énergie
Et puis j'ai encore deux ou trois tours dans mon sac, va. Y a pas que le kong ou le fumoir à Paris, et heureusement (même si le fumoir reste et restera mon endroit préféré de tous ceux que je connais).
- Mar Mai 13, 2008 5:52 pm
#47904
En lisant ton premier post, je me posais la question :
Mieux vaut-il être précis sur ses disponibilités pour une date ou pour l'appeler (exemple : dans 3/4 jours, jeudi de la semaine prochaine), ou mieux vaut-il rester flou (exemple : dans la semaine, pas avant la semaine prochaine) ?
Question un peu barbare désolé mais cela m'est venu a l'esprit en arrivant à tes questions...
Sinon très bon FR, bien écrit.
Mieux vaut-il être précis sur ses disponibilités pour une date ou pour l'appeler (exemple : dans 3/4 jours, jeudi de la semaine prochaine), ou mieux vaut-il rester flou (exemple : dans la semaine, pas avant la semaine prochaine) ?
Question un peu barbare désolé mais cela m'est venu a l'esprit en arrivant à tes questions...
Sinon très bon FR, bien écrit.
- Mar Mai 20, 2008 4:04 pm
#48836
Pour appeler, je vois pas l'intérêt de dire : "je t'appelle dans 3-4 jours". Moi, je dis (dans le creux de l'oreille en lui disant au revoir après l'avoir numclosé) : "je t'appelle...". Puis, fixation du regard. Et je me pars en ne me retournant pas (au contraire, j'essaie de séduire quelqu'un avec qui je parle pendant quelques minutes. Puis je m'en vais sans la regarder. A moins que j'aie l'esprit c&f sur le moment et là "je t'appelle dans 5jours 9heures et 36 minutes". Ou bien "Je t'appelle mercredi prochain à 20h36". Sinon, c'est nul.
Pour fixer un rendez-vous, je donne toujours une date précise. Si elle peut pas, et si elle n'en propose pas une derrière, c'est :
1/ soit qu'elle est pas intéressée. Tant pis : j'insiste pas pour pas faire lourdot. Au pire, ça la surprendra et c'est elle qui reviendra à la charge toute seule.
2/ Soit qu'elle est intéressée, mais qu'elle joue à la princesse. Et moi, j'aime pas les princesses, donc je ne propose pas d'autres rendez-vous. Si elle est vraiment intéressée, princesse redeviendra une femme et reviendra à la charge pour proposer quelque chose d'autre.
Dans les deux cas, si elle ne propose rien, tant pis pour elle.
Pour fixer un rendez-vous, je donne toujours une date précise. Si elle peut pas, et si elle n'en propose pas une derrière, c'est :
1/ soit qu'elle est pas intéressée. Tant pis : j'insiste pas pour pas faire lourdot. Au pire, ça la surprendra et c'est elle qui reviendra à la charge toute seule.
2/ Soit qu'elle est intéressée, mais qu'elle joue à la princesse. Et moi, j'aime pas les princesses, donc je ne propose pas d'autres rendez-vous. Si elle est vraiment intéressée, princesse redeviendra une femme et reviendra à la charge pour proposer quelque chose d'autre.
Dans les deux cas, si elle ne propose rien, tant pis pour elle.