- Dim Déc 17, 2017 10:30 pm
#183577
Salut l’équipe !
Je reviens vers vous pour ma petite paire de baffes annuelle.
Comme toujours, c’est l’histoire d’une fille. Belle parisienne de 25 ans. Ingénieure. CSP ++. On se fréquente à la salle de sport. Ces derniers points montrent un haut degré de H, même si elle s’habille, s’exprime et se meut de manière très féminine.
Si elle gagne bien sa vie, son travail la gonfle, ou à tout le moins ne l’épanouie pas. Elle parle beaucoup de requalification. Période de changement donc, quoique toute relative, puisqu’elle vient de s’endetter à long terme pour un appart’.
Célibataire depuis un bout de temps, bien que des mecs lui tournent autour en nombre (j’ai cru surprendre une de ses amies parler de « harem », même si j’en mettrai pas ma main à couper). Elle envisage d'adopter un chat, et passe son temps libre de soirées en sorties, ce qui laisse à penser que la solitude lui pèse.
Bref, on se côtoie à la salle à hauteur d’une fois par semaine depuis quelques mois. Relation je te taquine/ tu me taquines, classique. Je ne tente rien car je suis occupé, disons, ailleurs.
C’est elle qui prend l’initiative de cranter (ajout sur Instagram, puis propositions de sorties).
Comme lesdites propositions sont entre potes, je les esquive soigneusement. Jusqu’au moment ou je parviens à caser un rendez-vous à l’heure du thé. Une heure avant, elle me prévient que des amis à elle seront présents. Et si elle s’en excuse, prétextant qu’ils se sont invités (pour les connaître un peu aujourd’hui, c’est le genre d’amis qu’elle a : « T’es là, ah ben je te rejoins ! »), je n’en suis pas moins désarçonné. Je me montre tout de même cordial. La soirée ne va pas bien loin.
S’ensuivent de nouvelles perches de sa part pour qu’on se voit en dehors de la salle de sport, mais c’est une période tendu niveau travail, et son plan tordu de la dernière fois m’a bien refroidi. Du coup ces perches, je ne les saisies pas.
Paradoxalement, c’est à ce moment qu’elle est la plus réactive niveau textos (elle est très radine en texto, comme moi d'ailleurs), et le jour de son départ pour trois semaines de vacances à l’autre bout du monde, elle m’en envoie un assez mignon.
Trois semaines passent, sans contact ni de sa part, ni de la mienne.
A son retour, elle m’envoie un message pour gentiment m’engueuler de n’avoir pas été présent à la salle de sport pour sa rentrée. On prévoit de s’y retrouver quelques jours plus tard.
Là, ça grince, puisqu’une fois sur place, c’est limite si elle me snobbe. On échange deux/trois phrases puis elle rentre chez elle.
Quelques jours plus tard, soit la semaine dernière, elle m’invite à un apéro chez elle avec ses amis (les mêmes qui s’étaient invités à l’improviste la dernière fois.) J’apprends que ces derniers m’adorent, et qu’ils me valident totalement. Je m’arrange pour rater mon métro, et on finit la nuit ensemble, même s’il n’y aura pas de sexe. Bien que très câline, je ne la sens pas « enflammée ». Pas mal sur la défensive sur les sujets de discussion, elle m’oppose notamment que c’est un risque qu’on commence à s’emballer alors qu’on se voit régulièrement pour faire du sport.
Le lendemain, pas de contact.
Aujourd’hui, soit le surlendemain, on se revoit à la salle justement, où plus que jamais elle se montre froide.
Je garde la face, mais ça m’emmerde. D’une, parce que je l’aime bien cette nana, de deux, parce que c’est pas la première fois que je bloque à cette phase, celle que les adeptes de Mystery appelaient autrefois celle du « Buyer’s remorse » (ouais, c’est sale, désolé.)
Deux mots sur moi : même si j’ai le contact facile avec les gens, je renvois l’image de quelqu’un de très indépendant, qui ne s’ouvre que difficilement. J’imagine que ça doit pas aider les fille à s’impliquer. D’autant plus pour cette dernière, qui a fait quasiment tous les efforts pour qu’on arrive là où on en est.
Voilà, désolé pour le pavé. Ceux qui sont encore là, merci de m’avoir lu. Vos analyses et commentaires sont les bienvenus.
Me suis-je grillé auprès de cette demoiselle ? Dans le cas contraire, me montrer plus pro-actif parviendrait-il à redresser la barre du niveau d’intérêt ? J'ai peur d'avoir joué la carte du challenge de manière bien trop poussée, au point qu'elle se mette à lâcher l'affaire...
Pour plus de précisions, n’hésitez pas à demander.
Bonne soirée.
Je reviens vers vous pour ma petite paire de baffes annuelle.
Comme toujours, c’est l’histoire d’une fille. Belle parisienne de 25 ans. Ingénieure. CSP ++. On se fréquente à la salle de sport. Ces derniers points montrent un haut degré de H, même si elle s’habille, s’exprime et se meut de manière très féminine.
Si elle gagne bien sa vie, son travail la gonfle, ou à tout le moins ne l’épanouie pas. Elle parle beaucoup de requalification. Période de changement donc, quoique toute relative, puisqu’elle vient de s’endetter à long terme pour un appart’.
Célibataire depuis un bout de temps, bien que des mecs lui tournent autour en nombre (j’ai cru surprendre une de ses amies parler de « harem », même si j’en mettrai pas ma main à couper). Elle envisage d'adopter un chat, et passe son temps libre de soirées en sorties, ce qui laisse à penser que la solitude lui pèse.
Bref, on se côtoie à la salle à hauteur d’une fois par semaine depuis quelques mois. Relation je te taquine/ tu me taquines, classique. Je ne tente rien car je suis occupé, disons, ailleurs.
C’est elle qui prend l’initiative de cranter (ajout sur Instagram, puis propositions de sorties).
Comme lesdites propositions sont entre potes, je les esquive soigneusement. Jusqu’au moment ou je parviens à caser un rendez-vous à l’heure du thé. Une heure avant, elle me prévient que des amis à elle seront présents. Et si elle s’en excuse, prétextant qu’ils se sont invités (pour les connaître un peu aujourd’hui, c’est le genre d’amis qu’elle a : « T’es là, ah ben je te rejoins ! »), je n’en suis pas moins désarçonné. Je me montre tout de même cordial. La soirée ne va pas bien loin.
S’ensuivent de nouvelles perches de sa part pour qu’on se voit en dehors de la salle de sport, mais c’est une période tendu niveau travail, et son plan tordu de la dernière fois m’a bien refroidi. Du coup ces perches, je ne les saisies pas.
Paradoxalement, c’est à ce moment qu’elle est la plus réactive niveau textos (elle est très radine en texto, comme moi d'ailleurs), et le jour de son départ pour trois semaines de vacances à l’autre bout du monde, elle m’en envoie un assez mignon.
Trois semaines passent, sans contact ni de sa part, ni de la mienne.
A son retour, elle m’envoie un message pour gentiment m’engueuler de n’avoir pas été présent à la salle de sport pour sa rentrée. On prévoit de s’y retrouver quelques jours plus tard.
Là, ça grince, puisqu’une fois sur place, c’est limite si elle me snobbe. On échange deux/trois phrases puis elle rentre chez elle.
Quelques jours plus tard, soit la semaine dernière, elle m’invite à un apéro chez elle avec ses amis (les mêmes qui s’étaient invités à l’improviste la dernière fois.) J’apprends que ces derniers m’adorent, et qu’ils me valident totalement. Je m’arrange pour rater mon métro, et on finit la nuit ensemble, même s’il n’y aura pas de sexe. Bien que très câline, je ne la sens pas « enflammée ». Pas mal sur la défensive sur les sujets de discussion, elle m’oppose notamment que c’est un risque qu’on commence à s’emballer alors qu’on se voit régulièrement pour faire du sport.
Le lendemain, pas de contact.
Aujourd’hui, soit le surlendemain, on se revoit à la salle justement, où plus que jamais elle se montre froide.
Je garde la face, mais ça m’emmerde. D’une, parce que je l’aime bien cette nana, de deux, parce que c’est pas la première fois que je bloque à cette phase, celle que les adeptes de Mystery appelaient autrefois celle du « Buyer’s remorse » (ouais, c’est sale, désolé.)
Deux mots sur moi : même si j’ai le contact facile avec les gens, je renvois l’image de quelqu’un de très indépendant, qui ne s’ouvre que difficilement. J’imagine que ça doit pas aider les fille à s’impliquer. D’autant plus pour cette dernière, qui a fait quasiment tous les efforts pour qu’on arrive là où on en est.
Voilà, désolé pour le pavé. Ceux qui sont encore là, merci de m’avoir lu. Vos analyses et commentaires sont les bienvenus.
Me suis-je grillé auprès de cette demoiselle ? Dans le cas contraire, me montrer plus pro-actif parviendrait-il à redresser la barre du niveau d’intérêt ? J'ai peur d'avoir joué la carte du challenge de manière bien trop poussée, au point qu'elle se mette à lâcher l'affaire...
Pour plus de précisions, n’hésitez pas à demander.
Bonne soirée.