- Jeu Mai 10, 2012 6:13 pm
#122055
J'ai lu un peu en diagonale mais, à chaud, je dirais que c'est pas la mort même si c'est pas encore l'éclate. Tu te ramasses en beauté sur le shit test (désolé animal, une idée de francisation ?), elle t'aide en te donnant une seconde chance, et à défaut de marquer des points avec ta seconde réponse tu n'en perds pas, ou moins.
Dans votre échange suivant, vu d'ici elle n'a pas l'air de se foutre de toi.
Pour le reste, attention à l'orientation que tu prends. Le monde n'est pas manichéen : mauvais gars contre bon. Les hommes qui se retrouvent qualifiés de "gentils" se trompent au sujet du "mauvais". Ce qui rend le mauvais aux yeux du gentil, et attirant aux yeux des dames, c'est son indépendance, sa détermination, sa liberté si tu préfères. En somme, il fait ce dont il a envie.
Le bad guy est un spectre. Il a été créé par l'imagination des gentils. Histoire.
Un gentil rencontre une jolie fille. La qualité première de la jolie fille est d'être trèèèèès accessible aux yeux du gentil. Il devient le meilleur ami de la jolie fille, et il le regrette un peu, faut-il le dire. La jolie fille raconte tous ses déboires passés avec ces méchants garçons qui décidément ont bien fissuré son petit coeur de princesse Sounds familiar ?
Maintenant la vraie histoire, cachée celle là, c'est quoi ?
Le gentil est asexué donc il devient un pote. La jolie fille a un problème d'amour-propre, ce qui la pousse à se faire aimer même par le dernier loser qui traine, ce qui explique qu'elle soit devenue si proche avec le gentil (au lieu de s'éloigner d'un molusque sans caractère). Le gentil ne comprend rien au besoin de déculpabilisation des femmes, donc il prend pour argent comptant ce qu'elle raconte à propos de ses ex.
Option : ses ex sont vraiment des salopards, et alors la fille l'avait vu d'emblée et cherchait à combler son besoin d'être dominée, donc elle a vraiment un gros souci d'amour propre, et donc elle est vraiment hors de portée du gentil.
Ce qu'un trop gentil prend pour un bad-boy, ce n'est rien d'autre qu'un homme affirmé.
Ce n'est pas nice guy vs. bad boy. C'est nice guy vs. le reste du monde. Pas de salut pour le gentil.
Ne sois pas un salaud, ça ne sert à rien. Sois affirmé, simplement.
Indice : quand elle parle de bad boys de son passé, 99 fois sur 100 ils n'étaient que des hommes et elle aime juste dramatiser un peu ("Bonjour, j'ai une vie trépidante pleine de rebondissements amoureux comme dans les séries").
Dans votre échange suivant, vu d'ici elle n'a pas l'air de se foutre de toi.
Pour le reste, attention à l'orientation que tu prends. Le monde n'est pas manichéen : mauvais gars contre bon. Les hommes qui se retrouvent qualifiés de "gentils" se trompent au sujet du "mauvais". Ce qui rend le mauvais aux yeux du gentil, et attirant aux yeux des dames, c'est son indépendance, sa détermination, sa liberté si tu préfères. En somme, il fait ce dont il a envie.
Le bad guy est un spectre. Il a été créé par l'imagination des gentils. Histoire.
Un gentil rencontre une jolie fille. La qualité première de la jolie fille est d'être trèèèèès accessible aux yeux du gentil. Il devient le meilleur ami de la jolie fille, et il le regrette un peu, faut-il le dire. La jolie fille raconte tous ses déboires passés avec ces méchants garçons qui décidément ont bien fissuré son petit coeur de princesse Sounds familiar ?
Maintenant la vraie histoire, cachée celle là, c'est quoi ?
Le gentil est asexué donc il devient un pote. La jolie fille a un problème d'amour-propre, ce qui la pousse à se faire aimer même par le dernier loser qui traine, ce qui explique qu'elle soit devenue si proche avec le gentil (au lieu de s'éloigner d'un molusque sans caractère). Le gentil ne comprend rien au besoin de déculpabilisation des femmes, donc il prend pour argent comptant ce qu'elle raconte à propos de ses ex.
Option : ses ex sont vraiment des salopards, et alors la fille l'avait vu d'emblée et cherchait à combler son besoin d'être dominée, donc elle a vraiment un gros souci d'amour propre, et donc elle est vraiment hors de portée du gentil.
Ce qu'un trop gentil prend pour un bad-boy, ce n'est rien d'autre qu'un homme affirmé.
Ce n'est pas nice guy vs. bad boy. C'est nice guy vs. le reste du monde. Pas de salut pour le gentil.
Ne sois pas un salaud, ça ne sert à rien. Sois affirmé, simplement.
Indice : quand elle parle de bad boys de son passé, 99 fois sur 100 ils n'étaient que des hommes et elle aime juste dramatiser un peu ("Bonjour, j'ai une vie trépidante pleine de rebondissements amoureux comme dans les séries").