- Mar Mar 27, 2012 11:22 am
#120709
[url=http://www.youtube.com/watch?v=z4W3l3LlNRg&feature=related]BO d'une journée[/url]
Traversant tour à tour le Pont des Arts, puis le pont Alexandre, et le Petit Pont , la journée est ensoleillé et je me suis réveillé ce matin avec le meilleur niveau d'énergie de toute ma vie, qui court toujours depuis une grosse semaine.
J'ai appris que ce niveau d'énergie m'empêchait cruellement d'obtenir mes 8 heures de sommeil nécessaires au tri des nombreuses informations qui viennent remplir mes pensées le soir en retournant mon oreiller pour en trouver la fraîcheur.
Mon niveau d'excitation est tel que la descente de celui ci s'annonce dure.
Bec et ongles, je le défendrai autant que faire ce peut.
Marina, plus ou moins son vrai prénom, a la bonne idée d'arriver pile à l'heure.
Moi par contre, je lui mets cinq minutes de simple courtoisie.
Elle est bien plus belle que dans mes souvenirs, et, j'avoue sentir mon coeur se pincer quand je la vois tripoter son portable sous la statue Danton.
Nous nous dirigeons vers le premier bar de mon choix, où nous nous sommes installés en terrasse, à côté de deux touristes en pleine cinquantaine. L'homme me regardera plusieurs fois pour me faire part de toute sa solidarité masculine, et de ce que, en toute modestie, j'ai pu considérer comme un "bravo fiston".
Mais nous n'en étions pas encore là.
J'arrive à échapper à son décolleté attrayant en lui parlant de mes voyages, sur lesquels elle m'a beaucoup questionné, me demandant si j'avais déjà pu honorer une japonaises, soit la première sexuation, à son crédit.
Ne me laissant pas piéger ainsi, le lance quelques routines sur mon métier (futur en fait, métier de steward) et lui raconte comme je suis passé de la mode aux avions, ce qui me permettra de lui arracher jusqu'à la fin de notre rendez vous ses précieux sourires et la vue réjouissante de ses dents blanches et parfaitement ordonnées.
A mon initiatve, je lui propose une promenade alors que le soleil s'en va réchauffer l'Asie. Après avoir partagé nos connaissances sur les monuments et bâtiments des quais de Seine, nous nous arrêtons à Saint Michel, toujours en terrasse.
Possédant la très rare et très convoitée connaissance de toutes les capitales du monde, je la lance sur un jeu auquel elle ne pourra pas gagner, celui de trouver la capitale du Turkménistan.
Ce qui installera un jeu entre nous deux à notre plus grande appréciation, la connexion s'est faite, je la sens détendue et heureuse de partager un Pure Malt avec moi, bien loin d'un cocktail girly, bu à la paille, ce qui vous donne un air profondément retardé lorsque la paille pénètre et se fait aspirer.
Elle dégage en plus d'un style et d'une classe un très bon goût pour les alcools en général, notamment la Vodka, qui me répugne rien qu'a l'idée de la sentir, et les première projections que j'émets reçoivent très bon accueil, et deviennent réciproques.
Sentant la nuit tomber et délivrer les odeurs qui me rendent pensif et contemplatif, nous nous dirigeons vers le Marché aux Fleurs, petit plaisir personnel, où a la nuit tombée, l'humidité rehausse le parfum des pétales frais se mélangeant à l'odeur de Paris, car oui, Paris a son odeur, si l'on veut sentir plus loin que le pot d'échappement que tout le monde sent en première impression. Paris, c'est comme un parfum, il y a trois notes, la première est faite d'essence brûlée et d'asphalte, mais le sillage et la finale sont deux perles qu'il faut savoir apprécier.
Sur le pont Napoléon, je la piège une dernière fois alors que nos corps ne s'évitent pas, sur le bâtiment le plus lumineux rive droite. Lui ayant promis une punition si elle ne trouvait pas, mon prétexte pour lui dire de se rapprocher de de moi et de me donner ses mains était tout trouvé. Ce qu'elle fit sans se faire attendre, mais non sans crainte, que je lui inflige un châtiment corporel comme la pincer, ce que j'avais déjà fait quand je lui ai demandé de me dire quelle était la capitale d'Aruba.
Je lui fais bien comprendre que nous allons faire tout autre chose, à l'extrême inverse du pincement plus tôt.
Toute contre moi, j'amène mon index sous son menton et dirige sa bouche vers la mienne, alors que les péniches passent sous nous, et que les touristes nous dévisagent, Pont Saint Michel.
Me donnant ensuite le plus beau et très probablement le plus sincère de ses sourires jusque là, elle me gratifie d'une phrase qui m'a directement touché là où ça fait du bien:
"Tu es un petit con."
Petit con venant remercier les jeux auxquels nous avons joué cette soirée.
Je la quitte Odéon quelques minutes plus tard, l'embrassant encore une fois, avec cette énergie que nous connaissons tous, je ne résiste pas et décide de retourner une dernière fois avant de rejoindre des amis, au Marché aux Fleurs où je vais humer les odeurs voyageuses, Île de la Cité.
[url=http://www.youtube.com/watch?v=EZvTBtl6SzI&feature=related]Avant de rentrer chez moi, entre la gare et les 3km qui me séparent de mon oreiller[/url]
Traversant tour à tour le Pont des Arts, puis le pont Alexandre, et le Petit Pont , la journée est ensoleillé et je me suis réveillé ce matin avec le meilleur niveau d'énergie de toute ma vie, qui court toujours depuis une grosse semaine.
J'ai appris que ce niveau d'énergie m'empêchait cruellement d'obtenir mes 8 heures de sommeil nécessaires au tri des nombreuses informations qui viennent remplir mes pensées le soir en retournant mon oreiller pour en trouver la fraîcheur.
Mon niveau d'excitation est tel que la descente de celui ci s'annonce dure.
Bec et ongles, je le défendrai autant que faire ce peut.
Marina, plus ou moins son vrai prénom, a la bonne idée d'arriver pile à l'heure.
Moi par contre, je lui mets cinq minutes de simple courtoisie.
Elle est bien plus belle que dans mes souvenirs, et, j'avoue sentir mon coeur se pincer quand je la vois tripoter son portable sous la statue Danton.
Nous nous dirigeons vers le premier bar de mon choix, où nous nous sommes installés en terrasse, à côté de deux touristes en pleine cinquantaine. L'homme me regardera plusieurs fois pour me faire part de toute sa solidarité masculine, et de ce que, en toute modestie, j'ai pu considérer comme un "bravo fiston".
Mais nous n'en étions pas encore là.
J'arrive à échapper à son décolleté attrayant en lui parlant de mes voyages, sur lesquels elle m'a beaucoup questionné, me demandant si j'avais déjà pu honorer une japonaises, soit la première sexuation, à son crédit.
Ne me laissant pas piéger ainsi, le lance quelques routines sur mon métier (futur en fait, métier de steward) et lui raconte comme je suis passé de la mode aux avions, ce qui me permettra de lui arracher jusqu'à la fin de notre rendez vous ses précieux sourires et la vue réjouissante de ses dents blanches et parfaitement ordonnées.
A mon initiatve, je lui propose une promenade alors que le soleil s'en va réchauffer l'Asie. Après avoir partagé nos connaissances sur les monuments et bâtiments des quais de Seine, nous nous arrêtons à Saint Michel, toujours en terrasse.
Possédant la très rare et très convoitée connaissance de toutes les capitales du monde, je la lance sur un jeu auquel elle ne pourra pas gagner, celui de trouver la capitale du Turkménistan.
Ce qui installera un jeu entre nous deux à notre plus grande appréciation, la connexion s'est faite, je la sens détendue et heureuse de partager un Pure Malt avec moi, bien loin d'un cocktail girly, bu à la paille, ce qui vous donne un air profondément retardé lorsque la paille pénètre et se fait aspirer.
Elle dégage en plus d'un style et d'une classe un très bon goût pour les alcools en général, notamment la Vodka, qui me répugne rien qu'a l'idée de la sentir, et les première projections que j'émets reçoivent très bon accueil, et deviennent réciproques.
Sentant la nuit tomber et délivrer les odeurs qui me rendent pensif et contemplatif, nous nous dirigeons vers le Marché aux Fleurs, petit plaisir personnel, où a la nuit tombée, l'humidité rehausse le parfum des pétales frais se mélangeant à l'odeur de Paris, car oui, Paris a son odeur, si l'on veut sentir plus loin que le pot d'échappement que tout le monde sent en première impression. Paris, c'est comme un parfum, il y a trois notes, la première est faite d'essence brûlée et d'asphalte, mais le sillage et la finale sont deux perles qu'il faut savoir apprécier.
Sur le pont Napoléon, je la piège une dernière fois alors que nos corps ne s'évitent pas, sur le bâtiment le plus lumineux rive droite. Lui ayant promis une punition si elle ne trouvait pas, mon prétexte pour lui dire de se rapprocher de de moi et de me donner ses mains était tout trouvé. Ce qu'elle fit sans se faire attendre, mais non sans crainte, que je lui inflige un châtiment corporel comme la pincer, ce que j'avais déjà fait quand je lui ai demandé de me dire quelle était la capitale d'Aruba.
Je lui fais bien comprendre que nous allons faire tout autre chose, à l'extrême inverse du pincement plus tôt.
Toute contre moi, j'amène mon index sous son menton et dirige sa bouche vers la mienne, alors que les péniches passent sous nous, et que les touristes nous dévisagent, Pont Saint Michel.
Me donnant ensuite le plus beau et très probablement le plus sincère de ses sourires jusque là, elle me gratifie d'une phrase qui m'a directement touché là où ça fait du bien:
"Tu es un petit con."
Petit con venant remercier les jeux auxquels nous avons joué cette soirée.
Je la quitte Odéon quelques minutes plus tard, l'embrassant encore une fois, avec cette énergie que nous connaissons tous, je ne résiste pas et décide de retourner une dernière fois avant de rejoindre des amis, au Marché aux Fleurs où je vais humer les odeurs voyageuses, Île de la Cité.
[url=http://www.youtube.com/watch?v=EZvTBtl6SzI&feature=related]Avant de rentrer chez moi, entre la gare et les 3km qui me séparent de mon oreiller[/url]