Comme son nom l'indique

Modérateurs: animal, Léo

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By lafcadio
#22117 [color=red]Matt, si tu estimes que ce thread a sa place dans la partie FR, déplace-le et je l’éditerai en conséquence.
[/color]
Indomptable ne veut pas dire inmontable. Elle voulait même (explicitement) que je la monte...

Dans le prolongement d'une réponse que j’ai posté hier, je vous fais part d'une histoire hallucinante que je viens de vivre. C'eut pu être un FR, mais là, je suis bloqué après un game bien mené (globalement : la perfection est une finalité vers laquelle il faut tendre en sachant qu’on ne pourra jamais l’atteindre, simple être humain que l'on est), donc j’ai besoin de vos conseils avisés que je sais d’avance précieux.

En sortant d'une nuit blanche de boulot le 6 juillet (je m'en souviens car un ami se mariait le lendemain - non, pas Tony Parker, bande de lecteurs de gala!), je rentre chez moi, glande toute la matinée entre lit et café, et décide de me bouger le cul et de sortir me promener (pas draguer : je ne sors jamais pour draguer, mais séduction en même temps que je fais autre chose). Je rentre dans un temple de la tendance parisienne (assez insuportable d'ailleurs) et me retrouve né à né avec une vendeuse du lieu. Une jolie jeune fille qui m'a beaucoup plu lorsque, retournée, j'ai aperçu ses fuck-me-shoes de killeuse. Bref, je décide de la séduire ; on discute et je la fais rire (en lui disant la vérité en plus : du realstorytelling sur le mariage et tout et tout). Tout d'un coup, sans signe avant coureur, elle me tend la main et dit : "Lafcadio, vous êtes très sympa, j'ai été ravie".

Sur le coup, j'ai pensé à un faux-pas de ma part et me suis dit que j'avais sexué un peu trop fort (une réplique sur la vie et le fait d'être à quatre pattes, je sais plus bien). Je m'étais dit : c'est mort. Je next.

Trois mois s'écoulent. Ce samedi, je me rends dans cette boutique après avoir bossé toute la journée. Je déhanbule à côté des fluo kids à deux sous et, au détour d'un rayon, je vais voir si, par hasard, elle serait là. Elle l'était, entourée de beaucoup de personnes. Et là, elle se tourne vers moi et dit : "Lafcadio ! Vous ici ?". Elle se souvenait de moi et de mon prénom, ce que je le lui fais immédiatement remarquer. Elle était entourée de mecs qui lui filaient leur mail pour je ne sais quoi en la draguant à moitié.

Elle s'approche de moi, on discute sur un train d’enfer. Elle a une pêche ! Jamais vue autant d’énergie chez une nana. Au point que je croyais (dès le 6 juillet) qu’elle prenait de la C. Mais non. Dans le flot de la conversation, elle m'annonce qu'elle a des problèmes avec sa boss qui veut la virer.

E : Que faites-vous dans la vie (je pense qu'elle s'en souvenait, vu qu'elle se souvenait de moi)
M : ou là là, vous êtes une golddigger, vous...
E : comment ?
M : oui, vous en avez après mon argent pour vouloir savoir ce que je fais. Je suis juriste (je reste vague exprès pour me démonstration de valeur lorsqu'elle me posera des questions sur son licenciement).

Elle me déballe toute son histoire. Qu'elle a un copain d'un copain qui lui a dit d'aller voir un copain. Je lui réponds qu'il faut aller voir quelqu'un de confiance...

Et je change très vite de sujet pour que notre discussion ne se transforme pas en consultation juridique... mais débouche sur un numclose. Je n’espérais que cela.

Elle me dit que j'ai changé de lunettes, qu'elles me vont très bien, etc. Que j'ai l'air beaucoup plus beau que la dernière fois qu'elle m'a vue... Je lui dis qu'elle non, elle est toujours pareille (sans la qualifier...). Je ne sais plus comment elle en est venue à me demander ce que je lisais en ce moment, et je lui parle de mes lectures (Marcel Schwob, Vies imaginaires : elle ne connaissait pas). Je vous le conseille d'ailleurs.

S'ensuit un dialogue que je n'oublierai pas de sitôt (nous nous vouvoyons, et nous vouvoyons toujours après une nuit passée ensemble car cela fait partie du jeu (érotique) dans lequel nous sommes entrés - avec délectation pour ma part je dois bien l'avouer...) :

E : Lafcadio, donnez-moi votre numéro qu'on reparle de ces livres
M : Chère C., vous m'en voyez désolé, mais vous devez apprendre que je ne donne jamais mon numéro aux femmes qui me le demandent. Sinon, je me fais harceler sans arrêt et c'est très désagréable lorsque je suis en charmante compagnie.
E : Votre mail alors ?
M : Je dois réitérer mon refus.
E (me regardant droit dans les yeux) : Vous savez, je ne fais jamais cela et en m'opposant un refus, vous m'offusquez beaucoup (en gros, elle a fait un effort et je résiste. C'est bon, ça...)
M : Et bien j'en suis désolé, mais c’est comme ça.
E (réfléchissant un instant) : Que faites-vous maintenant ?
M : Rien, et vous ? (là, j'ai manqué de répartie : j'aurais dû dire : « je vais boire un verre avec vous, pourquoi ? »)
E (un peu gênée derrière une carapace – très dure à fendre, et c’est bien là mon problème !) Allons boire un verre.
M : Soit (la boutique allait fermer).
E : alors attendez-moi dehors, j'arrive.

Je quitte la boutique sans me retourner. En attendant, je reconsidère ce qui vient de se passer et me dit : si cela se trouve, ce n'est que pour son problème de licenciement. Voyons. Un verre n'engage à rien. Au pire, j'aurai bien commencé la soirée!

Elle sort et nous nous rendons au fumoir.

HS : Je sais, ça fait très spikeseduction d’aller au fumoir et c’est ce que je me dis à chaque fois que je m’y installe pour boire un maté, mais je fréquentais ce bar avant de connaître ce site. Je l'adore car j'y ai des souvenirs très heureux – et très malheureux. Cela me rappelle pourquoi et comment ma vie a changé un soir de grand vent durant l’été 2006. J’y vais travailler, écrire, lire. L’atmosphère y est en soi hors du temps (surtout le soir en semaine) et tout à la fois pesante et légère pour moi. J’aime ces sensations.Et quelle vue ! (hors le raphaël – la terrasse, hein, pas le bar – juste à côté des cabinets d’avocat)

Revenons à notre jolie demoiselle. On s’installe en terrasse. Elle déborde d’énergie et a une répartie à faire pâlir n’importe quel séducteur, vous pouvez me croire car je ne suis pas du genre à m’offusquer pour une vulgarité prononcée avec dignité (est-ce encore, dans ce cas, vulgaire ?). Je déploie toute l'énergie que j'ai pour rester dans la course. Et ça marche. Elle le voit et cela la satisfait - visiblement (elle voit tout, cela me sidère). Un jeu s'installe sur le ton : c'est moi qui leade, et pas toi ; chacun d'entre nous cherche à prendre le dessus sur l'autre jusqu'au point de rupture. Tout le monde en terrasse ou dans la rue nous regardaient avec des yeux… Nous faisons des commentaires hilarants sur le look des passants et des clients (quid du manteau « robe de chambre » cet hiver, du pantaon tire-bouchon, des collants gris opauqe, du look « courteney Love », de la couleur moutarde de dijon ?). On voit passer Francis Ford Copolla – sans Sofia. Et elle me raconte sa vie ; m’interroge sur la mienne (que je distille avec parcimonie).

On discute avec la table d’à côté (trois types – dont un avait l’air gay refoulé, et elle le lui fait remarquer – le mec n’a plus rien dit ensuite ! – mal habillés, mais les deux autres étaient au moins sympas). Ils me permettent de me démonstration de valeur et de lui chuchoter des choses persos à l’oreille. A tel point que, lorsqu’elle se lève pour aller se rafraîchir :

voisins : vous sortez ensemble ?
M : Non.
voisins : Vous vous connaissez depuis longtemps ?
M : « depuis une heure ».
voisins : :shock:

Elle revient. Ils partent un quart d’heure après. Et là, tout devient plus calme et intime. baiser après avoir manqué une première fenêtre (et elle me le dit !). En m’embrassant une seconde fois, elle me met un noyau d’olive dans la bouche :shock: et on rit (ça paraît trash comme ça, mais c’était fait avec une telle désinvolture que cela en devenait noble – je n’ai pas d’autre qualificatif).

Je lui dis que j’ai faim, que j’ai envie de dîner. Elle me parle de tartiflette qu’elle fait elle-même (pas vraiment glamour, mais surtout totalement décalée, et cela entre dans son personnage : j’adore !). Je lui demande si elle sait faire autre chose parce que si les dix prochaines années, on se nourrit d’amour et de tartiflette, je crains pour nos physiques respectifs.

Puis, je lui dis que c’est elle qui m’a invité à boire un verre, et que c’est donc elle qui doit payer l’addition parce que j’adore que les femmes m’invitent à boire un verre. Elle prend à nouveau son air offusqué (c'est bon, ça). Je me lève pour aller pisser (sans rien dire) et en revenant, m’apprête à régler. Je sors. La table est débarrassée, elle n’est plus là (j’ai cru qu’elle était partie, mais en fait – pour ceux qui connaissent les lieux – elle m’attendait sagement adossée contre la grille face à l'entrée du bar - et à nouveau elle le voit et en rit).

baiser contre la grille devant tout les clients attablés qui mattent. On s’enfuit chez elle.

Et là, tout part en vrille. Complètement. J’avais l’impression de vivre l’histoire d’un porno chic. A peine la porte de son appart’ ouverte, je n’ai même pas le temps de faire le tour visuel de son appartement qu’elle se déshabille (oui, messieurs, devant moi, direct !) et qu’elle va prendre une douche. Elle laisse la porte ouverte, me dit d’entrer (invitation sous la douche ou pas, quoi qu'il en soit, je ne relève pas) et on parle C&F pendant 20 minutes. Elle entrouvre le rideau transparent et me montre son corps ; je regarde et relève la tête. Et elle dit : « j’ai gagné ! » (genre, tu n'as pas osé regarder plus longtemps). Elle prend de l’eau dans sa bouche et la recrache en ma direction contre le rideau. Deux exemples parmi d’autres pour vous comprendre quel jeu s’installe...

E : « ça vous arrive souvent d’aller dans l’appartement d’une inconnue comme ce soir ?"
M : « deux à trois fois par semaine, cela dépend de la saison »
E (un peu troublé car elle n’a pas réussi à m’avoir. Là, j'aurais du dire : "j'ai gagné") : moi, ce n’est que la troisième fois que ça m’arrive depuis que je suis à Paris (depuis un an et demi).

Sauf qu’en faisant le tour visuel de son appart’, je tombe sur des photos de magazine un peu trash sex, et elle a même, accroché au-dessus de sa plaque de cuisson, une corde à sauter qui fait office de lampe et dont les poignée sont des bites… Tout cela est très tendance certes, mais surtout très tendancieux… (est-ce du lard, ou du cochon ? Qu’en pensez-vous ?)

Elle s’habille (enfin, s’habiller, c’est beaucoup dire ! Débardeur en jersey de coton blanc et en petit short) et me montre ses chaussures. Je reconnais les fuck-me-shoes de la première rencontre. Je lui dis que je les trouve superbes. Elle les enfile !!!

E : baisons-nous tout de suite, ou bien dînons-nous comme les couples ordinaires ?
M : Faisons semblant d’être un couple ordinaire (si j’avais dit « vulgaire », au sens de "commun", cela aurait été parfait. C'était cependant bien difficile, vu sa tenue !).

Et voici Madame me faisant de la tartiflette à moitié (dé)vêtue et en talon aiguille ! Chaussure qu’elle ne quittera plus sauf pour se mettre au lit.

Après dîner, baiser et on se dirige dans sa chambre. Je vous épargne les détails, mais elle est vraiment libérée. La nuit pénètre déjà qui oscille entre discussions et confidences sur l’oreiller, scènes torrides (limite sm, mmh…) et gestes tendres.

Elle me parle de sexe, de sodomie, etc. (ce qui ne me choque pas du tout), mais surtout de triolisme, d’échangisme, etc. (là, je ne suis pas trop friand). Je lui réponds en la regardant droit dans les yeux : « en sexe, je suis assez exclusif ».

On se tutoie parfois par inadvertance, et une fois, elle me reprend :
E : « On ne va tout de même pas se tutoyer. Ce n’est pas parce que nous sommes plus intimes de quelques doigts que nous devons tomber dans ce travers ».

Je n’ai toutefois pas couché avec car Madame n’aime pas baiser avec une capote et, vu son goût du sexe…

Vers trois heures du matin (nouvelle heure), elle me dit très naturellement : « Cher Lafcadio, je suis très vieux jeu, nous ferons chambre à part : vous ne dormirez pas chez moi ». Je me dis : elle me vire de manière très classieuse de chez elle, donc ONS. Sauf que la suite m’en fait douter. Dites-moi ce que vous en pensez.

Je me rhabille et au milieu de son salon :

E : « on ne va tout de même pas prendre nos numéros respectifs ? »
M : « Mais bien sûr que si… »
E (après s’être numclosé) : « C’est peut-être un faux ? »

Je l’appelle et son téléphone vibre (pas son vibro…). Elle sourit et m’embrasse. (Sauf que ce n’est pas un baiser de ONS car pour une ONS, il n’y en a pas. en tout cas, perso, je n’en ai jamais eu). On ne s’embrasse pas du tout chastement (à nouveau finger close) – et elle le dit : « ceci n’est vraiment pas un baiser chaste, Lafcadio… ».

Elle me raccompagne à la porte et on se murmure de doux mots à l’oreille. Je la quitte en lui baisant la joue (comme elle l’avait fait à un moment pendant la soirée en soulignant qu’elle venait de me faire un baiser « charmant »).

De retour à la réalité, je rentre chez moi, le vent me fouettant le visage qui me réveille. Je me dis : c’était un coup pour rien. ONS. Point final.

Mais à 10h le lendemain (nouvelle heure quand même), Madame m’appelle. Je ne réponds pas. Je la rappelle hier soir. Toujours aussi décalée au téléphone.

E : « boucherie sarfati bonjour ! »
M : « chère C. ! (Je marque un blanc pour élever le drame). Vous manquerais-je déjà, que vous m’ayez déjà appelé ce matin ? Et dès l’aube en plus !
E : « C’était pour vous dire que j’ai très mal dormi. Votre parfum est très persistant » (elle m’avait fait remarquer qu’elle ne l’aimait pas trop : eau noire est très particulier, c’est vrai).
M : « Quand nous revoyons-nous ? »
E : « Je ne sais pas… »
M : « Mmh, mercredi ? »
E : « Je ne peux pas mercredi. Rappelez-moi. »
M : « Soit. »
E : « Je vous embrasse. »

C’est ici que j’en suis et que je suis bloqué. Je ne sais pas quoi faire. Je suis un peu sur le cul d’avoir rencontré une nana comme elle. Depuis ma rupture (douloureuse), c’est la première que je rencontre où je sens qu’il y a un truc.

Car cette femme a marqué assurément des points :
- énergie
- répartie ahurissante
- goût
- qualités humaines
- humour
- sexe (j’en reviens encore pas !)
- noblesse, pas vulgaire (encore une fois, la vulgarité s’évanouit lorsqu’elle est bien dite – cf. cette femme qui dit à Spike : « voulez-vous que je vous prenne dans ma bouche ? »)
- culture (même si plus actuelle que générale)
- milieu social

En termes de points cependant, il y a surtout des points d’interrogation. Et d’abord sur sa sexualité débridée. En même temps, elle me dit que lorsqu’elle se met avec quelqu’un, elle se donne totalement. Elle m’a aussi donné l’impression de porter une armure pour se protéger…

Il me faudra voir par suite, mais, et j’en viens à mes questions : me considère-t-elle comme un ONS, auquel cas j’en resterai là ; ou un plan cul, auquel cas, j’en resterai pas là (je baiserai juste mais avec capote si elle accepte, sinon next) ; ou bien veut-elle autre chose ?

Qu’en pensez-vous ?

Je oneitise, me direz-vous. Et bien non car j’ai d’autres rendez-vous cette semaine. Car, dès le lendemain, j’ai numclosé deux autres nanas (dont une – de 27 ans qui passe le concours d’avocat, très BCBG – en moins de cinq minutes) et l’autre en faisant mon marché.
Modifié en dernier par lafcadio le Lun Oct 29, 2007 10:44 pm, modifié 1 fois.
By Matt
#22146 Ben en ce qui me concerne, c'est un FR avec demande d'aide included, or "en théorie" c'est le contexte de l'aide, ça, de démarrer par un contexte de rencontre.

Sinon, j'ignorais que tu avais un niveau tel qu'il t'amène dans ce genre de situation. Si le maître veut bien accepter mes hommages respectueux...
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By lafcadio
#22159 Merci, Matt, pour ces hommages qui me touchent beaucoup, mais c'est trop. Vraiment. D'ailleurs, pour les numcloses de dimanche, je planais tellement que j'étais superman. Je n'ai aucun mérite, sinon d'y avoir été. "De l'importance du niveau d'énergie". Le succès amène le succès.

Pour tous ceux qui croient qu'ils ne sortiront pas d'une histoire qui les mine, on en sort. Et même transformé. Cela m'est arrivé il y a deux mois. Je me suis réveillé et l'image de mon ex n'est plus là. Et, comment dire, c'est libérateur. Tout est à nouveau savoureux. Et en particulier les femmes.

Sinon, qu'en pensses-tu ? Je ne sais vraiment pas quoi faire...
By Matt
#22174 [quote="lafcadio"]Sinon, qu'en pensses-tu ? Je ne sais vraiment pas quoi faire...

Alors moi, j'en n'en pense grave rien. Je laisse un "grand séducteur" te répondre plutôt que de dire des conneries sans fondement... Je m'arrête ordinairement aux aides perso du genre "j'ai la flemme de lire le site, faites-moi un résumé". :wink:
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By Juan
#22179 [quote="lafcadio"] Tout est à nouveau savoureux. Et en particulier les femmes.

"Les aliments n'ont plus de saveurs, les couleurs sont ternes..."

Ca me rappelle un film ça ;).

Concernant ton niveau de game je vais m'aligner sur Matt j'ai pas le niveau requis pour te conseiller.

En tout cas j'ai dévoré ce FR/Aide et j'espère que grâce à l'aide des "grand séducteur" du forum tu puisses prolonger ton aventure et par conséquent ton récit.

En + la description que tu fais de la jeune fille, c'est tout à fait mon type, un profil un peu original avec de l'esprit, J'ADORE !
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By Prince
#22197 C'est tentant une nana comme ça, mais elle te parle de sodo, d'échangisme et n'aime pas faire l'amour avec capote ... perso ça me calme !

De plus si sm, trio et échangisme ne sont pas ton truc, alors qu'elle t'en a parlé dés le premier soir, c'est que vous n'êtes peut être pas sur la même longueur d'onde non ?
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By lafcadio
#22203 @prince

Je n'en ai pas l'impression, mais je peux me tromper.

Précisions :

1. Lorsque je dis sm, j'entends qu'elle a eu des petits gestes tendancieux, du genre :
- lorsqu'elle a enlevé ma ceinture, elle était couché sur le dos, moi à côté d'elle sur le côté et elle m'a fouetté (doucement, hein).
- elle me serrais assez violemment avec ses cuisses
Rien d'exceptionnel, donc.

2. Lorsqu'on a parlé d'échangisme, c'était avant d'aller chez elle : elle a conseillé une boîte aux types de la table d'à côté que je connaissais de nom (le nautilus), par conséquent pour se moquer un peu d'eux puisqu'ils ne connaissaient pas. Lorsqu'elle a pronocné le nom, j'ai fait : "Ah oui, je connais..." (avec un ton et une expression du visage signifiant : "ah oui, je vois le genre...". A ce moment là, on s'est regardé et elle était assez surprise que je connaisse... En a-t-elle reparlé chez elle ? Je n'en ai plus le souvenir, mais je ne crois. Ou bien elle l'a évoqué au moment où elle a parlé de triolisme (mais une seule fois et sans s'épancher. Elle n'a en revanche jamais dit explicitement, ni même implictement qu'elle pratiquait (elle n'est d'ailleurs pas en couple, mais a un FF qu'elle n'aime pas, qui ne l'aime pas, mais qui ne peut se passer d'elle sexuellement. Elle m'a dit l'avoir envoyé chier car il ne la voyait qu'en 2e partie de soirée).
3. Lorsqu'on a parlé de triolisme, c'était dans ce sens (je résume car cela fait déjà trois jours) :
E : Je ne supporte pas les lesbiennes (on parlait d'ailleurs de sa boss...), d'ailleurs je ne saurais pas quoi faire avec une femme. En revanche, pour un homme, je peux tout faire et même trouver une autre femme pour qu'il soit comblé.
M : Et vous ne lui feriez rien à cette femme ?
E : Rien. Je ne pourrais pas. En revanche, elle pourrait m'en faire... Ce qui est dingue, c'est qu'un homme est absolument incapable de faire l'inverse pour une femme : lui trouver un autre homme...
M : Pour ma part, en matière de sexe, je suis assez exclusif...

Voilà pour les précisions. C'est ce qui me fait dire que je ne suis pas si sûre qu'on ne soit pas sur la même longueur d'onde. Mais je peux me tromper.
Modifié en dernier par lafcadio le Mar Oct 30, 2007 8:33 pm, modifié 1 fois.
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By Prince
#22255 Ok, tes précisions indiquent que ce n'est donc pas une nympho aventurière du sexe comme j'aurai pu le croire en lisant ton fr. Tant mieux, vos ondes pourront bien s'entendre qui sait.
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By lafcadio
#22272 [quote="Prince"]Ok, tes précisions indiquent que ce n'est donc pas une nympho aventurière du sexe comme j'aurai pu le croire en lisant ton fr. Tant mieux, vos ondes pourront bien s'entendre qui sait.

Oui, enfin, connais-tu beaucoup de femmes avec des bites un peu partout dans leur appart' ?

Cette histoire me fait bien marrer en tout cas :twisted:
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By Waloo
#22354 Trés bon FR en tout cas. Moi à ta place je serais aussi assez sceptique. C'est vrai que c'est super tentant une nana comme ca ou tu peut te sentir libre de tout faire, de tout dire, sans gêne et même avec un humour qu'on appécie.

Mais c'est plutot une relation à double tranchant, non?

J'ai l'impression que c'est ce genre de filles qui, aprés s'être lassée, passe à autre chose, en te nextant compltement. Le genre de truc qui ne dure qu'un temps. Tu vois ce que je veut dire, Lafcadio?

Mais bon aprés je me trompe peut être sur elle, à toi de me dire.
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By Iliad
#22362 Sympa ton FR, c'est tellement bon quand ca part en vrille...

Ce qui est sur c'est qu'elle est branchée cul, concernant l'histoire de capotes tu en as parlé avec elle pour savoir comment elle gère les risques si elle n'en utilise pas ?
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By lafcadio
#22421 [quote="Waloo"]J'ai l'impression que c'est ce genre de filles qui, aprés s'être lassée, passe à autre chose, en te nextant compltement. Le genre de truc qui ne dure qu'un temps. Tu vois ce que je veut dire, Lafcadio?

En même temps, j'ai pas l'intention - pour l'instant - d'aller au-delà d'un truc qui ne dure qu'un temps. Les prochains rendez-vous le diront.

[quote]Mais bon aprés je me trompe peut être sur elle, à toi de me dire.

J'ai pas grand chose à dire de plus. Je ne la connais pas ; elle ne me connait pas. Tout ce que je sais, c'est que j'ai envie de la revoir pour voir si elle me plaît vraiment, essayer de percer au fur et à mesure la façade qu'elle affiche.

[quote="Iliad"]Ce qui est sur c'est qu'elle est branchée cul, concernant l'histoire de capotes tu en as parlé avec elle pour savoir comment elle gère les risques si elle n'en utilise pas ?

Pas vraiment. Elle m'a juste dit qu'elle avait fait un test récemment et que c'était ok. Rien de vraiment convaincant donc. Par conséquent : pas de coït!


@tous : ce que j'aimerai savoir, c'est le game plan que vous adopteriez pour un nouveau rendez-vous... Quand rappeler ? Que proposer ? Allez, un peu d'imagination !

Pour info : elle ne m'a pas rappelé et j'en ai fait de même. Donc, black out pour l'heure (de toute façon, j'avais pas le temps de faire quoi que ce soit jusqu'à ce soir...
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By Pliskin
#22430 [quote]E : « boucherie sarfati bonjour ! »
M : « chère C. ! (Je marque un blanc pour élever le drame). Vous manquerais-je déjà, que vous m’ayez déjà appelé ce matin ? Et dès l’aube en plus !
E : « C’était pour vous dire que j’ai très mal dormi. Votre parfum est très persistant » (elle m’avait fait remarquer qu’elle ne l’aimait pas trop : eau noire est très particulier, c’est vrai).
M : « Quand nous revoyons-nous ? »
E : Je ne sais pas…
M : « Mmh, mercredi ? »
E : « Je ne peux pas mercredi. Rappelez-moi. »
M : « Soit. »
E : « Je vous embrasse.

Ton histoire m'a rappelé une personne, jeune fille; une jeune folle devrais-je dire, bref...

J'ai mis en gras, ce qui ma semblé être les points cruciaux (entre autres). Tu rappelles et propose un rdv; mlle te fait du womanese; soit son niveau d'intérêt est peu élevé, soit j'interprète mal. Mon avis: Cette meuf ne cherche pas un mec pour une relation sérieuse; tu as bien déroulé jusqu'ici et le fait de ne pas Fuckcloser ce soir là a attisé son intérêt; une fois le fuckclose réalisé(si jamais cela se fait), je serais curieux de voir quelle sera son attitude.

Perso, elle a le profil d'une FF potentielle plutôt que d'une relation longue. Quant à un gameplan, je ne saurais te conseiller quelque chose de précis.
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By lafcadio
#22446 [quote="Pliskin"][quote]E : « boucherie sarfati bonjour ! »
M : « chère C. ! (Je marque un blanc pour élever le drame). Vous manquerais-je déjà, que vous m’ayez déjà appelé ce matin ? Et dès l’aube en plus !
E : « C’était pour vous dire que j’ai très mal dormi. Votre parfum est très persistant » (elle m’avait fait remarquer qu’elle ne l’aimait pas trop : eau noire est très particulier, c’est vrai).
M : « Quand nous revoyons-nous ? »
E : Je ne sais pas…
M : « Mmh, mercredi ? »
E : « Je ne peux pas mercredi. Rappelez-moi. »
M : « Soit. »
E : « Je vous embrasse.

Ton histoire m'a rappelé une personne, jeune fille; une jeune folle devrais-je dire, bref...

J'ai mis en gras, ce qui ma semblé être les points cruciaux (entre autres). Tu rappelles et propose un rdv; mlle te fait du womanese; soit son niveau d'intérêt est peu élevé, soit j'interprète mal. Mon avis: Cette meuf ne cherche pas un mec pour une relation sérieuse; tu as bien déroulé jusqu'ici et le fait de ne pas Fuckcloser ce soir là a attisé son intérêt; une fois le fuckclose réalisé(si jamais cela se fait), je serais curieux de voir quelle sera son attitude.

Perso, elle a le profil d'une FF potentielle plutôt que d'une relation longue. Quant à un gameplan, je ne saurais te conseiller quelque chose de précis.

J'ai oublié un détail qui a peut-être son importance : lors de la conversation téléphonique, elle m'a demandé ce que je faisais le soir même (j'avais du boulot pour le lendemain).
By ChiffreRouge
#22449 [quote="Pliskin"]
Perso, elle a le profil d'une FF potentielle plutôt que d'une relation longue. Quant à un gameplan, je ne saurais te conseiller quelque chose de précis.

J'ai plutôt senti ça aussi, fclose et tu verras bien après.