- Dim Oct 02, 2011 9:12 am
#113603
Laissez moi vous raconter comment je prends 2 râteaux en l'espace de 6 mois avec 2 filles différentes qui travaillent dans le même service que moi ...
Petite précision : nous sommes tous les 3 mariés avec des enfants, elles 2 ont aux alentours des 35 ans, moi 45
L'histoire commence il y a 1 an durant l'été 2010
Je commence à repérer quelques signes d’intérêts chez Sandrine : nous nous croisons fortuitement en dehors des bâtiments lors d'une réunion syndicale et la, voilà que me voyant arrivé dans sa direction , elle commence à s'agiter dans tous les sens comme un pantin désarticulé, me fait penser à un lion qui tourne nerveusement dans sa cage, elle a apparemment beaucoup de mal à cacher un certain niveau d'intimidation à mon égard. Point important à signaler, nous étions seuls tous les 2, c.a.d. entourés d'une foule d’autres personnes, mais personne d'autre de notre service ou de connu. Bref, ce signe d’intérêt là ne pouvait être que pour moi.
A la même période, je constaterai plusieurs fois des signes du même acabit, bien que ces autres fois nous sommes entourés d'autres personnes, mais celà vient tout de même confirmer le 1er diagnostic
Puis enfin toujours durant l'été 2010 lors d'une réunion je la vois se lancer dans une opération de séduction de grande envergure, faisant son show, jetant ces cheveux en arrière, dressant son buste pour arranger ses cheveux ... etc ... bref, il semble bien qu'elle cherche à séduire un des hommes présent dans la réunion. Je vois d'ailleurs au regard d'une autre fille présente dans la réunion qu'elle n'est pas dupe et sent bien elle aussi que Sandrine en fait "un peu trop". Je suis assis à côté de Sandrine, 5 minutes après son show la voilà qui caresse mon bras de l'épaule jusqu'au coude, l'air de rien, comme si elle avait fait ça machinalement ...
Ca plante le décor, non ?
A cette époque en fait je ne m’intéresse pas du tout à cette fille (ce qui peut expliquer pourquoi elle s'interesse à moi)
L'automne arrive et voilà que des envies me poussent dans le cerveau, je commence à faire ma crise de la quarantaine. Sandrine ne m’intéresse toujours pas, par contre voilà que Marylène me fait les yeux doux.
Marylène n'est pas une fille que l'on remarque de suite, elle s"habille mal et est plutôt discrète (elle en fait beaucoup moins que Sandrine) mais en revanche quand on prend la peine de s’intéresser un peu à elle on réalise que c'est une fille résolument charmante, un sourire délicieux, un regard profondément teinté d'affectuosité, une simplicité désarmante dans les rapports humains et juste ce qu'il faut d'ingénuité, bref l'incarnation de la douceur féminine telle qu'on en rêve tous, tout ça dans un joli corps de sportive qu'elle nous promène sous les yeux avec une sensualité désarmante. Rajoutons-y un bel accent du sud-ouest, une peau mâte avec de beaux cheveux noirs. Chez Marylène la séduction n'est pas une question d'apparence, c'est juste dans sa nature profonde, ce qui la rend d'autant plus dangereuse, car on ne se méfie pas.
Bref vous l'avez compris, il me faut pas moins de 3 mois pour tomber complètement amoureux d'elle (je vous passe tous les détails qui m'ont conduit dans cette impasse). Pour la première fois dans ma vie je fais même un obsession amoureuse. Je finis par le lui avouer dans un beau mail très romantique (mais tout en gardant un minimum de dignité) au début du mois de mars de cette année. Elle est forcement très touchée mais sa réponse est sans équivoque : elle est amoureuse de son mari, rien à espérer de mon côté. Il me faudra plusieurs mois pour m'en remettre et je finis par comprendre que je suis tombé sur une Attention-sucker.
Pour m'aider à l'entreprise de démolition des fantasmes que je me suis construit (tout seul ?) au sujet de Marylène, il me faut m’intéresser à d'autres femmes, histoire de répartir un peu ma charge amoureuse sur d'autres : Sandrine est toujours là, je la regarde d'un peu plus près et m'aperçois qu'elle a toujours de l’intérêt pour moi. A plusieurs reprises que perçois un trouble assez net chez elle, lorsque on se croise dans les couloirs où lorsque le matin je m'avance en sa direction pour lui faire la bise par exemple
Je décide donc de "draguer" Sandrine en adoptant avec elle une attitude plus chaleureux que d'habitude. (je ne peux guère faire mieux car dans le service nous sommes constamment entourés d'autres personnes, et n'avons que très rarement voire jamais l'occasion de nous retrouver seul à seul)
Sandrine est très réceptive à mes "assauts" et j'aurai droit à quelques sourires entendus (genre en ce pinçant les lèvres) comme pour me montrer que je suis sur le bon chemin. Ses tenues vestimentaires changent soudainement, là voilà qui met ses plus belles robes, petits décolletés à balconnet qu'elle promène astucieusement sous mon nez dans l'espoir que mon regard se perde 20 cm plus bas, et il faut bien avouer que finalement Sandrine est loin d'être moche, côté séduction elle a de quoi assurer
Au fils des semaines Sandrine se fait de plus en plus mielleuse, si bien que je finis par me demander si elle est pas un peu amoureuse
Nouveau signe d’intérêt très marqué : Lors d'un repas à la cantine, la voilà qui se saisit de mon avant-bras et l'entourant de sa main (mains qu'elle a forts jolies d'ailleurs) et le "branle" littéralement pendant quelques secondes d'un geste très sensuel. En admettant même que ce geste eut été inconsciemment lâché, on ne m’enlèvera jamais l’interprétation symbolique que l'on peut faire d'un tel acte
Mais à son retour de congés de Pâques, la voilà qui me joue un chaud-froid : tout d'un coup elle me fait ostensiblement la tête, ne sort plus ses belles tenues, évite tout contact avec moi (genre elle "oublie" de passer dans mon bureau pour faire la bise du matin, ne vient que plus rarement à la cantine, ...). Elle est mariée comme moi donc je prends cela comme la peur de l'interdit de sa part. Elle me lâchera (de façon indirecte et sous le prétexte d'un dossier professionnel) : "... Désolé, je suis une femme compliquée ..."
Je continue tout de même à la chauffer et ce petit manège dure quelques semaines jusqu'aux congés d'été, ou nous ne nous voyons plus pendant 2 mois. Pendant ces 2 mois ça commence à me pourrir la tête, je lutte pour pas tomber amoureux, en même temps ça me fait du bien car je peux relativiser mes sentiments pour Marylène (qui entretemps était parti en congés maternité)
La rentrée arrive, les relations avec mon épouse se font bien meilleures que par le passé, je déborde d'affection en ce moment (voire plutôt de manque d'affection) et ma femme est réceptive à cette attitude.
Du coup je relativise ma relation naissante avec Sandrine, et plutôt que de me lancer dans une aventure compliquée je décide de laisser tomber. Mais le jour de la rentrée de Sandrine me donne une piqure de rappel, elle a remit ses plus belles robes, se fait de plus en plus mielleuse avec moi, nous nous aventurons à quelques allusions. Bref, c'est reparti comme en 40, et malgré mes bonnes résolutions (je ne suis qu'un homme) je sens que ça boue à l’intérieur de moi, l'envie de la baiser est plus forte que tout, et le risque de tomber amoureux n'est pas loin. Je ne veux pas prendre le risque d'un second obsession amoureuse, et je décide de passer à l'action
Fin septembre (donc il y a quels jours ), je lui envoi un mail dès le matin :
- Moi : "Sandrine, voudrais-tu venir déjeuner avec moi ce midi ?"
- Elle : "Que de secrets !... Pourquoi ce tête-à-tête ? Désolé j'ai un déjeuner avec une copine ce midi. Sinon oui "
- Moi (sur de mon coup) : "Nous sommes dans une attirance mutuelle tous les 2, ou bien me serais-je trompé ? je voudrais que nous en discutions ensemble pour voir de quelle façon on se positionne par rapport à ça"
- Elle : "Ah oui ... je comprends mieux maintenant, alors autant être franche avec toi : tu ne m'attire pas du tout. Mais je t’apprécie beaucoup ... etc ... "
- Moi (décomposé) : "Tu me surprend énormément. J'ai du avoir des hallucinations, il faut que j’aille voir un psy ..."
Après une suite d'échanges par mail nous finissons par convenir d'une entrevue tous les 2 au point café à une heure tardive ou nous pouvons discuter tranquillement tous les 2
Je suis 100% sincère et lui explique les raisons pour lesquelles je me suis intéressé à elle, le contexte (crise quarantaine, crise avec ma femme ...) mais par égard pour elle je ne lui parle pas de Marylène. Par contre je minimise mon implication en lui expliquant que je ne me serais jamais intéressé à elle si je n'avais pas cru détecter des signes d’intérêt de sa part, tout en lui concédant que "elle me plaisait bien". Je lui précise aussi, que à partir du moment où il n'y avait pas réciproque je ne m'accrocherai à aucun espoir, lui laissant entendre que pour moi l'histoire se terminait bien là
Il est temps pour elle de se confier : je lui demander de se confronter aux signes d’intérêt que j'ai détecté chez elle (je lui cite tout ce que je vous ai raconté plus haut) : elle nie tout en bloc
Elle ne peut pas nier les "attouchements" mais prêche l'innocence (selon elle ses amis hommes la touchent souvent donc elle finit par en faire autant avec d'autres hommes sans s'en rendre compte)
Quand je lui parle de mon attitude plus chaleureuse du mois d'Avril, elle dis n'avoir rien remarqué
La situation psychologique n'est pas du tout à mon avantage. Elle rayonne, se sent très valorisée et mois je suis dans mes petits souliers ... Je suis d'un naturel très (trop ?) gentil et ça m'est tout simplement impossible de renverser la situation , je n'ai pas beaucoup de levier pour lui faire cracher le morceau ...
Votre avis ?
Faite vous la même analyse que moi, à savoir qu'elle n'est pas sincère, et que son attitude nihiliste contraste trop avec les signes d’intérêts que j'ai pu remarquer ?
Je peut admettre que j'ai pu broder 2 ou 3 choses dans l'histoire et me faire mon petit film, mais de là à avoir tout inventé de A à Z ...
Voilà donc comment je me retrouve dans mon service à m'être pris 2 râteaux en l'espace de 6 mois, l'un avec une fille dont je suis tombé éperdument amoureux l'autre que j'ai passionnément envie de baiser
Toutes vos réactions sont les bienvenues
Petite précision : nous sommes tous les 3 mariés avec des enfants, elles 2 ont aux alentours des 35 ans, moi 45
L'histoire commence il y a 1 an durant l'été 2010
Je commence à repérer quelques signes d’intérêts chez Sandrine : nous nous croisons fortuitement en dehors des bâtiments lors d'une réunion syndicale et la, voilà que me voyant arrivé dans sa direction , elle commence à s'agiter dans tous les sens comme un pantin désarticulé, me fait penser à un lion qui tourne nerveusement dans sa cage, elle a apparemment beaucoup de mal à cacher un certain niveau d'intimidation à mon égard. Point important à signaler, nous étions seuls tous les 2, c.a.d. entourés d'une foule d’autres personnes, mais personne d'autre de notre service ou de connu. Bref, ce signe d’intérêt là ne pouvait être que pour moi.
A la même période, je constaterai plusieurs fois des signes du même acabit, bien que ces autres fois nous sommes entourés d'autres personnes, mais celà vient tout de même confirmer le 1er diagnostic
Puis enfin toujours durant l'été 2010 lors d'une réunion je la vois se lancer dans une opération de séduction de grande envergure, faisant son show, jetant ces cheveux en arrière, dressant son buste pour arranger ses cheveux ... etc ... bref, il semble bien qu'elle cherche à séduire un des hommes présent dans la réunion. Je vois d'ailleurs au regard d'une autre fille présente dans la réunion qu'elle n'est pas dupe et sent bien elle aussi que Sandrine en fait "un peu trop". Je suis assis à côté de Sandrine, 5 minutes après son show la voilà qui caresse mon bras de l'épaule jusqu'au coude, l'air de rien, comme si elle avait fait ça machinalement ...
Ca plante le décor, non ?
A cette époque en fait je ne m’intéresse pas du tout à cette fille (ce qui peut expliquer pourquoi elle s'interesse à moi)
L'automne arrive et voilà que des envies me poussent dans le cerveau, je commence à faire ma crise de la quarantaine. Sandrine ne m’intéresse toujours pas, par contre voilà que Marylène me fait les yeux doux.
Marylène n'est pas une fille que l'on remarque de suite, elle s"habille mal et est plutôt discrète (elle en fait beaucoup moins que Sandrine) mais en revanche quand on prend la peine de s’intéresser un peu à elle on réalise que c'est une fille résolument charmante, un sourire délicieux, un regard profondément teinté d'affectuosité, une simplicité désarmante dans les rapports humains et juste ce qu'il faut d'ingénuité, bref l'incarnation de la douceur féminine telle qu'on en rêve tous, tout ça dans un joli corps de sportive qu'elle nous promène sous les yeux avec une sensualité désarmante. Rajoutons-y un bel accent du sud-ouest, une peau mâte avec de beaux cheveux noirs. Chez Marylène la séduction n'est pas une question d'apparence, c'est juste dans sa nature profonde, ce qui la rend d'autant plus dangereuse, car on ne se méfie pas.
Bref vous l'avez compris, il me faut pas moins de 3 mois pour tomber complètement amoureux d'elle (je vous passe tous les détails qui m'ont conduit dans cette impasse). Pour la première fois dans ma vie je fais même un obsession amoureuse. Je finis par le lui avouer dans un beau mail très romantique (mais tout en gardant un minimum de dignité) au début du mois de mars de cette année. Elle est forcement très touchée mais sa réponse est sans équivoque : elle est amoureuse de son mari, rien à espérer de mon côté. Il me faudra plusieurs mois pour m'en remettre et je finis par comprendre que je suis tombé sur une Attention-sucker.
Pour m'aider à l'entreprise de démolition des fantasmes que je me suis construit (tout seul ?) au sujet de Marylène, il me faut m’intéresser à d'autres femmes, histoire de répartir un peu ma charge amoureuse sur d'autres : Sandrine est toujours là, je la regarde d'un peu plus près et m'aperçois qu'elle a toujours de l’intérêt pour moi. A plusieurs reprises que perçois un trouble assez net chez elle, lorsque on se croise dans les couloirs où lorsque le matin je m'avance en sa direction pour lui faire la bise par exemple
Je décide donc de "draguer" Sandrine en adoptant avec elle une attitude plus chaleureux que d'habitude. (je ne peux guère faire mieux car dans le service nous sommes constamment entourés d'autres personnes, et n'avons que très rarement voire jamais l'occasion de nous retrouver seul à seul)
Sandrine est très réceptive à mes "assauts" et j'aurai droit à quelques sourires entendus (genre en ce pinçant les lèvres) comme pour me montrer que je suis sur le bon chemin. Ses tenues vestimentaires changent soudainement, là voilà qui met ses plus belles robes, petits décolletés à balconnet qu'elle promène astucieusement sous mon nez dans l'espoir que mon regard se perde 20 cm plus bas, et il faut bien avouer que finalement Sandrine est loin d'être moche, côté séduction elle a de quoi assurer
Au fils des semaines Sandrine se fait de plus en plus mielleuse, si bien que je finis par me demander si elle est pas un peu amoureuse
Nouveau signe d’intérêt très marqué : Lors d'un repas à la cantine, la voilà qui se saisit de mon avant-bras et l'entourant de sa main (mains qu'elle a forts jolies d'ailleurs) et le "branle" littéralement pendant quelques secondes d'un geste très sensuel. En admettant même que ce geste eut été inconsciemment lâché, on ne m’enlèvera jamais l’interprétation symbolique que l'on peut faire d'un tel acte
Mais à son retour de congés de Pâques, la voilà qui me joue un chaud-froid : tout d'un coup elle me fait ostensiblement la tête, ne sort plus ses belles tenues, évite tout contact avec moi (genre elle "oublie" de passer dans mon bureau pour faire la bise du matin, ne vient que plus rarement à la cantine, ...). Elle est mariée comme moi donc je prends cela comme la peur de l'interdit de sa part. Elle me lâchera (de façon indirecte et sous le prétexte d'un dossier professionnel) : "... Désolé, je suis une femme compliquée ..."
Je continue tout de même à la chauffer et ce petit manège dure quelques semaines jusqu'aux congés d'été, ou nous ne nous voyons plus pendant 2 mois. Pendant ces 2 mois ça commence à me pourrir la tête, je lutte pour pas tomber amoureux, en même temps ça me fait du bien car je peux relativiser mes sentiments pour Marylène (qui entretemps était parti en congés maternité)
La rentrée arrive, les relations avec mon épouse se font bien meilleures que par le passé, je déborde d'affection en ce moment (voire plutôt de manque d'affection) et ma femme est réceptive à cette attitude.
Du coup je relativise ma relation naissante avec Sandrine, et plutôt que de me lancer dans une aventure compliquée je décide de laisser tomber. Mais le jour de la rentrée de Sandrine me donne une piqure de rappel, elle a remit ses plus belles robes, se fait de plus en plus mielleuse avec moi, nous nous aventurons à quelques allusions. Bref, c'est reparti comme en 40, et malgré mes bonnes résolutions (je ne suis qu'un homme) je sens que ça boue à l’intérieur de moi, l'envie de la baiser est plus forte que tout, et le risque de tomber amoureux n'est pas loin. Je ne veux pas prendre le risque d'un second obsession amoureuse, et je décide de passer à l'action
Fin septembre (donc il y a quels jours ), je lui envoi un mail dès le matin :
- Moi : "Sandrine, voudrais-tu venir déjeuner avec moi ce midi ?"
- Elle : "Que de secrets !... Pourquoi ce tête-à-tête ? Désolé j'ai un déjeuner avec une copine ce midi. Sinon oui "
- Moi (sur de mon coup) : "Nous sommes dans une attirance mutuelle tous les 2, ou bien me serais-je trompé ? je voudrais que nous en discutions ensemble pour voir de quelle façon on se positionne par rapport à ça"
- Elle : "Ah oui ... je comprends mieux maintenant, alors autant être franche avec toi : tu ne m'attire pas du tout. Mais je t’apprécie beaucoup ... etc ... "
- Moi (décomposé) : "Tu me surprend énormément. J'ai du avoir des hallucinations, il faut que j’aille voir un psy ..."
Après une suite d'échanges par mail nous finissons par convenir d'une entrevue tous les 2 au point café à une heure tardive ou nous pouvons discuter tranquillement tous les 2
Je suis 100% sincère et lui explique les raisons pour lesquelles je me suis intéressé à elle, le contexte (crise quarantaine, crise avec ma femme ...) mais par égard pour elle je ne lui parle pas de Marylène. Par contre je minimise mon implication en lui expliquant que je ne me serais jamais intéressé à elle si je n'avais pas cru détecter des signes d’intérêt de sa part, tout en lui concédant que "elle me plaisait bien". Je lui précise aussi, que à partir du moment où il n'y avait pas réciproque je ne m'accrocherai à aucun espoir, lui laissant entendre que pour moi l'histoire se terminait bien là
Il est temps pour elle de se confier : je lui demander de se confronter aux signes d’intérêt que j'ai détecté chez elle (je lui cite tout ce que je vous ai raconté plus haut) : elle nie tout en bloc
Elle ne peut pas nier les "attouchements" mais prêche l'innocence (selon elle ses amis hommes la touchent souvent donc elle finit par en faire autant avec d'autres hommes sans s'en rendre compte)
Quand je lui parle de mon attitude plus chaleureuse du mois d'Avril, elle dis n'avoir rien remarqué
La situation psychologique n'est pas du tout à mon avantage. Elle rayonne, se sent très valorisée et mois je suis dans mes petits souliers ... Je suis d'un naturel très (trop ?) gentil et ça m'est tout simplement impossible de renverser la situation , je n'ai pas beaucoup de levier pour lui faire cracher le morceau ...
Votre avis ?
Faite vous la même analyse que moi, à savoir qu'elle n'est pas sincère, et que son attitude nihiliste contraste trop avec les signes d’intérêts que j'ai pu remarquer ?
Je peut admettre que j'ai pu broder 2 ou 3 choses dans l'histoire et me faire mon petit film, mais de là à avoir tout inventé de A à Z ...
Voilà donc comment je me retrouve dans mon service à m'être pris 2 râteaux en l'espace de 6 mois, l'un avec une fille dont je suis tombé éperdument amoureux l'autre que j'ai passionnément envie de baiser
Toutes vos réactions sont les bienvenues