- Ven Mar 25, 2011 9:29 am
#107087
[size=150]Relooking du 24 mars[/size]
Ce matin, en me rasant, je me suis posé une question. Comme pour l'énoncer plus sérieusement, je balaie de la main un peu de la buée du miroir, je me regarde : est-ce que j'aurais dû résister ?
Cette après-midi avec Stéphane a été d'une fluidité presque dérangeante.
On entre quelque part, on se laisse porter par le train et par l'oeil. Bien sûr, on est aussi là pour acquérir certaines notions, alors parfois on demande "Qu'est-ce qui ne va pas avec celle là ?" ou encore "Pourquoi celle-ci ?". La réponse en poche, on avance.
D'abord la veste. Trois ou quatre essais plus tard : "Ah, voilà. Là on s'approche de la vérité". C'est parti.
Le reste s’enchaîne tout aussi naturellement...
Viennent enfin les lunettes de soleil, et je dois dire que jamais je n'aurais osé acheter pareilles choses. Entendez-moi bien, elles sont belles, elles me plaisent, mais jamais ô grand jamais je n'aurais osé. J'ai donc commencé par oser les porter.
En fin de compte, le plus important là dedans pour moi ça a été d'oser ce qui a du caractère.
Donc oui, je n'ai pas résisté, mais je ne rougis pas de ne pas l'avoir fait. Je me sens bien dans ces vêtements, et c'est bien le plus important.
Ce matin, en me rasant, je me suis posé une question. Comme pour l'énoncer plus sérieusement, je balaie de la main un peu de la buée du miroir, je me regarde : est-ce que j'aurais dû résister ?
Cette après-midi avec Stéphane a été d'une fluidité presque dérangeante.
On entre quelque part, on se laisse porter par le train et par l'oeil. Bien sûr, on est aussi là pour acquérir certaines notions, alors parfois on demande "Qu'est-ce qui ne va pas avec celle là ?" ou encore "Pourquoi celle-ci ?". La réponse en poche, on avance.
D'abord la veste. Trois ou quatre essais plus tard : "Ah, voilà. Là on s'approche de la vérité". C'est parti.
Le reste s’enchaîne tout aussi naturellement...
Viennent enfin les lunettes de soleil, et je dois dire que jamais je n'aurais osé acheter pareilles choses. Entendez-moi bien, elles sont belles, elles me plaisent, mais jamais ô grand jamais je n'aurais osé. J'ai donc commencé par oser les porter.
En fin de compte, le plus important là dedans pour moi ça a été d'oser ce qui a du caractère.
Donc oui, je n'ai pas résisté, mais je ne rougis pas de ne pas l'avoir fait. Je me sens bien dans ces vêtements, et c'est bien le plus important.