Modifié en dernier par Matt le Mer Juil 18, 2007 1:39 pm, modifié 1 fois.
- Dim Juin 24, 2007 10:48 pm
#9057
Je viens de regarder l'intégralité de l'émission Zone Interdite, émission que je regarde régulièrement (même avant que ce ne soit la sublime Mélissa qui présente sisi jvous jure ^^), et entre le reportage sur les gigolos de St-Domingue et leurs techniques de séduction, une seule expression m'est venue à la bouche : "Qu'est-ce que ça peut être con une femme !". La façon dont elles se font berner par les gigolos (j'étais plié en 2 devant la jolie blonde qui explique que là-bas les femmes se font manipuler par les jeunes locaux alors qu'elles même s'apprête à en rappatrier un chez elle...), mais aussi la façon dont elles avalent le bourrage de crane comme quoi c'est en s'habillant comme des putes qu'elles vont parvenir à se marier dans la semaine, j'ai trouvé ça pire qu'une attitude d'AFC...
Par contre concernant le reportage sur les Russes et donc ces dites techniques de séduction j'envie vraiment IceCold de sa situation à Moscou étant donné ce que les filles sont apparemment prêtes à faire pour trouver un homme
Tout du moins de la façon dont c'était présenté on avait l'impression que tellement les hommes étaient rares, ils peuvent avoir toutes les filles à leur pied à la seule et unique condition de ne pas être alcoolique...
Par contre concernant le reportage sur les Russes et donc ces dites techniques de séduction j'envie vraiment IceCold de sa situation à Moscou étant donné ce que les filles sont apparemment prêtes à faire pour trouver un homme
Tout du moins de la façon dont c'était présenté on avait l'impression que tellement les hommes étaient rares, ils peuvent avoir toutes les filles à leur pied à la seule et unique condition de ne pas être alcoolique...
- Lun Juin 25, 2007 3:09 am
#9072
Râté, qq'un a enregistré ?
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- Lun Juin 25, 2007 9:32 am
#9102
Mouais, c'est encore pire que des pétasses.
Quand tu analysais un peu le profil des deux filles suivies en République dominicaine, tu avais vraiment envie de leur mettre des claques.
La première, française : une jolie blonde, mais qui d'après ce que j'ai pu comprendre travaille comme danseuse voire strip teaseuse. A largué son dernier mec "européen" parce qu'il ne s'occupait pas assez d'elle. En l'écoutant deux minutes, tu devines que cette fille est Low Self Esteem au dernier degré, et en plus sans l'ombre d'une once de jugeotte : alors que son mec lui a avoué son "passé" de gigolo, elle dit lui faire confiance, et alors que le SIDA fait des ravages là bas, elle n'utilise plus de préservatifs (ok, ils ont fait le test, mais je suis resté
). En fin d'émission, on apprend qu'elle a lâché en tout et pour tout 12 000 euros à son mec depuis le début de leur "relation". Et alors qu'elle est à découvert de 1 000 euros, elle décide sur un coup de tête de repartir pour l'épouser (donc 1 000 euros supplémentaires pour le billet, sans compter les frais sur place). Sa copine par contre, a bien compris comment ça fonctionnait : les mecs te cajolent pour te faire cracher ton argent et tenter de quitter le pays par un mariage. Son attitude alors est bien plus "saine" : elle se fait plaisir mais en aucun cas ne s'investit émotionnellement ou financièrement.
La seconde est italienne. La quarantaine, riche avocate issue d'une grande famille bourgeoise. Est "tombée amoureuse" d'un jeunot de dix-huit ans. On devine le type de nana à tendance féministe qui a cassé un grand nombre de mecs et qui aujourd'hui entretient (dans tous les sens du terme : elle paie l'appartement, la bouffe, fait la cuisine, le ménage, etc... et se soumet complètement à ce post adolescent à peine pubère) un petit jeune pour tenter de rattrapper le gâchis de sa jeunesse. Bien entendu, sa famille n'accepte pas ce garçon (et c'est bien normal, j'en ferais autant). Je n'ai pas pu m'empêcher de faire le parallèle avec ce passage des "Particules élémentaires" de Houellbecq : "Je n'ai jamais pu encadrer les féministes (...). En quelques années, elles réussisaient à transformer les mecs de leur entourage en névrosés impuissants et grincheux. A partir de ce moment - c'était absolument systématique- elles commencaient à éprouver la nostalgie de la virilité. Au bout du compte elles plaquaient leurs mecs pour se faire sauter par des machos latins à la con. (...). Elles s'en tapaient deux ou trois, parfois plus pour les très baisables, puis elles se faisaient faire un gosse et se mettaient à préparer des confitures maisons avec les fiches cuisine Marie Claire."
L'épisode de l'autre blonde italienne qui explique que ce sont tous des gigolos qui cherchent un billet pour l'europe mais espère que le sien est différent est effectivement un grand moment du reportage.
La partie sur la démocratisation et la libéralisation de la consommation du plaisir et des sex toys par les "nouvelles branchées" était pas mal non plus.
Oh le trio de pétasses Parisiennes!! Elles se la jouent femmes fatales, adulent les héroïnes de Sex and the City et adoptent le même comportement consumériste de merde en ce qui concerne les hommes. A 26 ans, ça fait peur quand même. Inutile de dire comment elles vont finir.
C'est en regardant ce genre de reportage que je me dis que le cheptel féminin parisien moyen est à banir sans pitié de toute tentative de relation longue.
Quand tu analysais un peu le profil des deux filles suivies en République dominicaine, tu avais vraiment envie de leur mettre des claques.
La première, française : une jolie blonde, mais qui d'après ce que j'ai pu comprendre travaille comme danseuse voire strip teaseuse. A largué son dernier mec "européen" parce qu'il ne s'occupait pas assez d'elle. En l'écoutant deux minutes, tu devines que cette fille est Low Self Esteem au dernier degré, et en plus sans l'ombre d'une once de jugeotte : alors que son mec lui a avoué son "passé" de gigolo, elle dit lui faire confiance, et alors que le SIDA fait des ravages là bas, elle n'utilise plus de préservatifs (ok, ils ont fait le test, mais je suis resté
). En fin d'émission, on apprend qu'elle a lâché en tout et pour tout 12 000 euros à son mec depuis le début de leur "relation". Et alors qu'elle est à découvert de 1 000 euros, elle décide sur un coup de tête de repartir pour l'épouser (donc 1 000 euros supplémentaires pour le billet, sans compter les frais sur place). Sa copine par contre, a bien compris comment ça fonctionnait : les mecs te cajolent pour te faire cracher ton argent et tenter de quitter le pays par un mariage. Son attitude alors est bien plus "saine" : elle se fait plaisir mais en aucun cas ne s'investit émotionnellement ou financièrement. La seconde est italienne. La quarantaine, riche avocate issue d'une grande famille bourgeoise. Est "tombée amoureuse" d'un jeunot de dix-huit ans. On devine le type de nana à tendance féministe qui a cassé un grand nombre de mecs et qui aujourd'hui entretient (dans tous les sens du terme : elle paie l'appartement, la bouffe, fait la cuisine, le ménage, etc... et se soumet complètement à ce post adolescent à peine pubère) un petit jeune pour tenter de rattrapper le gâchis de sa jeunesse. Bien entendu, sa famille n'accepte pas ce garçon (et c'est bien normal, j'en ferais autant). Je n'ai pas pu m'empêcher de faire le parallèle avec ce passage des "Particules élémentaires" de Houellbecq : "Je n'ai jamais pu encadrer les féministes (...). En quelques années, elles réussisaient à transformer les mecs de leur entourage en névrosés impuissants et grincheux. A partir de ce moment - c'était absolument systématique- elles commencaient à éprouver la nostalgie de la virilité. Au bout du compte elles plaquaient leurs mecs pour se faire sauter par des machos latins à la con. (...). Elles s'en tapaient deux ou trois, parfois plus pour les très baisables, puis elles se faisaient faire un gosse et se mettaient à préparer des confitures maisons avec les fiches cuisine Marie Claire."
L'épisode de l'autre blonde italienne qui explique que ce sont tous des gigolos qui cherchent un billet pour l'europe mais espère que le sien est différent est effectivement un grand moment du reportage.
La partie sur la démocratisation et la libéralisation de la consommation du plaisir et des sex toys par les "nouvelles branchées" était pas mal non plus.
Oh le trio de pétasses Parisiennes!!
Elles se la jouent femmes fatales, adulent les héroïnes de Sex and the City et adoptent le même comportement consumériste de merde en ce qui concerne les hommes. A 26 ans, ça fait peur quand même. Inutile de dire comment elles vont finir. C'est en regardant ce genre de reportage que je me dis que le cheptel féminin parisien moyen est à banir sans pitié de toute tentative de relation longue.
- Lun Juin 25, 2007 9:44 am
#9105
[quote="Fladrif"]Mouais, c'est encore pire que des pétasses.
Quand tu analysais un peu le profil des deux filles suivies en République dominicaine, tu avais vraiment envie de leur mettre des claques.
La première, française : une jolie blonde, mais qui d'après ce que j'ai pu comprendre travaille comme danseuse voire strip teaseuse. A largué son dernier mec "européen" parce qu'il ne s'occupait pas assez d'elle. En l'écoutant deux minutes, tu devines que cette fille est Low Self Esteem au dernier degré, et en plus sans l'ombre d'une once de jugeotte : alors que son mec lui a avoué son "passé" de gigolo, elle dit lui faire confiance, et alors que le SIDA fait des ravages là bas, elle n'utilise plus de préservatifs (ok, ils ont fait le test, mais je suis resté ). En fin d'émission, on apprend qu'elle a lâché en tout et pour tout 12 000 euros à son mec depuis le début de leur "relation". Et alors qu'elle est à découvert de 1 000 euros, elle décide sur un coup de tête de repartir pour l'épouser (donc 1 000 euros supplémentaires pour le billet, sans compter les frais sur place). Sa copine par contre, a bien compris comment ça fonctionnait : les mecs te cajolent pour te faire cracher ton argent et tenter de quitter le pays par un mariage. Son attitude alors est bien plus "saine" : elle se fait plaisir mais en aucun cas ne s'investit émotionnellement ou financièrement.
La seconde est italienne. La quarantaine, riche avocate issue d'une grande famille bourgeoise. Est "tombée amoureuse" d'un jeunot de dix-huit ans. On devine le type de nana à tendance féministe qui a cassé un grand nombre de mecs et qui aujourd'hui entretient (dans tous les sens du terme : elle paie l'appartement, la bouffe, fait la cuisine, le ménage, etc... et se soumet complètement à ce post adolescent à peine pubère) un petit jeune pour tenter de rattrapper le gâchis de sa jeunesse. Bien entendu, sa famille n'accepte pas ce garçon (et c'est bien normal, j'en ferais autant). Je n'ai pas pu m'empêcher de faire le parallèle avec ce passage des "Particules élémentaires" de Houellbecq : "Je n'ai jamais pu encadrer les féministes (...). En quelques années, elles réussisaient à transformer les mecs de leur entourage en névrosés impuissants et grincheux. A partir de ce moment - c'était absolument systématique- elles commencaient à éprouver la nostalgie de la virilité. Au bout du compte elles plaquaient leurs mecs pour se faire sauter par des machos latins à la con. (...). Elles s'en tapaient deux ou trois, parfois plus pour les très baisables, puis elles se faisaient faire un gosse et se mettaient à préparer des confitures maisons avec les fiches cuisine Marie Claire."
L'épisode de l'autre blonde italienne qui explique que ce sont tous des gigolos qui cherchent un billet pour l'europe mais espère que le sien est différent est effectivement un grand moment du reportage.
La partie sur la démocratisation et la libéralisation de la consommation du plaisir et des sex toys par les "nouvelles branchées" était pas mal non plus.
Oh le trio de pétasses Parisiennes!! Elles se la jouent femmes fatales, adulent les héroïnes de Sex and the City et adoptent le même comportement consumériste de merde en ce qui concerne les hommes. A 26 ans, ça fait peur quand même. Inutile de dire comment elles vont finir.
C'est en regardant ce genre de reportage que je me dis que le cheptel féminin parisien moyen est à banir sans pitié de toute tentative de relation longue.
mouahahhahah top ton analyse
!
qu'est ce qu'il faut pas faire pour 10cm de plus...
Quand tu analysais un peu le profil des deux filles suivies en République dominicaine, tu avais vraiment envie de leur mettre des claques.
La première, française : une jolie blonde, mais qui d'après ce que j'ai pu comprendre travaille comme danseuse voire strip teaseuse. A largué son dernier mec "européen" parce qu'il ne s'occupait pas assez d'elle. En l'écoutant deux minutes, tu devines que cette fille est Low Self Esteem au dernier degré, et en plus sans l'ombre d'une once de jugeotte : alors que son mec lui a avoué son "passé" de gigolo, elle dit lui faire confiance, et alors que le SIDA fait des ravages là bas, elle n'utilise plus de préservatifs (ok, ils ont fait le test, mais je suis resté
). En fin d'émission, on apprend qu'elle a lâché en tout et pour tout 12 000 euros à son mec depuis le début de leur "relation". Et alors qu'elle est à découvert de 1 000 euros, elle décide sur un coup de tête de repartir pour l'épouser (donc 1 000 euros supplémentaires pour le billet, sans compter les frais sur place). Sa copine par contre, a bien compris comment ça fonctionnait : les mecs te cajolent pour te faire cracher ton argent et tenter de quitter le pays par un mariage. Son attitude alors est bien plus "saine" : elle se fait plaisir mais en aucun cas ne s'investit émotionnellement ou financièrement. La seconde est italienne. La quarantaine, riche avocate issue d'une grande famille bourgeoise. Est "tombée amoureuse" d'un jeunot de dix-huit ans. On devine le type de nana à tendance féministe qui a cassé un grand nombre de mecs et qui aujourd'hui entretient (dans tous les sens du terme : elle paie l'appartement, la bouffe, fait la cuisine, le ménage, etc... et se soumet complètement à ce post adolescent à peine pubère) un petit jeune pour tenter de rattrapper le gâchis de sa jeunesse. Bien entendu, sa famille n'accepte pas ce garçon (et c'est bien normal, j'en ferais autant). Je n'ai pas pu m'empêcher de faire le parallèle avec ce passage des "Particules élémentaires" de Houellbecq : "Je n'ai jamais pu encadrer les féministes (...). En quelques années, elles réussisaient à transformer les mecs de leur entourage en névrosés impuissants et grincheux. A partir de ce moment - c'était absolument systématique- elles commencaient à éprouver la nostalgie de la virilité. Au bout du compte elles plaquaient leurs mecs pour se faire sauter par des machos latins à la con. (...). Elles s'en tapaient deux ou trois, parfois plus pour les très baisables, puis elles se faisaient faire un gosse et se mettaient à préparer des confitures maisons avec les fiches cuisine Marie Claire."
L'épisode de l'autre blonde italienne qui explique que ce sont tous des gigolos qui cherchent un billet pour l'europe mais espère que le sien est différent est effectivement un grand moment du reportage.
La partie sur la démocratisation et la libéralisation de la consommation du plaisir et des sex toys par les "nouvelles branchées" était pas mal non plus.
Oh le trio de pétasses Parisiennes!!
Elles se la jouent femmes fatales, adulent les héroïnes de Sex and the City et adoptent le même comportement consumériste de merde en ce qui concerne les hommes. A 26 ans, ça fait peur quand même. Inutile de dire comment elles vont finir. C'est en regardant ce genre de reportage que je me dis que le cheptel féminin parisien moyen est à banir sans pitié de toute tentative de relation longue.
mouahahhahah top ton analyse
!qu'est ce qu'il faut pas faire pour 10cm de plus...
- Lun Juin 25, 2007 10:31 am
#9107
Je n'ai pas regardé cette "émission". J'avais lu le programme dans le journal, je ne suis guère étonnée de vos commentaires...
Pour faire de l'audience, surtout en prime time, il faut des émissions avec de bons stéréotypes, à savoir des femmes désoeuvrées. Partir à Saint Domingue ou ailleurs pour obtenir des faveurs sexuelles est triste. Cela m'inspire plus une misère sexuelle et intellectuelle. J'éprouve davantage de la pitié pour ce genre de comportement.
Imaginez un seul instant, des femmes ou filles équilibrées dans ce type d'émission, il n'y aurait aucun télé spectateur. Ce qui m'afflige, c'est "l'exemple" pour les jeunes adolescentes...
En ce qui concerne les femmes russes, j'ai lu un article dans un magazine éco, de type "le point" ou "l'express". Une école de "séduction" avait été crée : comment repérer le "mâle", l'amadouer dans l'objectif de se marier. Autant dire que cette école s'apparentait plus à de la prostitution indirecte qu'autre chose. J'espère qu'Icecold lira se topic pour nous donner son sentiment là dessus, et aussi sur l'approche culturelle de ce pays des relations homme/femme.
Pour les nouvelles "conquérantes", ... Je dirai seulement ceci : Comment assumer son célibat lorsqu'on le subit malgré soi ?...
Pour faire de l'audience, surtout en prime time, il faut des émissions avec de bons stéréotypes, à savoir des femmes désoeuvrées. Partir à Saint Domingue ou ailleurs pour obtenir des faveurs sexuelles est triste. Cela m'inspire plus une misère sexuelle et intellectuelle. J'éprouve davantage de la pitié pour ce genre de comportement.
Imaginez un seul instant, des femmes ou filles équilibrées dans ce type d'émission, il n'y aurait aucun télé spectateur. Ce qui m'afflige, c'est "l'exemple" pour les jeunes adolescentes...
En ce qui concerne les femmes russes, j'ai lu un article dans un magazine éco, de type "le point" ou "l'express". Une école de "séduction" avait été crée : comment repérer le "mâle", l'amadouer dans l'objectif de se marier. Autant dire que cette école s'apparentait plus à de la prostitution indirecte qu'autre chose. J'espère qu'Icecold lira se topic pour nous donner son sentiment là dessus, et aussi sur l'approche culturelle de ce pays des relations homme/femme.
Pour les nouvelles "conquérantes", ... Je dirai seulement ceci : Comment assumer son célibat lorsqu'on le subit malgré soi ?...
- Lun Juin 25, 2007 11:12 am
#9116
[quote="Zoé"]En ce qui concerne les femmes russes, j'ai lu un article dans un magazine éco, de type "le point" ou "l'express". Une école de "séduction" avait été crée : comment repérer le "mâle", l'amadouer dans l'objectif de se marier.
Rien d'étonnant à cela. J'ai bossé dans une boite de com' qui projette de lancer prochainement un meetic franco-russe
[quote]Pour les nouvelles "conquérantes", ... Je dirai seulement ceci : Comment assumer son célibat lorsqu'on le subit malgré soi ?...
Mieux vaut être seul que d'être mal accompagné. C'est étrange mais j'ai l'impression que les femmes préfèrent avoir une relation avec un naze plutôt que d'être célibataire.
Rien d'étonnant à cela. J'ai bossé dans une boite de com' qui projette de lancer prochainement un meetic franco-russe
[quote]Pour les nouvelles "conquérantes", ... Je dirai seulement ceci : Comment assumer son célibat lorsqu'on le subit malgré soi ?...
Mieux vaut être seul que d'être mal accompagné. C'est étrange mais j'ai l'impression que les femmes préfèrent avoir une relation avec un naze plutôt que d'être célibataire.
- Lun Juin 25, 2007 11:12 am
#9117
[quote]Cela m'inspire plus une misère sexuelle et intellectuelle
Misère sexuelle, certainement. Intellectuelle également, c'est indubitable. Affective aussi, et surtout quand tu as moins de 40 balais. Aller chercher de l'autre côté de l'Antlantique ce que tu peux trouver près de chez toi pourvu que tu aies le courage de remettre tes croyances en cause... Mais non. Le mythe du prince charmant a la vie dure.
[quote]il faut des émissions avec de bons stéréotypes, à savoir des femmes désoeuvrées
A ce stade là, ce ne sont même plus des stéréotypes, c'est de la caricature. Sauf à ce que le choix éditorial table sur les facultés critiques des spectateurs pour comprendre qu'on leur donne l'exemple à ne pas suivre, on est à la limite de l'indécence.
[quote]Autant dire que cette école s'apparentait plus à de la prostitution indirecte qu'autre chose
Absolument. Au cours du reportage, les journalistes suivaient trois filles de l'école en boîte de nuit. Démarche et mouvements vulgaires et aguicheurs, maquillées comme de voitures volées, danse lascive... Les mecs de la boîte ne s'y sont pas trompés : "C'est bon pour une nuit, pas pour la vie".
[quote]Comment assumer son célibat lorsqu'on le subit malgré soi ?...
Non, non, non et encore non. On ne subit jamais rien malgré soi, sauf à s'appeler Richard Virenque.
Depuis 68 et la révolution sexuelle, des générations d'hommes ont été sacrifiés sur l'autel de la revanche de la femme.
Qu'aujourd'hui les jeunes filles continuent de reproduire des shémas de fonctionnement ineptes sans se poser de questions au lieu de se servir de leurs facultés de raisonnement pour essayer de trouver ce qui ne va pas, cela ressort de LEUR responsabilité.
Sur ce forum, l'on n'éprouve aucune pitié pour les AFC qui refusent de changer leurs croyances intimes pour évoluer. Je n'éprouve pas la moindre once de compassion pour ces soi disant conquérantes qui se laissent dicter leur conduite par des héroïnes de télévision ou des magazines genre "Cosmo" au lieu de se servir de cette pseudo intelligence qu'elles revendiquent mais dont on n'a jamais vu confirmer l'existence.
Misère sexuelle, certainement. Intellectuelle également, c'est indubitable. Affective aussi, et surtout quand tu as moins de 40 balais. Aller chercher de l'autre côté de l'Antlantique ce que tu peux trouver près de chez toi pourvu que tu aies le courage de remettre tes croyances en cause... Mais non. Le mythe du prince charmant a la vie dure.
[quote]il faut des émissions avec de bons stéréotypes, à savoir des femmes désoeuvrées
A ce stade là, ce ne sont même plus des stéréotypes, c'est de la caricature. Sauf à ce que le choix éditorial table sur les facultés critiques des spectateurs pour comprendre qu'on leur donne l'exemple à ne pas suivre, on est à la limite de l'indécence.
[quote]Autant dire que cette école s'apparentait plus à de la prostitution indirecte qu'autre chose
Absolument. Au cours du reportage, les journalistes suivaient trois filles de l'école en boîte de nuit. Démarche et mouvements vulgaires et aguicheurs, maquillées comme de voitures volées, danse lascive... Les mecs de la boîte ne s'y sont pas trompés : "C'est bon pour une nuit, pas pour la vie".
[quote]Comment assumer son célibat lorsqu'on le subit malgré soi ?...
Non, non, non et encore non. On ne subit jamais rien malgré soi, sauf à s'appeler Richard Virenque.
Depuis 68 et la révolution sexuelle, des générations d'hommes ont été sacrifiés sur l'autel de la revanche de la femme.
Qu'aujourd'hui les jeunes filles continuent de reproduire des shémas de fonctionnement ineptes sans se poser de questions au lieu de se servir de leurs facultés de raisonnement pour essayer de trouver ce qui ne va pas, cela ressort de LEUR responsabilité.
Sur ce forum, l'on n'éprouve aucune pitié pour les AFC qui refusent de changer leurs croyances intimes pour évoluer. Je n'éprouve pas la moindre once de compassion pour ces soi disant conquérantes qui se laissent dicter leur conduite par des héroïnes de télévision ou des magazines genre "Cosmo" au lieu de se servir de cette pseudo intelligence qu'elles revendiquent mais dont on n'a jamais vu confirmer l'existence.
- Lun Juin 25, 2007 1:03 pm
#9139
[quote]Qu'aujourd'hui les jeunes filles continuent de reproduire des shémas de fonctionnement ineptes sans se poser de questions au lieu de se servir de leurs facultés de raisonnement pour essayer de trouver ce qui ne va pas, cela ressort de LEUR responsabilité.
Tout à fait. Trouver ce qui ne va pas implique une remise en question profonde et peu de filles ont le courage et l'envie de le faire.
[quote]Sur ce forum, l'on n'éprouve aucune pitié pour les AFC qui refusent de changer leurs croyances intimes pour évoluer. Je n'éprouve pas la moindre once de compassion pour ces soi disant conquérantes qui se laissent dicter leur conduite par des héroïnes de télévision ou des magazines genre "Cosmo" au lieu de se servir de cette pseudo intelligence qu'elles revendiquent mais dont on n'a jamais vu confirmer l'existence.
Je crois qu'il y a deux tendances, la première constituée de femmes ayant fait des choix de vie et qui essaient de les assumer : pas ou peu de mecs, pas d'enfants, etc... Pour des raisons professionnelles mais aussi pour des raisons affectives. Bref, elles ne correspondent pas aux critères sociétaux de la femme : épouse et mère, etc... Celles-ci ne s'affichent pas et ne cherchent pas à s'afficher. Leur intelligence se situe à ce niveau : s'assumer et vivre pleinement leur choix de vie sans publicité tapageuse.
La seconde tendance s'accroit de plus en plus : des femmes qui ont fait des études, ont en général un bon taf. Pas de relation sérieuse car pas le temps. Et du coup, elles décident de s'approprier un constat de vie en choix de vie. L'épanouissement de la femme ne passe pas systématiquement par le mariage et les enfants ; il passe par l'acceptation de ses choix.
Cela va au delà d'une question d'intelligence et de raisonnement. C'est davantage une réflexion intérieure et intime de ce que l'on est, de ce que l'on souhaite et de ce que l'on a. Et surtout, ne pas se mentir.
Tout à fait. Trouver ce qui ne va pas implique une remise en question profonde et peu de filles ont le courage et l'envie de le faire.
[quote]Sur ce forum, l'on n'éprouve aucune pitié pour les AFC qui refusent de changer leurs croyances intimes pour évoluer. Je n'éprouve pas la moindre once de compassion pour ces soi disant conquérantes qui se laissent dicter leur conduite par des héroïnes de télévision ou des magazines genre "Cosmo" au lieu de se servir de cette pseudo intelligence qu'elles revendiquent mais dont on n'a jamais vu confirmer l'existence.
Je crois qu'il y a deux tendances, la première constituée de femmes ayant fait des choix de vie et qui essaient de les assumer : pas ou peu de mecs, pas d'enfants, etc... Pour des raisons professionnelles mais aussi pour des raisons affectives. Bref, elles ne correspondent pas aux critères sociétaux de la femme : épouse et mère, etc... Celles-ci ne s'affichent pas et ne cherchent pas à s'afficher. Leur intelligence se situe à ce niveau : s'assumer et vivre pleinement leur choix de vie sans publicité tapageuse.
La seconde tendance s'accroit de plus en plus : des femmes qui ont fait des études, ont en général un bon taf. Pas de relation sérieuse car pas le temps. Et du coup, elles décident de s'approprier un constat de vie en choix de vie. L'épanouissement de la femme ne passe pas systématiquement par le mariage et les enfants ; il passe par l'acceptation de ses choix.
Cela va au delà d'une question d'intelligence et de raisonnement. C'est davantage une réflexion intérieure et intime de ce que l'on est, de ce que l'on souhaite et de ce que l'on a. Et surtout, ne pas se mentir.
- Lun Juin 25, 2007 1:03 pm
#9140
[quote="Zoé"]En ce qui concerne les femmes russes, j'ai lu un article dans un magazine éco, de type "le point" ou "l'express". Une école de "séduction" avait été crée : comment repérer le "mâle", l'amadouer dans l'objectif de se marier. Autant dire que cette école s'apparentait plus à de la prostitution indirecte qu'autre chose.
A noter que l'école créée par Nikoulaï Machinchosesky s'appelle quand même "L'Ecole des Garces" donc la prostitution est de moins en moins indirecte à ce niveau-là...
Comme concernant la blonde nymphomane de St-Domingue dont ils ont fait un feedback de la situation actuelle (enceinte de 6 mois 1/2 de jumeaux et toujours en attente de l'arrivée de son cher et tendre qui doit être entrain de se farcir d'autres occidentales), on a aussi eu droit a un feedback du fameux Nikoulai comme quoi il venait d'ouvrir quelque chose comme sa 19e école de la sorte en Russie... C'est vraiment affligeant mais bon, avec le salaire qu'il se fait comme ça je vois pas pourquoi il arreterait hein...
Cela dit, cela nous amene à réfléchir à ce que nous faisons de notre côté ! Est-ce que la participation à tous ces WS n'est pas que du foutage de gueule servant à engraisser un mythique Gourou au nom tout droit tiré d'un manga dépassé qui vous fait croire qu'en le payant une fortune pour quelques heures vous pourrez lever la femme de votre choix avec des connaissances futiles ? Surtout qu'avec tout cet argent vous auriez très bien pu partir vivre en Russie et lever des filles au foyer désespérées qui n'attendent que vous pour enfin avoir un homme à entretenir...
[size=59]PS : Cher gourou, sachez que ceci est une blague et que je ne cherche en aucun cas à casser votre business, au contraire je cherche actuellement à réunir les fonds nécessaires pour moi-même pouvoir participer à l'un de ces WS mystiques...[/size]
A noter que l'école créée par Nikoulaï Machinchosesky s'appelle quand même "L'Ecole des Garces" donc la prostitution est de moins en moins indirecte à ce niveau-là...
Comme concernant la blonde nymphomane de St-Domingue dont ils ont fait un feedback de la situation actuelle (enceinte de 6 mois 1/2 de jumeaux et toujours en attente de l'arrivée de son cher et tendre qui doit être entrain de se farcir d'autres occidentales), on a aussi eu droit a un feedback du fameux Nikoulai comme quoi il venait d'ouvrir quelque chose comme sa 19e école de la sorte en Russie... C'est vraiment affligeant mais bon, avec le salaire qu'il se fait comme ça je vois pas pourquoi il arreterait hein...
Cela dit, cela nous amene à réfléchir à ce que nous faisons de notre côté ! Est-ce que la participation à tous ces WS n'est pas que du foutage de gueule servant à engraisser un mythique Gourou au nom tout droit tiré d'un manga dépassé qui vous fait croire qu'en le payant une fortune pour quelques heures vous pourrez lever la femme de votre choix avec des connaissances futiles ? Surtout qu'avec tout cet argent vous auriez très bien pu partir vivre en Russie et lever des filles au foyer désespérées qui n'attendent que vous pour enfin avoir un homme à entretenir...
[size=59]PS : Cher gourou, sachez que ceci est une blague et que je ne cherche en aucun cas à casser votre business, au contraire je cherche actuellement à réunir les fonds nécessaires pour moi-même pouvoir participer à l'un de ces WS mystiques...[/size]
- Lun Juin 25, 2007 1:57 pm
#9149
[quote]la première constituée de femmes ayant fait des choix de vie et qui essaient de les assumer : pas ou peu de mecs, pas d'enfants, etc... Pour des raisons professionnelles mais aussi pour des raisons affectives. Bref, elles ne correspondent pas aux critères sociétaux de la femme : épouse et mère, etc... Celles-ci ne s'affichent pas et ne cherchent pas à s'afficher. Leur intelligence se situe à ce niveau : s'assumer et vivre pleinement leur choix de vie sans publicité tapageuse.
Juste. Ces femmes sont rares, mais elles existent. Rien à redire à ce choix à partir du moment où elles l'assument.
[quote]La seconde tendance s'accroit de plus en plus : des femmes qui ont fait des études, ont en général un bon taf. Pas de relation sérieuse car pas le temps. Et du coup, elles décident de s'approprier un constat de vie en choix de vie. L'épanouissement de la femme ne passe pas systématiquement par le mariage et les enfants ; il passe par l'acceptation de ses choix.
Là on ne va pas être tout à fait d'accord. Déjà tu emploies le terme de "tendance"; hors une tendance est une orientation généralement induite par le milieu environnant et susceptible de changement. C'est un mot qui a de nos jours une connotation péjorative car il souligne plus la capacité d'une personne à suivre la masse que ses propres choix.
Alors aujourd'hui c'est tendance, effectivement, de se consacrer à sa carrière, à son plaisir, à son épanouissement personnel sans se projeter dans l'avenir. On profite de la vie, quoi.
Le problème, c'est que la plupart des petites pouffes qui suivent cette tendance et cherchent la jouissance (au sens général du terme) pour "faire comme les mecs" dans cette optique globale du "girl power", relent de féminisme post années 90, ne font que suivre les conseils de la presse féminine. Et elles perdent de vue un point essentiel, vital même, c'est l'injustice fondamentale dont la nature a doté les hommes et les femmes.
Un homme peut se permettre de se consacrer à sa carrière et d'oublier femme et enfant jusqu'à 50 balais si ça lui chante parce qu'il n'a pas d'horloge biologique. Alors qu'au contraire une femme qui laisse passer ses 40 ans sans avoir d'enfant aura très peu de chance d'y parvenir par la suite. Je pense que tu es plus au fait que moi des dangers que présente une grossesse après 40 ans, aussi bien pour la mère que pour l'enfant.
Et ce mot terrible, l'horloge biologique, les "nouvelles conquérantes" semblent bien l'avoir oublié. Et si tu regardes un peu autour de toi, tu constateras ce curieux phénomène : des régiments entiers de ces filles qui s'affolent à l'approche de la trentaine, cherchent à tout prix à se caser et à faire un gosse, y compris avec le pire des connards, histoire de ne rien regretter lorsque la fameuse horloge biologique aura sonné le glas de leur fertilité.
Il est possible que l'on ne s'entende pas sur le sens du mot "intelligence", mais pour moi la faculté de se projeter et d'être capable de réfléchir en anticipant certaines choses avant de faire des choix qui se révèleront handicapants par la suite, c'est du ressort de l'intelligence.
[quote]C'est davantage une réflexion intérieure et intime de ce que l'on est, de ce que l'on souhaite et de ce que l'on a. Et surtout, ne pas se mentir.
Très peu de gens, aujourd'hui, ont le courage de ne pas se mentir.
J'ai rencontré trop de femmes (30, 40 ans) ayant privilégié leur carrière, fière de leur réussite et citée comme des exemples dans la presse féminine, sombrer dans la dépression le jour où elle se sont rendues compte qu'elles ne seraient jamais mère.
C'est bien joli de vouloir prouver que l'on peut faire aussi bien que les hommes, mais malheureusement pour vous les femmes, la nature a truqué le jeu dès le départ.
La pilule vous a donné la maîtrise de votre sexualité et de vos grossesses, mais à ce jour la science n'a que peu de moyens de vous éviter le tocsin de l'horloge biologique.
Mais cela, visiblement, trop de filles s'en foutent ou ne veulent pas le voir.
Juste. Ces femmes sont rares, mais elles existent. Rien à redire à ce choix à partir du moment où elles l'assument.
[quote]La seconde tendance s'accroit de plus en plus : des femmes qui ont fait des études, ont en général un bon taf. Pas de relation sérieuse car pas le temps. Et du coup, elles décident de s'approprier un constat de vie en choix de vie. L'épanouissement de la femme ne passe pas systématiquement par le mariage et les enfants ; il passe par l'acceptation de ses choix.
Là on ne va pas être tout à fait d'accord. Déjà tu emploies le terme de "tendance"; hors une tendance est une orientation généralement induite par le milieu environnant et susceptible de changement. C'est un mot qui a de nos jours une connotation péjorative car il souligne plus la capacité d'une personne à suivre la masse que ses propres choix.
Alors aujourd'hui c'est tendance, effectivement, de se consacrer à sa carrière, à son plaisir, à son épanouissement personnel sans se projeter dans l'avenir. On profite de la vie, quoi.
Le problème, c'est que la plupart des petites pouffes qui suivent cette tendance et cherchent la jouissance (au sens général du terme) pour "faire comme les mecs" dans cette optique globale du "girl power", relent de féminisme post années 90, ne font que suivre les conseils de la presse féminine. Et elles perdent de vue un point essentiel, vital même, c'est l'injustice fondamentale dont la nature a doté les hommes et les femmes.
Un homme peut se permettre de se consacrer à sa carrière et d'oublier femme et enfant jusqu'à 50 balais si ça lui chante parce qu'il n'a pas d'horloge biologique. Alors qu'au contraire une femme qui laisse passer ses 40 ans sans avoir d'enfant aura très peu de chance d'y parvenir par la suite. Je pense que tu es plus au fait que moi des dangers que présente une grossesse après 40 ans, aussi bien pour la mère que pour l'enfant.
Et ce mot terrible, l'horloge biologique, les "nouvelles conquérantes" semblent bien l'avoir oublié. Et si tu regardes un peu autour de toi, tu constateras ce curieux phénomène : des régiments entiers de ces filles qui s'affolent à l'approche de la trentaine, cherchent à tout prix à se caser et à faire un gosse, y compris avec le pire des connards, histoire de ne rien regretter lorsque la fameuse horloge biologique aura sonné le glas de leur fertilité.
Il est possible que l'on ne s'entende pas sur le sens du mot "intelligence", mais pour moi la faculté de se projeter et d'être capable de réfléchir en anticipant certaines choses avant de faire des choix qui se révèleront handicapants par la suite, c'est du ressort de l'intelligence.
[quote]C'est davantage une réflexion intérieure et intime de ce que l'on est, de ce que l'on souhaite et de ce que l'on a. Et surtout, ne pas se mentir.
Très peu de gens, aujourd'hui, ont le courage de ne pas se mentir.
J'ai rencontré trop de femmes (30, 40 ans) ayant privilégié leur carrière, fière de leur réussite et citée comme des exemples dans la presse féminine, sombrer dans la dépression le jour où elle se sont rendues compte qu'elles ne seraient jamais mère.
C'est bien joli de vouloir prouver que l'on peut faire aussi bien que les hommes, mais malheureusement pour vous les femmes, la nature a truqué le jeu dès le départ.
La pilule vous a donné la maîtrise de votre sexualité et de vos grossesses, mais à ce jour la science n'a que peu de moyens de vous éviter le tocsin de l'horloge biologique.
Mais cela, visiblement, trop de filles s'en foutent ou ne veulent pas le voir.