- Ven Oct 26, 2012 9:08 pm
#127860
Gentlemen,
Je poste ces petites réflexions futiles dans le forum "look", car il me semble que le briquet fait partie de ces accessoires liés au style. Je crois en quelque chose d'un peu extrême : c'est un objet que tout homme se doit de posséder, même s'il ne fume pas.
Je ne vous cache pas que le dicton "homme sans feu, homme sans queue!" (rabâché par une bonne copine quand j'étais jeune et sans l'feu - donc) m'a peut-être un peu traumatisé et façonné.
Car c'est bien là ma théorie : un briquet aide à être sexué. Il pose un homme.
Ceux qui ont lu la "Mystery Method" se rappellent sans doute de la théorie de l'auteur sur le fait que beaucoup de comportement féminins (et masculins, par conséquence) d'aujourd'hui découlent de notre passé primitif. En gros, même si nous avons intellectuellement évolués, les femmes recherchent cet homme qui les protègera, qui leur fera des enfants, qui les nourrira... bref : leur assurera leur survie et leur procréation. Evidemment, tout cela reste inconscient.
Rappelons-nous alors de la symbolique et de l'importance du feu dans les sociétés primitives. L'importance du "gardien du feu", celui qui entretien le foyer, le dominant, ou encore "l'être Alpha" (ainsi évoqué dans les pages de ce site). Ce symbole n'a évidemment pas été oublié, pas plus que les autres. Encore aujourd'hui : le barbecue, le feu dans la cheminée... c'est une affaire d'hommes !
Dans une mesure, plus symbolique, celui qui possède un briquet possède le feu. Il est un Alpha.
Il peut (r)allumer une bougie, il peut éclairer les endroits obscurs, il peut allumer un feu (donc), il peut divertir ("ho ! Regarde-là ! Quelque chose qui brille !" ou bien "fixe cette flamme... je t'hypnotise...")...
Et dans ce cas, pourquoi ne pas le montrer, l'exhiber ? De même que pour séduire, il faut afficher sa masculinité...
Du Bic au Dupont, en passant par le Dunhill, le Colibri, le Zippo (et bien d'autres), le briquet se démarque des allumettes par le fait qu'il définit un certain trait de style. En le posant sur la table à laquelle vous êtes installé, comme on plante un étendard sur un territoire nouveau, vous devenez maître des lieux. Vous êtes ancré. Vous imposez votre touche, votre cadre, votre environnement.
Il est votre totem, que vous manipulez sans y penser, qui vous inspire quand vous le regardez (parce que vous l'avez dûment choisi) et qui peut vous servir à démontrer votre agilité sociale ("Social proof / Social skills", pour ceux qui ont ces références). On peut vous demander du feu, on peut vous faire une remarque sur l'objet lui-même - surtout si c'est un objet rare et/ou beau et/ou ancien (avec une histoire) - et démarrer une nouvelle conversation...
Enfin, jouer avec son briquet, est un peu plus classe que de jouer avec son portable. C'est aussi, un peu, comme un chapeau (quand une fille commence à jouer avec, c'est plutôt bon signe) mais en moins encombrant, moins décoiffant, et un brin plus utile !
Note : tout cela est très subjectif et si je vous le présente ici c'est, bien entendu, pour en discuter...
Bien à vous,
SK.
Je poste ces petites réflexions futiles dans le forum "look", car il me semble que le briquet fait partie de ces accessoires liés au style. Je crois en quelque chose d'un peu extrême : c'est un objet que tout homme se doit de posséder, même s'il ne fume pas.
Je ne vous cache pas que le dicton "homme sans feu, homme sans queue!" (rabâché par une bonne copine quand j'étais jeune et sans l'feu - donc) m'a peut-être un peu traumatisé et façonné.
Car c'est bien là ma théorie : un briquet aide à être sexué. Il pose un homme.
Ceux qui ont lu la "Mystery Method" se rappellent sans doute de la théorie de l'auteur sur le fait que beaucoup de comportement féminins (et masculins, par conséquence) d'aujourd'hui découlent de notre passé primitif. En gros, même si nous avons intellectuellement évolués, les femmes recherchent cet homme qui les protègera, qui leur fera des enfants, qui les nourrira... bref : leur assurera leur survie et leur procréation. Evidemment, tout cela reste inconscient.
Rappelons-nous alors de la symbolique et de l'importance du feu dans les sociétés primitives. L'importance du "gardien du feu", celui qui entretien le foyer, le dominant, ou encore "l'être Alpha" (ainsi évoqué dans les pages de ce site). Ce symbole n'a évidemment pas été oublié, pas plus que les autres. Encore aujourd'hui : le barbecue, le feu dans la cheminée... c'est une affaire d'hommes !
Dans une mesure, plus symbolique, celui qui possède un briquet possède le feu. Il est un Alpha.
Il peut (r)allumer une bougie, il peut éclairer les endroits obscurs, il peut allumer un feu (donc), il peut divertir ("ho ! Regarde-là ! Quelque chose qui brille !" ou bien "fixe cette flamme... je t'hypnotise...")...
Et dans ce cas, pourquoi ne pas le montrer, l'exhiber ? De même que pour séduire, il faut afficher sa masculinité...
Du Bic au Dupont, en passant par le Dunhill, le Colibri, le Zippo (et bien d'autres), le briquet se démarque des allumettes par le fait qu'il définit un certain trait de style. En le posant sur la table à laquelle vous êtes installé, comme on plante un étendard sur un territoire nouveau, vous devenez maître des lieux. Vous êtes ancré. Vous imposez votre touche, votre cadre, votre environnement.
Il est votre totem, que vous manipulez sans y penser, qui vous inspire quand vous le regardez (parce que vous l'avez dûment choisi) et qui peut vous servir à démontrer votre agilité sociale ("Social proof / Social skills", pour ceux qui ont ces références). On peut vous demander du feu, on peut vous faire une remarque sur l'objet lui-même - surtout si c'est un objet rare et/ou beau et/ou ancien (avec une histoire) - et démarrer une nouvelle conversation...
Enfin, jouer avec son briquet, est un peu plus classe que de jouer avec son portable. C'est aussi, un peu, comme un chapeau (quand une fille commence à jouer avec, c'est plutôt bon signe) mais en moins encombrant, moins décoiffant, et un brin plus utile !
Note : tout cela est très subjectif et si je vous le présente ici c'est, bien entendu, pour en discuter...
Bien à vous,
SK.
Qu'y a-t-il de plus subjectif que l'objectivité ?