- Dim Sep 09, 2012 10:58 pm
#125892
Parce qu'il n'y a plus beaucoup de récits de rencontres (et parce que J. Dilinger met trois plombes à finir le sien )
20h. C'est l'heure à laquelle j'arrive dans l'appartement parisien d'un ami, le ventre vide, la voix abimée par 2 soirées d'affilée, et les yeux tombants. Nous sommes 4, mais 3 copines de l'hôte viendront se greffer à nous. J'en connais qu'une seule avec qui nous avions passé un début de soirée au Wonderlust ensemble — où on était déjà bien entamé d'ailleurs. J'avais, à cette soirée, entamé un badinage avec une de ses copines, mais qui n'a pas pu aboutir puisqu'elles sont parties tôt.
3 princesses, apprêtées. Princesses non pas dans l'attitude, mais dans la beauté ; dans la classe. Aussi Justine était-elle vêtue d'une robe noire assez moulante et d'une paire de talons. Blonde, 1m70 , des jambes magnifiques. Autant dire que je suis déjà sous le charme. J'avais déjà, en vacances, rencontré des filles de ce niveau-là, mais leur niveau de prétention, d’exigence, faisaient d'elles de véritables garces pourries gâtées. Soit le pire défaut à mes yeux chez une fille, celles à qui tout doit être dû.
Je n'ai pas, à ce stade, un bon niveau d'énergie — les contacts visuels reçus en y allant n'y auront d'ailleurs rien changé. Toutefois, dans la séduction, on n'obtient rien restant étant passif — le lectorat de Spike Sed étant exclusivement hétéro, je peux utiliser ce terme sans risquer d'en émoustiller un. Il va donc falloir aller au charbon. Au début, je m'y prends très mal, frisant parfois la lourdeur concernant quelques faits de la dernière soirée : ça commence mal... Décidémment, je crois que ce soir ne sera pas le bon soir.
Au fur et à mesure de la discussion, je réussi à me rattraper avec le groupe, les filles racontaient leurs histoires d'abordage de rue — elles n'ont connu que des lourds —, et d'harcèlement au travail. Je me moque gentillement d'elles en leur disant que moi aussi quand je travaillais, c'était infernal toutes ces filles qui voulaient de moi, ce qui les fait marrer. L'intérêt de ces discussions n'est pas énorme, mais je me montre cocky&funny, et j'accorde beaucoup d'importance à mon body language (on est sur un canapé). J'en profite également pour passer quelques [url=http://soundcloud.com/manueltur/beasts-the-birds]sons[/url] qu'elles apprécient d'ailleurs.
Alors que je m'apprêtais à aller fumer une clope avec mon pote :
[quote]Justine : vous allez fumer ? Attendez, j'arrive.
20h. C'est l'heure à laquelle j'arrive dans l'appartement parisien d'un ami, le ventre vide, la voix abimée par 2 soirées d'affilée, et les yeux tombants. Nous sommes 4, mais 3 copines de l'hôte viendront se greffer à nous. J'en connais qu'une seule avec qui nous avions passé un début de soirée au Wonderlust ensemble — où on était déjà bien entamé d'ailleurs. J'avais, à cette soirée, entamé un badinage avec une de ses copines, mais qui n'a pas pu aboutir puisqu'elles sont parties tôt.
3 princesses, apprêtées. Princesses non pas dans l'attitude, mais dans la beauté ; dans la classe. Aussi Justine était-elle vêtue d'une robe noire assez moulante et d'une paire de talons. Blonde, 1m70 , des jambes magnifiques. Autant dire que je suis déjà sous le charme. J'avais déjà, en vacances, rencontré des filles de ce niveau-là, mais leur niveau de prétention, d’exigence, faisaient d'elles de véritables garces pourries gâtées. Soit le pire défaut à mes yeux chez une fille, celles à qui tout doit être dû.
Je n'ai pas, à ce stade, un bon niveau d'énergie — les contacts visuels reçus en y allant n'y auront d'ailleurs rien changé. Toutefois, dans la séduction, on n'obtient rien restant étant passif — le lectorat de Spike Sed étant exclusivement hétéro, je peux utiliser ce terme sans risquer d'en émoustiller un. Il va donc falloir aller au charbon. Au début, je m'y prends très mal, frisant parfois la lourdeur concernant quelques faits de la dernière soirée : ça commence mal... Décidémment, je crois que ce soir ne sera pas le bon soir.
Au fur et à mesure de la discussion, je réussi à me rattraper avec le groupe, les filles racontaient leurs histoires d'abordage de rue — elles n'ont connu que des lourds —, et d'harcèlement au travail. Je me moque gentillement d'elles en leur disant que moi aussi quand je travaillais, c'était infernal toutes ces filles qui voulaient de moi, ce qui les fait marrer. L'intérêt de ces discussions n'est pas énorme, mais je me montre cocky&funny, et j'accorde beaucoup d'importance à mon body language (on est sur un canapé). J'en profite également pour passer quelques [url=http://soundcloud.com/manueltur/beasts-the-birds]sons[/url] qu'elles apprécient d'ailleurs.
Alors que je m'apprêtais à aller fumer une clope avec mon pote :
[quote]Justine : vous allez fumer ? Attendez, j'arrive.