- Dim Oct 07, 2012 10:23 pm
#127020
J'ai rencontré cette fille dans le monde de la nuit.
[img]http://i.imgur.com/mcfFO.jpg?1[/img]
Comme tous les jeudis depuis la rentrée, des soirées Erasmus sont organisées dans les boites de nuit de la ville. Jusqu'à présent, j'avais toujours eu l'éternel fantasme des jolies étudiantes venues séjourner quelques mois en France pour y découvrir les "richesses" de notre beau pays. Mais après avoir récolté quelques Facebook bien moisis, j'ai compris que je ne j'arriverai que difficilement à goûter leur saveur intérieure tant qu'elles ne se seront pas bougé les fesses pour obtenir un numéro bien français.
Ce soir-là, mon énergie n'était pas resplendissante. Je me contentais vaguement de discuter avec quelques étrangères dans le bruit sourd des enceintes crachant leurs derniers Watts. Visiblement peu intéressées et pas encore bien accommodées des modalités de notre terre, je n'eus le droit qu'à leurs noms ainsi qu'une simple promesse de réseau social. Je ne les gardai pas bien plus longtemps sur ce réseau que le vague souvenir que j'avais d'elles et dès le surlendemain, elles ne faisaient déjà plus partie de cette liste bien mal nommée, liste d'ami(e)s.
Mon énergie légèrement rehaussée par ses approches successives, je constatais que les Françaises, elles, se faisaient bien moins farouches que leurs collègues d'outre frontière.
Elle, comme toutes les autres, dansait sur la piste avec un style qu'on arrive finalement plus à qualifier. De toute façon, aujourd'hui personne ne sait plus vraiment danser. Elle était mince, portait un jean serré et un haut blanc parsemé de dentelles remonté jusqu'à son cou, comme pour draper sa ligne d'une pureté bien trop innocente.
Je la regardais un instant et lui tendis ma main avec un large sourire, elle la saisit et nous partîmes pour quelques étreintes exiguës au milieu de ces jeunes marmots en chemise à carreaux. Le contact de ses longues jambes sur mon anatomie faisait battre mon coeur et étirait mon sourire à la rencontre du sien. Il ne suffit que de quelques beats bien prononcés par le DJ pour laisser place à un premier baiser sur sa bouche souriante et sans défense.
[quote]Moi: Eh, mets pas trop de langue s'il te plait !
[img]http://i.imgur.com/99aMh.png[/img]
Elle s'amusa de ma remarque et revint rapprocher sa bouche de la mienne, cette fois-ci, avec un peu plus de délicatesse.
Ces douces joyeusetés durèrent un instant et je décidai de la tirer hors de la piste, là où les décibels se perdent un peu plus. Je ne me souviens plus exactement de notre conversation, ni de notre badinage, mais de seulement deux choses. Elle étudiait l'art et elle s'appelait Laurine. Ah si ! J'oubliais ; elle avait une énergie assez fulgurante et son attitude débordait d'érotisme sous tous les angles.
J'obtins son numéro puis elle me dirigea vers ses amis de la soirée. Je me présentai rapidement à eux, mais l'heure de la nuit avançait et je pris la poudre d'escampette pour aller dire à mon pote qu'il se faisait tard et qu'il vaudrait mieux rentrer.
[img]http://i.imgur.com/K954w.jpg?1[/img]
Le dimanche, à l'heure où tout le monde se fait chier, je prends mon téléphone, l'appelle et fixe un rendez-vous pour le vendredi soir prochain, elle accepte avec joie et engouement.
Le jour du rendez-vous, de par sa tenue, elle flirte érotiquement avec le comble de la féminité. Une robe rouge foncée d'un doux velours suit les lignes de son corps à lettre et de tranchants collants en dentelles noires viennent érotiquement contraster la douceur cette matière si noble. Je redécouvre la vraie couleur de ses cheveux. Un rouge plus foncé que celui de sa robe et une teinte ambrée dans quelques mèches, c'est assez redoutable. Ses pommettes sont relevées et le teint de sa peau, éclatant d'une pure blancheur. [url=http://www.spikeseduction.com/articles/11030_rencontrer-femmes-russes.html]Son physique me fait penser à celui de celles venues de l'Est[/url].
Je l'emmène dans un café du centre de la ville qui m'a toujours beaucoup impressionné. L'intérieur est subtilement chargé de dorures, les gens y sont bien habillés et tout est fait pour que l'on s'y sente bien. Nous sommes assis à côté sur de gros canapés moelleux et je la regarde lentement se désaltérer de son Chéri-Chéri, le cocktail qu'elle avait aléatoirement choisi.
Aucun blanc n'a le temps de s'installer, la conversation est fluide, plaisante et très enjouée de sa part. Je la fais dessiner à plusieurs reprises sur un bout de la nappe en papier pour mettre à l'épreuve ses talents d'artistes.
[quote]Moi: Laurine, si tu devais choisir entre délicate, féminine et joueuse, quel adjectif te qualifierait-il le mieux ?
(après un instant de réflexion, mon pressentiment se confirme)
E: Joueuse !
Je lui dis qu'on a quelque chose de prévu à faire après, qu'elle n'a jamais fait et lui demande de terminer rapidement son cocktail. On arrive un peu tard pour ce qui était prévu, mais ce n'est pas grave, on enchaîne directement sur le second plan, on monte sur la colline de Fourvière. Une fois arrivée en haut, la nuit est déjà là et le panoramique n'en est que plus scintillant. Je lui décris succinctement la vue qui s'étend devant nous.
Petit zeste de silence.
[quote]Moi: bon allez viens.
E: Hein ? Où ça ?
Je la tire vers moi et l'embrasse un peu plus intensément, appuyé sur la rambarde de pierre faisant face à la ville éclairée.
On entame la descente nous ramenant aux lumières de la ville dans un petit jardin pentu et peu éclairé. Au milieu du chemin, je lui propose de s'arrêter vers quelques ruines. Une fois à l'écart, le contact reprend.
Convenablement à l'abri des regards indiscrets, mes mains agrippent ses hanches et mes lèvres se ruent sur les siennes. Sa facilité physique m'excite. Ma main passe sous sa robe et j'emmène la belle sur un banc non loin de là, sous un arbre. Assis l'un à côté de l'autre, ma main peut maintenant se déplacer plus facilement. Je glisse mes doigts entre sa peau et sa lingerie et découvre la chaleur du désir de son corps innocent.
[quote]M: Lève-toi, là.
E: Mhh, d'accord
M: Bien, retourne-toi et tiens-toi au banc.
D'un mouvement rapide, je replace le bas de sa jupe juste à la cassure de ses reins. Je défais mon jean et prends la douce cambrure de la jeune effarouchée entre mes cuisses. Le bruit de ses petites fesses rondes contre mon corps se perd dans la respiration profonde de la ville. Elle, ne fait pas beaucoup de bruit, seulement quelques gémissements chauds qui remplissent tout mon être d'une virilité infinie. Je me retourne un instant pour admirer les lumières de la ville qui dansent et scintillent comme pour saisir à jamais une image de ce fantasme accompli.
Les étreintes se taisent et nos respirations se calment, il est temps de rentrer.
On descend la fin de la pente dans un demi-silence, celui de ceux qui ont fait une bêtise, mais qui en rigolent pour briser la tension déjà installée. Elle insiste plusieurs fois pour que je la raccompagne, mais je décline.
Élise m'attend déjà depuis plus d'une heure dans sa chambre d'étudiante, cette petite vierge. J'arrive là-bas décoiffé et encore tinté par l'odeur de Laurine, elle me prend dans ses bras et m'invite à la rejoindre dans ses draps, mais pour celle-ci, saisir un sein sera déjà une belle réussite.
[img]http://i.imgur.com/afaPI.png?1[/img]
[img]http://i.imgur.com/mcfFO.jpg?1[/img]
Comme tous les jeudis depuis la rentrée, des soirées Erasmus sont organisées dans les boites de nuit de la ville. Jusqu'à présent, j'avais toujours eu l'éternel fantasme des jolies étudiantes venues séjourner quelques mois en France pour y découvrir les "richesses" de notre beau pays. Mais après avoir récolté quelques Facebook bien moisis, j'ai compris que je ne j'arriverai que difficilement à goûter leur saveur intérieure tant qu'elles ne se seront pas bougé les fesses pour obtenir un numéro bien français.
Ce soir-là, mon énergie n'était pas resplendissante. Je me contentais vaguement de discuter avec quelques étrangères dans le bruit sourd des enceintes crachant leurs derniers Watts. Visiblement peu intéressées et pas encore bien accommodées des modalités de notre terre, je n'eus le droit qu'à leurs noms ainsi qu'une simple promesse de réseau social. Je ne les gardai pas bien plus longtemps sur ce réseau que le vague souvenir que j'avais d'elles et dès le surlendemain, elles ne faisaient déjà plus partie de cette liste bien mal nommée, liste d'ami(e)s.
Mon énergie légèrement rehaussée par ses approches successives, je constatais que les Françaises, elles, se faisaient bien moins farouches que leurs collègues d'outre frontière.
Elle, comme toutes les autres, dansait sur la piste avec un style qu'on arrive finalement plus à qualifier. De toute façon, aujourd'hui personne ne sait plus vraiment danser. Elle était mince, portait un jean serré et un haut blanc parsemé de dentelles remonté jusqu'à son cou, comme pour draper sa ligne d'une pureté bien trop innocente.
Je la regardais un instant et lui tendis ma main avec un large sourire, elle la saisit et nous partîmes pour quelques étreintes exiguës au milieu de ces jeunes marmots en chemise à carreaux. Le contact de ses longues jambes sur mon anatomie faisait battre mon coeur et étirait mon sourire à la rencontre du sien. Il ne suffit que de quelques beats bien prononcés par le DJ pour laisser place à un premier baiser sur sa bouche souriante et sans défense.
[quote]Moi: Eh, mets pas trop de langue s'il te plait !
[img]http://i.imgur.com/99aMh.png[/img]
Elle s'amusa de ma remarque et revint rapprocher sa bouche de la mienne, cette fois-ci, avec un peu plus de délicatesse.
Ces douces joyeusetés durèrent un instant et je décidai de la tirer hors de la piste, là où les décibels se perdent un peu plus. Je ne me souviens plus exactement de notre conversation, ni de notre badinage, mais de seulement deux choses. Elle étudiait l'art et elle s'appelait Laurine. Ah si ! J'oubliais ; elle avait une énergie assez fulgurante et son attitude débordait d'érotisme sous tous les angles.
J'obtins son numéro puis elle me dirigea vers ses amis de la soirée. Je me présentai rapidement à eux, mais l'heure de la nuit avançait et je pris la poudre d'escampette pour aller dire à mon pote qu'il se faisait tard et qu'il vaudrait mieux rentrer.
[img]http://i.imgur.com/K954w.jpg?1[/img]
Le dimanche, à l'heure où tout le monde se fait chier, je prends mon téléphone, l'appelle et fixe un rendez-vous pour le vendredi soir prochain, elle accepte avec joie et engouement.
Le jour du rendez-vous, de par sa tenue, elle flirte érotiquement avec le comble de la féminité. Une robe rouge foncée d'un doux velours suit les lignes de son corps à lettre et de tranchants collants en dentelles noires viennent érotiquement contraster la douceur cette matière si noble. Je redécouvre la vraie couleur de ses cheveux. Un rouge plus foncé que celui de sa robe et une teinte ambrée dans quelques mèches, c'est assez redoutable. Ses pommettes sont relevées et le teint de sa peau, éclatant d'une pure blancheur. [url=http://www.spikeseduction.com/articles/11030_rencontrer-femmes-russes.html]Son physique me fait penser à celui de celles venues de l'Est[/url].
Je l'emmène dans un café du centre de la ville qui m'a toujours beaucoup impressionné. L'intérieur est subtilement chargé de dorures, les gens y sont bien habillés et tout est fait pour que l'on s'y sente bien. Nous sommes assis à côté sur de gros canapés moelleux et je la regarde lentement se désaltérer de son Chéri-Chéri, le cocktail qu'elle avait aléatoirement choisi.
Aucun blanc n'a le temps de s'installer, la conversation est fluide, plaisante et très enjouée de sa part. Je la fais dessiner à plusieurs reprises sur un bout de la nappe en papier pour mettre à l'épreuve ses talents d'artistes.
[quote]Moi: Laurine, si tu devais choisir entre délicate, féminine et joueuse, quel adjectif te qualifierait-il le mieux ?
(après un instant de réflexion, mon pressentiment se confirme)
E: Joueuse !
Je lui dis qu'on a quelque chose de prévu à faire après, qu'elle n'a jamais fait et lui demande de terminer rapidement son cocktail. On arrive un peu tard pour ce qui était prévu, mais ce n'est pas grave, on enchaîne directement sur le second plan, on monte sur la colline de Fourvière. Une fois arrivée en haut, la nuit est déjà là et le panoramique n'en est que plus scintillant. Je lui décris succinctement la vue qui s'étend devant nous.
Petit zeste de silence.
[quote]Moi: bon allez viens.
E: Hein ? Où ça ?
Je la tire vers moi et l'embrasse un peu plus intensément, appuyé sur la rambarde de pierre faisant face à la ville éclairée.
On entame la descente nous ramenant aux lumières de la ville dans un petit jardin pentu et peu éclairé. Au milieu du chemin, je lui propose de s'arrêter vers quelques ruines. Une fois à l'écart, le contact reprend.
Convenablement à l'abri des regards indiscrets, mes mains agrippent ses hanches et mes lèvres se ruent sur les siennes. Sa facilité physique m'excite. Ma main passe sous sa robe et j'emmène la belle sur un banc non loin de là, sous un arbre. Assis l'un à côté de l'autre, ma main peut maintenant se déplacer plus facilement. Je glisse mes doigts entre sa peau et sa lingerie et découvre la chaleur du désir de son corps innocent.
[quote]M: Lève-toi, là.
E: Mhh, d'accord
M: Bien, retourne-toi et tiens-toi au banc.
D'un mouvement rapide, je replace le bas de sa jupe juste à la cassure de ses reins. Je défais mon jean et prends la douce cambrure de la jeune effarouchée entre mes cuisses. Le bruit de ses petites fesses rondes contre mon corps se perd dans la respiration profonde de la ville. Elle, ne fait pas beaucoup de bruit, seulement quelques gémissements chauds qui remplissent tout mon être d'une virilité infinie. Je me retourne un instant pour admirer les lumières de la ville qui dansent et scintillent comme pour saisir à jamais une image de ce fantasme accompli.
Les étreintes se taisent et nos respirations se calment, il est temps de rentrer.
On descend la fin de la pente dans un demi-silence, celui de ceux qui ont fait une bêtise, mais qui en rigolent pour briser la tension déjà installée. Elle insiste plusieurs fois pour que je la raccompagne, mais je décline.
Élise m'attend déjà depuis plus d'une heure dans sa chambre d'étudiante, cette petite vierge. J'arrive là-bas décoiffé et encore tinté par l'odeur de Laurine, elle me prend dans ses bras et m'invite à la rejoindre dans ses draps, mais pour celle-ci, saisir un sein sera déjà une belle réussite.
[img]http://i.imgur.com/afaPI.png?1[/img]
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