- Dim Mar 24, 2013 12:04 pm
#132082
[quote="Stéphane"]Je suis assez atterré par la récurrence avec laquelle je me fais doubler dans la file d'attente d'un magasin, non par ruse et duperie, mais par totale inconscience qui se trouvait autour de lui/elle à cet instant précis.
Ce n'est pas tant la première partie de ce constat qui m'effraye, que la seconde : les gens sont totalement inconscients de ce qui les entoure, sauf quand ils en ont un besoin précis.
Et évidemment, quand vous leur faites remarquer qu'ils manquent de la plus élémentaire civilité, qui est le méchant ?
Vous bien sûr, car il ne pourrait en être autrement.
[quote="Orphée"]Ce sont les mêmes qui, dans la rue, lorsque vous décidez de les dépasser, se mettent alors à marcher en diagonale et vous coupent systématiquement le chemin. Ou bien se mettent-ils sur toute la largeur des escalators sans prêter non plus la moindre infime attention à qui veut monter plus rapidement.*
Le plus perturbant étant finalement l'air profondément ahuri, voire effrayé, lorsqu'ils se rendent enfin compte de votre présence.
* Une obèse m'ayant rétorquée, un jour, qu'il y a "des escaliers si vous voulez marcher".
+10 000
Mon préféré : celui/celle qui écrit son texto en haut d'un escalator, bien au milieu, sur le marche-pied collé à l'endroit où le mécanisme avale la dernière marche.
Ce n'est pas tant la première partie de ce constat qui m'effraye, que la seconde : les gens sont totalement inconscients de ce qui les entoure, sauf quand ils en ont un besoin précis.
Et évidemment, quand vous leur faites remarquer qu'ils manquent de la plus élémentaire civilité, qui est le méchant ?
Vous bien sûr, car il ne pourrait en être autrement.
[quote="Orphée"]Ce sont les mêmes qui, dans la rue, lorsque vous décidez de les dépasser, se mettent alors à marcher en diagonale et vous coupent systématiquement le chemin. Ou bien se mettent-ils sur toute la largeur des escalators sans prêter non plus la moindre infime attention à qui veut monter plus rapidement.*
Le plus perturbant étant finalement l'air profondément ahuri, voire effrayé, lorsqu'ils se rendent enfin compte de votre présence.
* Une obèse m'ayant rétorquée, un jour, qu'il y a "des escaliers si vous voulez marcher".
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Mon préféré : celui/celle qui écrit son texto en haut d'un escalator, bien au milieu, sur le marche-pied collé à l'endroit où le mécanisme avale la dernière marche.