Comme son nom l'indique

Modérateurs: animal, Léo

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By aequus
#153208 En fréquentant des femmes réelles, oui.

En réapprenant à utiliser tes autres sens que la vue (l'odorat en est le meilleur exemple, mais également l'audition, certains timbres et débits de paroles nous sont plus agréables).

Concernant l'aspect visuel, en exerçant ton oeil et en développant ta sensibilité sur des détails :
- tendon d'Achille,
- attache de poignet,
- une dent légèrement de travers qui donne un côté irrésistible au sourire,
- le reflet d'une chevelure,
- un léger strabisme,
- la forme des mains (c'est quand même une des premières choses qui peut vous toucher !)
... les exemples ne manquent pas, et c'est ta propre grille que tu dois construire.
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By Maurice
#153209 @ Aequus

Quand je me rends compte qu'une femme qui ne me déplaît pas a un léger strabisme (car il a tendance à passer au début inaperçu), mon niveau d'intérêt tend à monter d'un cran ! :D
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By Orphée
#153284 [quote="Orientaliste"]Je n'ose même pas imaginer le manque de culture ou d'imagination d'une femme dont le métier ne la stimule aucunement intellectuellement, vu que ses agents s'en occupe pour qu'elle puisse uniquement poser devant des objectifs.
Pfiou, heureusement que tous les gens dont le travail ne nécessite ni culture ni imagination (à peu près tout le monde, donc) ne sont pas indignes d'intérêt...
By Masca
#153285 Morale de l'histoire : qui trop embrasse mal étreint.

Ou alors aller vers celle qui te plaît vraiment, plutôt que de perdre du temps avec des filles "qui ne m'attirent pas au moins un peu" (-> donc pas beaucoup, solution sécuritaire).
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By Luchino
#153479 [quote="Masca"]Morale de l'histoire : qui trop embrasse mal étreint.

Ou alors aller vers celle qui te plaît vraiment, plutôt que de perdre du temps avec des filles "qui ne m'attirent pas au moins un peu" (-> donc pas beaucoup, solution sécuritaire).

Plutôt que "qui trop embrasse mal étreint" la morale de l'histoire c'est (comme tu le dis) d'aller directement vers celle qui me plaît le plus, peu importe que ça marche ou pas, la vie est trop courte pour se complaire dans la sécurité (=zone de confort). Cette histoire m'a appris que quitte à rater, il est bien préférable d'aller vers ce (celle) qui m'attire vraiment.

La leçon en valait la peine.