- Jeu Jan 30, 2014 1:21 am
#145349
[quote="mileuh"]Elle me sort un "imagine ce que je pourrais faire devant tes yeux dans un bar rempli de mecs"
ça, ça annonce la couleur, et c'est hors de la jauge de l'admissible.
J'ai vécu ça, et avec le recul je me suis demandé si elle ne jouait tout simplement pas à me pousser à bout, en vérité, je pense qu'elle ne peut vibrer que pour son opposé, elle qui est très très femme : c'est à dire l'extra mâle brutasse, le maquereau, le gangster, le genre de mec qui l'entraîne dans des histoires où ils peuvent prendre 10 ans.
La seule chose que tu peux encore faire, c'est lui échapper, parce que ça, elle n'est pas habituée, le mec "normal", pour elle c'est une souris dont elle se sert et qu'elle n'achève même pas.
Ce que je vais te dire n'est pas super moral, mais la morale, à un moment, mérite qu'on s'en foute.
Voilà comment je m'y suis pris pour en "profiter" encore un peu, c'est vaguement inspiré d'une histoire de Stéphane, et je l'ai fait histoire de jouer :
Absence de 2 mois, puis envoie d'une photo où je suis en vacances, sans commentaire.
Elle répond rapidement un truc qui ressemblait à "super, profite pour moi", puis m'a appelé dans la minute qui a suivi, je n'ai pas répondu.
1 mois plus tard, même principe, mais une photo de ma voiture, qu'elle n'avait jamais vue.
Elle envoie alors un sms pour dire qu'elle aurait bien voulu faire un tour, ce à quoi je lui répond : "je t'aurais emmenée si tu ne t'étais pas mise à bouder".
S'en est suivi une discussion où elle dit qu'on devrait se revoir que j'ai conclu par "ok, on se voit avant 2016 si possible".
Et le lendemain soir elle débarquait chez moi à l'improviste pour recevoir sa punition.
Mais voilà, c'était histoire de ne pas sortir de tout ça la queue entre les jambes, et crois bien que la semaine suivante elle a tenté de recommencer son jeu, en usant de fines vacheries encore pires qu'avant, en se frottant à moi comme une acharnée devant ma bande de potes, en faisant un jeu de chaud et froid d'anthologie.
Une fois que j'ai eu profité de cette aura de masculinité qu'elle m'a donné dans mon cercle social, j'ai totalement disparu puis je me suis contenté de commentaires très laconiques et espacés sur les sms qu'elle m'a envoyé par la suite.
En substance, de l'utilisé, devenir l'utilisateur, puis stop.
Crois bien que j'en ai bavé des litres pour ne pas céder à la tentation de la contacter pendant ces longues semaines, mais ça m'a permis de constater encore une fois que la souffrance relative que l'on s'inflige dans ce genre de cas est proportionnelle à l'inaction qu'on met à trouver une autre femme qui mérite, elle, qu'on lui donne son énergie.