- Lun Juil 03, 2017 6:16 pm
#182669
Hello comrades,
Ce matin en me rasant je me suis posé une question, je pense que je l'avais déjà quelque part dans ma tête sans l'avoir formulé de façon explicite. En fait, le matin, ma condition de célibataire se rappelle à moi (..et pas pour les raisons que vous soupçonnez..), du coup j'ai repensé à mon désir de me mettre en relation et, un peu plus loin, si possible, vivre en couple avec une femme. C'est là ou je me suis posé cette question : est ce que c'est encore possible ?
Le gros souci c'est que je n'ai jamais vécu en couple, ni réussit à avoir une relation qui dépasse la fameuse frontière des 2 mois. Pire, ces petites histoires de 2 mois c'était au tout début, quand j'avais 27, 28, limite 32 ans.. depuis 33 / 34 je n'arrive même pas à dépasser le stade de un mois de relation (très bancale d'ailleurs).. l'analogie avec le monde professionnel est implacable. Pourrait-on imaginer une première embauche de quelqu'un à 37 ans ? Ca semble très peu probable.
J'ai pensé à tout ca en m'essuyant, puis cette idée ne m'a pas quitté de la journée. Je me suis rappelé les rendez-vous qui avaient avorté, malgré le courage de l'approche directe ou encore, le fait de faire une première bonne impression en soirée (culture, fun..).. ces femmes sentaient plus tard en date que quelque chose ne s'emboitait pas ou bien que je mettais trop d'efforts .. je me demande même s'il n'y a pas des hormones particulières ou des marqueurs qui se greffent sur les hommes qui passent par plusieurs relations longues et donc qui me feraient défaut, ou alors une aura (bon, difficile d'être plus vague, mais vous saisissez l'idée).
J'avais posé la question au coach que je voyais avant, si oui ou non il connaissait quelqu'un avec un passé aussi vide en relation que le miens, apparemment non, sauf s'il y a un handicap (chaise roulante, autisme..), j'ai aussi demandé autour de moi quelque temps aprés, là aussi il y a des célibataires endurcies, mais pas de "vrais" célibataires (selon l'ancienne définition) masculins vivants en ville.
Ce que j'aimerais savoir c'est si je suis irrémédiablement "foutu" de l’intérieur et s'il y a quelque chose de cassé.. aprés tout nous vivons dans le monde réel, on peut tomber malade, se casser la colonne vertébrale.. j'entends par là que tout le monde n'aura pas accés à son petit quart d'heure de bonheur Disney.. sauf que le handicapé ou l'hémiplégique a au moins cette certitude, il sait que c'est foutu (au fond c'est assez reposant), moi je n'en sais absolument rien car ce n'est pas visible.
Qu'en pensez-vous ? Connaissez-vous des cas qui s'approchent du miens ? Quels stratégies ont adopté ces mecs ?
Ce questionnement n'est pas vain, savoir que c'est foutu permet de driver sa vie autrement, envisager des solutions particulières ..
L.
Ce matin en me rasant je me suis posé une question, je pense que je l'avais déjà quelque part dans ma tête sans l'avoir formulé de façon explicite. En fait, le matin, ma condition de célibataire se rappelle à moi (..et pas pour les raisons que vous soupçonnez..), du coup j'ai repensé à mon désir de me mettre en relation et, un peu plus loin, si possible, vivre en couple avec une femme. C'est là ou je me suis posé cette question : est ce que c'est encore possible ?
Le gros souci c'est que je n'ai jamais vécu en couple, ni réussit à avoir une relation qui dépasse la fameuse frontière des 2 mois. Pire, ces petites histoires de 2 mois c'était au tout début, quand j'avais 27, 28, limite 32 ans.. depuis 33 / 34 je n'arrive même pas à dépasser le stade de un mois de relation (très bancale d'ailleurs).. l'analogie avec le monde professionnel est implacable. Pourrait-on imaginer une première embauche de quelqu'un à 37 ans ? Ca semble très peu probable.
J'ai pensé à tout ca en m'essuyant, puis cette idée ne m'a pas quitté de la journée. Je me suis rappelé les rendez-vous qui avaient avorté, malgré le courage de l'approche directe ou encore, le fait de faire une première bonne impression en soirée (culture, fun..).. ces femmes sentaient plus tard en date que quelque chose ne s'emboitait pas ou bien que je mettais trop d'efforts .. je me demande même s'il n'y a pas des hormones particulières ou des marqueurs qui se greffent sur les hommes qui passent par plusieurs relations longues et donc qui me feraient défaut, ou alors une aura (bon, difficile d'être plus vague, mais vous saisissez l'idée).
J'avais posé la question au coach que je voyais avant, si oui ou non il connaissait quelqu'un avec un passé aussi vide en relation que le miens, apparemment non, sauf s'il y a un handicap (chaise roulante, autisme..), j'ai aussi demandé autour de moi quelque temps aprés, là aussi il y a des célibataires endurcies, mais pas de "vrais" célibataires (selon l'ancienne définition) masculins vivants en ville.
Ce que j'aimerais savoir c'est si je suis irrémédiablement "foutu" de l’intérieur et s'il y a quelque chose de cassé.. aprés tout nous vivons dans le monde réel, on peut tomber malade, se casser la colonne vertébrale.. j'entends par là que tout le monde n'aura pas accés à son petit quart d'heure de bonheur Disney.. sauf que le handicapé ou l'hémiplégique a au moins cette certitude, il sait que c'est foutu (au fond c'est assez reposant), moi je n'en sais absolument rien car ce n'est pas visible.
Qu'en pensez-vous ? Connaissez-vous des cas qui s'approchent du miens ? Quels stratégies ont adopté ces mecs ?
Ce questionnement n'est pas vain, savoir que c'est foutu permet de driver sa vie autrement, envisager des solutions particulières ..
L.