- Sam Jan 17, 2015 4:58 pm
#162791
Bien le bonjour c'est Zelos Wilder et, oui, braves gens de Spike Seduction, je vais m’exprimer comme un extra-terrestre qui découvre la Terre, mais sachez que je suis très fier de mon passé d’ermite nerdy et ultra-complexé car il est important d’accepter - et pourquoi pas d’aimer - son passé.
Anciennement passionné de philosophie et de jeux vidéos. Quelques atouts : imagination, goût pour la pensée, recul, recherche de la sagesse, pas trop moche. Etudiant nolife à la vingtaine d'abord extrêmement complexé et timide.
Je suis parti de très bas, du fond. J’avais eu quelques p’tites copines par chance mais elles avaient vite pris la poudre d’escampette. Pour la petite anecdote, poussé par mon père qui y voyait un rituel de passage à l’âge adulte, j’étais parti en voyage en amoureux à Montréal… et j’ai réussi à faire de ce voyage le moment le plus ennuyeux de la vie de cette Pauline car moi je ne m’intéressais à rien et j’attendais qu’elle me pousse à bouger sinon je sortais le PC portable... J’ai hâte de repartir en voyage avec une meuf, vraiment hâte.
Ca fait un an que j'ai un goût tout particulier pour la séduction et une pratique modérée de la drague.
J'ai commencé la drague de rue en janvier 2014 après avoir regardé des vidéos de margoulins français et américains. Je pratiquais la drague de rue au moins deux fois par mois et commençais tout doucement à changer ma manière d’interagir avec les filles de mon entourage. Je consultais beaucoup de vidéos de marchands de la séduction car ils ont un contenu gratuit sur Youtube. Ces vidéos, bien que très imparfaites, ont été cruciales, elles ont été mes moteurs.
D'abord, je croyais qu'en maîtrisant à la perfection certaines techniques basées sur la connaissance de la psychologie féminine, on pouvait mettre dans la poche n'importe quelle femme. A côté de la plaque, mes abordages étaient purement sociaux, non sexués, et indirects, tel un serpent un peu plus courageux que les autres. J'essayais d'appliquer des techniques, de réciter des routines censées me valoriser, etc. Bref, une drague de nerd à la Mad/Style/Mystery - qui ont tous les 3 un bloc note où ils notent et apprennent leur storytelling, pour la petite anecdote. J'ai appris à être le prix de façon verbale, à nous projeter, à souffler le chaud et le froid, etc, et j'étais en route vers la congruence, une très longue route qui commence par une fausse confiance.
Par chance, je suis tombé sur un fille jolie, très bien foutue et en chien total ; invitée, embrassée, baisée avec des routines verbales et gestuelles apprises par coeur. Jeez… mais ayant acquis la bonne mentalité, je découvrais la masculinité, des façons d’être attirant, je me disais que celle-là je ne la perdrai pas, mais je n’avais aucune immersion et presque aucune spontanéité, j’étais réfléchi, baratineur, et ça se ressentait : adieu Marion, donc.
Puis j'ai entendu parler de langage corporel. J'ai compris qu'un homme ne projetant aucune masculinité aurait beau être un fin psychologue et un orateur maître, il n'arriverait jamais à ses fins avec les femmes. J’ai réalisé qu'on nous vendait bôôôcoup de sottises sur le marché de la séduction...
Côté drague de rue : ayant fait une croix sur l'indirect, j'ai commencé la "Yad Approach" qui mise sur l'authenticité. (Yad, Andy Yosha, Johnny Berba, je ne sais pas comment vous remercier.) La réussite en premier lieu ne dépend pas des mots utilisés mais de l'énergie projetée, ça j'ai fini par le comprendre et ça m'a enlevé un poids. Après mes premières réussites, j'ai compris que mentir aux femmes ne servait à rien et j'ai commencé à cordialement mépriser Mad Séduction, Avenue Séduction et la plupart des "grand séducteur" que je connaissais.
Côté soir : je me suis incrusté à un anniversaire dans un bar réservé pour une soirée où je n’étais pas invité et où je ne connaissais personne. M’étant fait passer pour l'ex de celle dont c'était l'anniversaire sachant qu'elle tardait à arriver, j'ai gagné beaucoup de confiance sociale avant de me faire virer. La croyance qui m'a motivé : "agis comme leur amis et au bout de 10 minutes ils te traiteront comme tel" (vu sur Real Social Dynamics, margoulin RSD Tyler Durden). Tout était : une question de vibe. La vibe projetée faisait tout le travail de socialisation. J’ai ressenti le malaise social mais j’ai forcé ma physiologie : je me suis fait quelques amis.
C'est avec ce genre d'exercice intensif qu'on peut rapidement sortir de sa condition de timide, je le pense toujours, et l'enseignement sur la vibe (l'énergie projetée) a été précieux. L'état émotionnel est beaucoup plus important que la répartie. La valeur sociale est acquise de façon non-verbale avant tout, c'est ce qui fait la différence pour s'intégrer dans des groupes. Son estime de soi et son charisme est perçue par les subconscients des gens autour ; elle prend beaucoup plus d’importance que son statut social pour être intégré. Un mendiant peut donc s’intégrer chez des bourgeois s’il casse ses croyances limitantes, fait preuve d’une confiance sociale exemplaire et apprend à communiquer.
Là je commençais à vraiment réaliser que la séduction était un accélérateur de développement personnel - et qu'elle serait ma thérapie. En tant que machine à aborder, pendant les deux mois avant l'été, j'ai commencé à avoir une vie sociale, des invitations, etc. J'étais réellement occupé, j'utilisais de moins en moins la fausse contrainte de temps avec les filles.
L'été dernier je sexualisais beaucoup verbalement. Cessant d'être un ingénieur social (un caméléon), je commençais à assumer que j'aimais et recherchais du cul. Je finissais donc quelques soirées avec des filles qui recherchaient la même chose, même si elles n'assumaient pas au grand jour cet alignement avec leur nature humaine. Le 31 août 2014, c'est la première fois que je me lâche complètement avec une fille, m’immerge dans le moment et la fidélise en étant un bon amant - merci Sex God Method.pdf
Une fois la confiance sexuelle acquise, j'ai ensuite arrêté d'être maladroitement sexuel à tout va, pour devenir sexué et calibré. Tom Torero est très bien tombé : séducteur à la fois verbal et biologique, "nice bad boy", "badass buddha", maître de la sexualisation fluide, il baise et fidélise à travers le monde. Récemment exposé, il a trahi ma confiance, mais j'ai gardé de lui une recommandation de lecture qui n'a pas de prix...
En effet, Tom Torero conseille dans son podcast n°5 de lire "Fearless Relentless Escalation" de "Sixty Years of Challenge". Ok, j’ai tapé sur Google "sixty years of challenge torrent". En lisant #2 Fearless Relentless Escalation, j'ai compris que la séduction était avant toute chose un dialogue des corps, qu'elle se résumait à l'isolation et l'escalade (physique & émotionnelle). J’ai commencé à draguer avec le regard, l’expression faciale et les mains.
Fin des plans quinquennaux en séduction. Arrêt total du baratin avec les filles. Immersion et spontanéité. Compréhension que plaire n'est pas séduire. Dialogue des corps. Escalade physique. Depuis septembre 2014, mes résultats ont brutalement augmenté. C’est là qu’est arrivé un autre problème. J’avais une carence, il fallait la combler. Après m’être fait traité de triple merde et de chien en chaleur par une fille qui me conseillait de clairement aller mourir, j’ai compris que la connexion, la positivité, la confiance en soi et le leadership ne faisaient pas tout, et qu’il fallait être quelqu’un de profondément empathique et patient. Pour éviter les résistances de dernière minute, faire en sorte que la fille nous suive de par sa propre impulsion, par exemple en lui proposant de repartir rejoindre ses amis à des moments où elle est à fond sur nous : là elle dit que non, elle a envie de rester. Cool.
Aujourd’hui j’ai une façon de séduire radicale basée sur l’escalade physique et l’humilité, ce qui veut dire que j’écarte le cocky & funny et le flirt, pertes de temps et d’énergie si mon but est de conclure. Simplement escalader physiquement pendant que je garde ma connexion avec la fille. L’escalade physique et la persévérance sans insistance les rendent folles, pas besoin de jouer dans la discussion, au contraire, éloigner le jeu verbal, donc la résistance verbale. La fille n’officialise pas les résistances verbalement, ce qui me permet d’avancer plus vite.
J’aimerais bien voir comment se débrouille l’intolérant qui me qualifie de dragouilleur à la ricaine quand il est seul avec une fille avec l’idée de conclure… mais quoiqu’il en soit, je viens sur les forums pour me remettre en question, et ça a toujours très bien marché.
Durant le deuxième semestre 2014, j'ai développé un respect tout particulier pour deux héritiers du Lair de Lille, André Maltère et Chrys, qui amènent de l'authenticité sur le marché de la séduction français - même si Chrys a des tarifs exorbitant l’bâtard. Un jour je rencontrerai André Maltère aka Raj.
J'ai aussi un goût tout récent pour les podcasts de Stéphane et de son acolyte, que je pense très intéressants à écouter pour un homme qui souhaite s'accomplir en 2015 - s'accomplir, c'est le truc tout en haut de la pyramide de Maslow.
Voilà. Salut les gars.
Anciennement passionné de philosophie et de jeux vidéos. Quelques atouts : imagination, goût pour la pensée, recul, recherche de la sagesse, pas trop moche. Etudiant nolife à la vingtaine d'abord extrêmement complexé et timide.
Je suis parti de très bas, du fond. J’avais eu quelques p’tites copines par chance mais elles avaient vite pris la poudre d’escampette. Pour la petite anecdote, poussé par mon père qui y voyait un rituel de passage à l’âge adulte, j’étais parti en voyage en amoureux à Montréal… et j’ai réussi à faire de ce voyage le moment le plus ennuyeux de la vie de cette Pauline car moi je ne m’intéressais à rien et j’attendais qu’elle me pousse à bouger sinon je sortais le PC portable... J’ai hâte de repartir en voyage avec une meuf, vraiment hâte.
Ca fait un an que j'ai un goût tout particulier pour la séduction et une pratique modérée de la drague.
J'ai commencé la drague de rue en janvier 2014 après avoir regardé des vidéos de margoulins français et américains. Je pratiquais la drague de rue au moins deux fois par mois et commençais tout doucement à changer ma manière d’interagir avec les filles de mon entourage. Je consultais beaucoup de vidéos de marchands de la séduction car ils ont un contenu gratuit sur Youtube. Ces vidéos, bien que très imparfaites, ont été cruciales, elles ont été mes moteurs.
D'abord, je croyais qu'en maîtrisant à la perfection certaines techniques basées sur la connaissance de la psychologie féminine, on pouvait mettre dans la poche n'importe quelle femme. A côté de la plaque, mes abordages étaient purement sociaux, non sexués, et indirects, tel un serpent un peu plus courageux que les autres. J'essayais d'appliquer des techniques, de réciter des routines censées me valoriser, etc. Bref, une drague de nerd à la Mad/Style/Mystery - qui ont tous les 3 un bloc note où ils notent et apprennent leur storytelling, pour la petite anecdote. J'ai appris à être le prix de façon verbale, à nous projeter, à souffler le chaud et le froid, etc, et j'étais en route vers la congruence, une très longue route qui commence par une fausse confiance.
Par chance, je suis tombé sur un fille jolie, très bien foutue et en chien total ; invitée, embrassée, baisée avec des routines verbales et gestuelles apprises par coeur. Jeez… mais ayant acquis la bonne mentalité, je découvrais la masculinité, des façons d’être attirant, je me disais que celle-là je ne la perdrai pas, mais je n’avais aucune immersion et presque aucune spontanéité, j’étais réfléchi, baratineur, et ça se ressentait : adieu Marion, donc.
Puis j'ai entendu parler de langage corporel. J'ai compris qu'un homme ne projetant aucune masculinité aurait beau être un fin psychologue et un orateur maître, il n'arriverait jamais à ses fins avec les femmes. J’ai réalisé qu'on nous vendait bôôôcoup de sottises sur le marché de la séduction...
Côté drague de rue : ayant fait une croix sur l'indirect, j'ai commencé la "Yad Approach" qui mise sur l'authenticité. (Yad, Andy Yosha, Johnny Berba, je ne sais pas comment vous remercier.) La réussite en premier lieu ne dépend pas des mots utilisés mais de l'énergie projetée, ça j'ai fini par le comprendre et ça m'a enlevé un poids. Après mes premières réussites, j'ai compris que mentir aux femmes ne servait à rien et j'ai commencé à cordialement mépriser Mad Séduction, Avenue Séduction et la plupart des "grand séducteur" que je connaissais.
Côté soir : je me suis incrusté à un anniversaire dans un bar réservé pour une soirée où je n’étais pas invité et où je ne connaissais personne. M’étant fait passer pour l'ex de celle dont c'était l'anniversaire sachant qu'elle tardait à arriver, j'ai gagné beaucoup de confiance sociale avant de me faire virer. La croyance qui m'a motivé : "agis comme leur amis et au bout de 10 minutes ils te traiteront comme tel" (vu sur Real Social Dynamics, margoulin RSD Tyler Durden). Tout était : une question de vibe. La vibe projetée faisait tout le travail de socialisation. J’ai ressenti le malaise social mais j’ai forcé ma physiologie : je me suis fait quelques amis.
C'est avec ce genre d'exercice intensif qu'on peut rapidement sortir de sa condition de timide, je le pense toujours, et l'enseignement sur la vibe (l'énergie projetée) a été précieux. L'état émotionnel est beaucoup plus important que la répartie. La valeur sociale est acquise de façon non-verbale avant tout, c'est ce qui fait la différence pour s'intégrer dans des groupes. Son estime de soi et son charisme est perçue par les subconscients des gens autour ; elle prend beaucoup plus d’importance que son statut social pour être intégré. Un mendiant peut donc s’intégrer chez des bourgeois s’il casse ses croyances limitantes, fait preuve d’une confiance sociale exemplaire et apprend à communiquer.
Là je commençais à vraiment réaliser que la séduction était un accélérateur de développement personnel - et qu'elle serait ma thérapie. En tant que machine à aborder, pendant les deux mois avant l'été, j'ai commencé à avoir une vie sociale, des invitations, etc. J'étais réellement occupé, j'utilisais de moins en moins la fausse contrainte de temps avec les filles.
L'été dernier je sexualisais beaucoup verbalement. Cessant d'être un ingénieur social (un caméléon), je commençais à assumer que j'aimais et recherchais du cul. Je finissais donc quelques soirées avec des filles qui recherchaient la même chose, même si elles n'assumaient pas au grand jour cet alignement avec leur nature humaine. Le 31 août 2014, c'est la première fois que je me lâche complètement avec une fille, m’immerge dans le moment et la fidélise en étant un bon amant - merci Sex God Method.pdf
Une fois la confiance sexuelle acquise, j'ai ensuite arrêté d'être maladroitement sexuel à tout va, pour devenir sexué et calibré. Tom Torero est très bien tombé : séducteur à la fois verbal et biologique, "nice bad boy", "badass buddha", maître de la sexualisation fluide, il baise et fidélise à travers le monde. Récemment exposé, il a trahi ma confiance, mais j'ai gardé de lui une recommandation de lecture qui n'a pas de prix...
En effet, Tom Torero conseille dans son podcast n°5 de lire "Fearless Relentless Escalation" de "Sixty Years of Challenge". Ok, j’ai tapé sur Google "sixty years of challenge torrent". En lisant #2 Fearless Relentless Escalation, j'ai compris que la séduction était avant toute chose un dialogue des corps, qu'elle se résumait à l'isolation et l'escalade (physique & émotionnelle). J’ai commencé à draguer avec le regard, l’expression faciale et les mains.
Fin des plans quinquennaux en séduction. Arrêt total du baratin avec les filles. Immersion et spontanéité. Compréhension que plaire n'est pas séduire. Dialogue des corps. Escalade physique. Depuis septembre 2014, mes résultats ont brutalement augmenté. C’est là qu’est arrivé un autre problème. J’avais une carence, il fallait la combler. Après m’être fait traité de triple merde et de chien en chaleur par une fille qui me conseillait de clairement aller mourir, j’ai compris que la connexion, la positivité, la confiance en soi et le leadership ne faisaient pas tout, et qu’il fallait être quelqu’un de profondément empathique et patient. Pour éviter les résistances de dernière minute, faire en sorte que la fille nous suive de par sa propre impulsion, par exemple en lui proposant de repartir rejoindre ses amis à des moments où elle est à fond sur nous : là elle dit que non, elle a envie de rester. Cool.
Aujourd’hui j’ai une façon de séduire radicale basée sur l’escalade physique et l’humilité, ce qui veut dire que j’écarte le cocky & funny et le flirt, pertes de temps et d’énergie si mon but est de conclure. Simplement escalader physiquement pendant que je garde ma connexion avec la fille. L’escalade physique et la persévérance sans insistance les rendent folles, pas besoin de jouer dans la discussion, au contraire, éloigner le jeu verbal, donc la résistance verbale. La fille n’officialise pas les résistances verbalement, ce qui me permet d’avancer plus vite.
J’aimerais bien voir comment se débrouille l’intolérant qui me qualifie de dragouilleur à la ricaine quand il est seul avec une fille avec l’idée de conclure… mais quoiqu’il en soit, je viens sur les forums pour me remettre en question, et ça a toujours très bien marché.
Durant le deuxième semestre 2014, j'ai développé un respect tout particulier pour deux héritiers du Lair de Lille, André Maltère et Chrys, qui amènent de l'authenticité sur le marché de la séduction français - même si Chrys a des tarifs exorbitant l’bâtard. Un jour je rencontrerai André Maltère aka Raj.
J'ai aussi un goût tout récent pour les podcasts de Stéphane et de son acolyte, que je pense très intéressants à écouter pour un homme qui souhaite s'accomplir en 2015 - s'accomplir, c'est le truc tout en haut de la pyramide de Maslow.
Voilà. Salut les gars.
[color=#800000]"Escalation is my interesting story, cool shirt, social proof and best tease all rolled into one." - Chris "Sixty" Andersen[/color]