- Jeu Jan 21, 2010 10:58 pm
#88889
[quote="pirlito"][quote="Syphil"] Le fond est simple mais la forme est brillante.
Le fond est simple mais la forme est conçue pour plaire à la masse.
Ce n'est que mon avis bien sur. Je l'ai vu en 3D et je regrette d'avoir laché 7€ pour ce film : tous les clichés sont là : des méchants humains capitalistes, des arborigènes en pleine communion avec la nature, les décors dont rêvent les petites filles ...
Je ne comprends pas bien les gens qui se réjouissent du scénario, certes il y a des "rebondissements" toutes les minutes mais ils sont tellement prévisibles ...
Justement, les clichés (tout comme le scénario que tout le monde recherche tant, qui doit être d'une complexité folle pour exciter les grosses têtes ) servent la symbolique de l'histoire. On ne peut d'ailleurs pas décemment penser, par exemple, que le personnage du Colonel ait été crée au hasard. Son côté "énorme cliché de film américain" a un but, une utilité. Cameron (qui n'est pas le dernier des idiots) aime construire ses films sur des clichés (situations, musiques, personnages, sentiments, thèmes... le terme cliché n'est d'ailleurs pas négatif ici) qui rendent les symboles encore plus fort. Ceci mériterait d'être plus longuement développé mais bon...
Je l'ai revu aujourd'hui et j'ai toujours autant pris mon pied
Le fond est simple mais la forme est conçue pour plaire à la masse.
Ce n'est que mon avis bien sur. Je l'ai vu en 3D et je regrette d'avoir laché 7€ pour ce film : tous les clichés sont là : des méchants humains capitalistes, des arborigènes en pleine communion avec la nature, les décors dont rêvent les petites filles ...
Je ne comprends pas bien les gens qui se réjouissent du scénario, certes il y a des "rebondissements" toutes les minutes mais ils sont tellement prévisibles ...
Justement, les clichés (tout comme le scénario que tout le monde recherche tant, qui doit être d'une complexité folle pour exciter les grosses têtes ) servent la symbolique de l'histoire. On ne peut d'ailleurs pas décemment penser, par exemple, que le personnage du Colonel ait été crée au hasard. Son côté "énorme cliché de film américain" a un but, une utilité. Cameron (qui n'est pas le dernier des idiots) aime construire ses films sur des clichés (situations, musiques, personnages, sentiments, thèmes... le terme cliché n'est d'ailleurs pas négatif ici) qui rendent les symboles encore plus fort. Ceci mériterait d'être plus longuement développé mais bon...
Je l'ai revu aujourd'hui et j'ai toujours autant pris mon pied