- Dim Juin 23, 2019 9:42 pm
#186715
Précision complémentaire:
Oui je l'aimais (je l'aime encore) mais j'avais beaucoup de mal avec sa négativité.
Une des 48 lois du pouvoir de Robert Greene est "avoid the unlucky and the unhappy."
Eh bien Flora passait son temps à se plaindre: A Paris, du bruit fait par le frigidaire du restaurant situé sous son domicile, du bruit du ventilateur, de la rue, de son patron, du fait qu'elle n'avait été augmentée "que" de 7%, de sa charge de travail, de la différence de traitement avec certains collègues... A Budapest, de son lieu de travail situé à une heure en voiture du centre ville (alors qu'elle gagne 5 fois le salaire moyen), de son boss, du chien du voisin, de sa voiture, de l'URSSAF local, de notre relation à distance, etc.
J'essayais toujours de lui remonter le remonter le moral, de positiver, mais à la longue ça m'a épuisé. D'autant que lorsqu'un problème était réglé elle m'en faisait à peine part et parlait d'un nouveau problème.
Une semaine après qu'elle m'ait quitté j'ai remarqué une boule au niveau de mon aine gauche. Après examens on m'a diagnostiqué une double hernie inguinale, de laquelle j'ai été opéré il y a 15 jours. Or la signification émotionnelle de cette maladie (je suis très sportif et ce que je faisais à Paris -où je n'ai jamais rien eu- était beaucoup plus intense que mes entraînements à Zurich) est entre autres le désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu'on est obligé de côtoyer.
Je me demande donc si au fond de moi je n'avais pas envie de la larguer et qu'en étant incapable, mon corps a fini par s'exprimer...
Oui je l'aimais (je l'aime encore) mais j'avais beaucoup de mal avec sa négativité.
Une des 48 lois du pouvoir de Robert Greene est "avoid the unlucky and the unhappy."
Eh bien Flora passait son temps à se plaindre: A Paris, du bruit fait par le frigidaire du restaurant situé sous son domicile, du bruit du ventilateur, de la rue, de son patron, du fait qu'elle n'avait été augmentée "que" de 7%, de sa charge de travail, de la différence de traitement avec certains collègues... A Budapest, de son lieu de travail situé à une heure en voiture du centre ville (alors qu'elle gagne 5 fois le salaire moyen), de son boss, du chien du voisin, de sa voiture, de l'URSSAF local, de notre relation à distance, etc.
J'essayais toujours de lui remonter le remonter le moral, de positiver, mais à la longue ça m'a épuisé. D'autant que lorsqu'un problème était réglé elle m'en faisait à peine part et parlait d'un nouveau problème.
Une semaine après qu'elle m'ait quitté j'ai remarqué une boule au niveau de mon aine gauche. Après examens on m'a diagnostiqué une double hernie inguinale, de laquelle j'ai été opéré il y a 15 jours. Or la signification émotionnelle de cette maladie (je suis très sportif et ce que je faisais à Paris -où je n'ai jamais rien eu- était beaucoup plus intense que mes entraînements à Zurich) est entre autres le désir de rompre avec une personne qui nous est désagréable, mais avec laquelle on se sent engagé ou qu'on est obligé de côtoyer.
Je me demande donc si au fond de moi je n'avais pas envie de la larguer et qu'en étant incapable, mon corps a fini par s'exprimer...
[color=#8000BF]Nothing says goodbye like a bullet...[/color]
Philip Marlowe
Philip Marlowe