- Mar Jan 17, 2012 9:48 pm
#117994
Le coup du câlin à une fille qu'on vient d'aborder, c'est fort. Le plus fort étant évidemment le fait que ça soit elle, qui le fasse.
"T'es dure, t'es même très dure."
Confirme, moi je me souviens que de ça
Mais je trouve pas vraiment que ce soit un recadrage, la je trouve plutôt que j'avoue une petite faiblesse ( celle qui fait craquer les filles dont pierre nous parlait lors de la street) Si j'avais voulu la rembarrer, j'aurais plutôt dit "t'es aimable comme une porte de prison, ça fait très plaisir
"oui oui exact, c'est ce que tu as dit
en même temps c'était déjà mieux que rien, surtout qu'on était pas dans un terrain favorable pour risquer de les vexer, vu qu'on risquait de se faire défoncer à coups de sacs à mains par leurs mère.
L'article de Pierre m'a fait faire une introspection sur les différentes interactions.
Et du coups je me dis qu'il y a vraiment un équilibre dans tout ça, "un échange qualibré d'énergie".
Trop de neg ou réponse disproportionnée à la vanne et tu passes pour un gros con, un susceptible ou un type sur la défensive
Pas de réponse couillue et tu passes pour un faible et te retrouves au tapis en train de ramer dans le vide.
A la lecture des propos de Pierre, je me dis que c'est vrai que vu les vannes qu'on s'est pris, même si on ne s'est pas laissé démonté on aurait pu leur signifier une pure vérité :
- aucun mec de valeur n'était venu leur apporter ce qu'elles cherchaient ce soir là, et on aurait très bien pu leur enlever tout de suite le pain de la bouche.
remarque, c'est limite ce qu'on a fait en s’éjectant sans au revoir...
je réfléchis à l'opportunité de faire un FR
[avec une intonation légère, ça va de soi] Regarde : tu es assises à ma table et on est en train de s'embrasser : tu ne le sais pas mais tu es encore dans la matrice.
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